Em­ploi

Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers : per­mettre à cer­taines or­ga­ni­sa­tions de don­ner leur adresse aux sans-pa­piers pour fa­vo­ri­ser le tra­vail for­mel plu­tôt que le tra­vail au noir et qu’ils aient un do­mi­cile.
L’ou­ver­ture à l’accès au tra­vail des per­sonnes sans-pa­piers pour toute offre d’emploi qui ne trouve pas preneur•euse.
Per­mettre aux mi­grants de tra­vailler dans dif­fé­rents sec­teurs où ils sont qua­li­fiés.
Fa­ci­li­ter l’équi­va­lence des di­plômes par un test de compétences/ un stage per­met­tant la cer­ti­fi­ca­tion plu­tôt que de de­voir re­faire toutes les études.
Du tra­vail pour les mi­grants pour un sa­laire dé­cent.
Ai­der les per­sonnes à re­trou­ver un sta­tut so­cial va­lo­ri­sant (pas juste ré­duit à un de­man­deur d’asile) :
équi­va­lence des di­plômes (fa­ci­li­ter les for­ma­li­tés liées à l’équivalence)
ac­cès aux for­ma­tions longues et pro­fes­sion­na­li­santes
per­mis de tra­vail pour tous.
Mettre en place une pos­si­bi­li­té de pas­ser le per­mis de conduire via un tra­duc­teur afin que les per­sonnes pos­sé­dant ces ca­pa­ci­tés mais pas en­core par­fai­te­ment la langue, puissent avoir ac­cès à un em­ploi où le per­mis de conduire est exi­gé.
Mettre en place des for­ma­tions per­mis de conduire pour les per­sonnes anal­pha­bètes dans toutes les villes.
Des crèches sup­plé­men­taires et des gar­de­ries. Ou­ver­ture et fer­me­ture des crèches adap­tées à l’emploi (net­toyage..) Les mi­grants n’ont pas d’environnement fa­mi­lial pou­vant prendre le re­lais en ma­tière de garde d’enfants.
Chan­ger la loi du Per­mis Unique.
Je pro­pose un peu plus d’­hu­ma­ni­té, que toutes les per­sonnes dans le be­soin aient ac­cès à une for­ma­tion ou à des études afin de pou­voir s’é­pa­nouir.
Il fau­drait pou­voir tra­vailler plus vite, re­con­naître les ca­pa­ci­tés des per­sonnes mi­grantes car sans tra­vail, les pro­prié­taires ne veulent pas leur louer les lo­ge­ments.
Que les di­plômes ob­te­nus dans ces pays soient consi­dé­rés et per­mettent l’ac­cès à une for­ma­tion courte com­pre­nant un mo­dule de langue afin qu’ils gardent leur di­gni­té.
Mettre en place des pos­si­bi­li­tés de conti­nuer à suivre des cours de fran­çais/néerlandais tout en tra­vaillant pour pou­voir tra­vailler plus ra­pi­de­ment (cours sur place, sub­ven­tion­nés, pas à charge du pa­tron).
Ai­der les en­tre­prises qui sou­haitent tra­vailler avec des demandeur∙ses d’asile en pro­po­sant des mé­dia­teurs cultu­rels afin de mieux se com­prendre.
Que ces per­sonnes puissent avoir une op­por­tu­ni­té dans la vie, un tra­vail en so­cié­té, car c’est ça qu’ils cherchent en ar­ri­vant ici.
Mettre en place un sys­tème de com­pa­gnon­nage pour per­mettre aux per­sonnes d’être plus ra­pi­de­ment dans la réa­li­té du tra­vail et re­trou­ver es­time et confiance en soi.
Il fau­drait éga­le­ment ré­gu­la­ri­ser tous les tra­vailleurs sans pa­piers et per­mettre aux ré­fu­giés de tra­vailler lorsque leurs com­pé­tences ren­contrent la de­mande en ma­tière d’emploi ; à sa­laire égal à un belge.
Don­ner aux tra­vailleurs mi­grants un titre de sé­jour stable.