Propositions citoyennes

Pro­po­si­tions ci­toyennes concrètes et po­si­tives pour amé­lio­rer l’accueil des exilé•es en Bel­gique

À tra­vers toute la Bel­gique, des ci­toyens des ci­toyennes, et des man­da­taires com­mu­naux, de 4 à 94 ans, ont for­mu­lés des pro­po­si­tions po­si­tives pour construire en­semble un ac­cueil juste et du­rable, des per­sonnes exi­lées dans notre pays.

Em­ploi

Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers : per­mettre à cer­taines or­ga­ni­sa­tions de don­ner leur adresse aux sans-pa­piers pour fa­vo­ri­ser le tra­vail for­mel plu­tôt que le tra­vail au noir et qu’ils aient un do­mi­cile.
L’ou­ver­ture à l’accès au tra­vail des per­sonnes sans-pa­piers pour toute offre d’emploi qui ne trouve pas preneur•euse.
Per­mettre aux mi­grants de tra­vailler dans dif­fé­rents sec­teurs où ils sont qua­li­fiés.
Fa­ci­li­ter l’équi­va­lence des di­plômes par un test de compétences/ un stage per­met­tant la cer­ti­fi­ca­tion plu­tôt que de de­voir re­faire toutes les études.
Du tra­vail pour les mi­grants pour un sa­laire dé­cent.
Ai­der les per­sonnes à re­trou­ver un sta­tut so­cial va­lo­ri­sant (pas juste ré­duit à un de­man­deur d’asile) :
équi­va­lence des di­plômes (fa­ci­li­ter les for­ma­li­tés liées à l’équivalence)
ac­cès aux for­ma­tions longues et pro­fes­sion­na­li­santes
per­mis de tra­vail pour tous.
Mettre en place une pos­si­bi­li­té de pas­ser le per­mis de conduire via un tra­duc­teur afin que les per­sonnes pos­sé­dant ces ca­pa­ci­tés mais pas en­core par­fai­te­ment la langue, puissent avoir ac­cès à un em­ploi où le per­mis de conduire est exi­gé.
Mettre en place des for­ma­tions per­mis de conduire pour les per­sonnes anal­pha­bètes dans toutes les villes.
Des crèches sup­plé­men­taires et des gar­de­ries. Ou­ver­ture et fer­me­ture des crèches adap­tées à l’emploi (net­toyage..) Les mi­grants n’ont pas d’environnement fa­mi­lial pou­vant prendre le re­lais en ma­tière de garde d’enfants.
Chan­ger la loi du Per­mis Unique.
Je pro­pose un peu plus d’­hu­ma­ni­té, que toutes les per­sonnes dans le be­soin aient ac­cès à une for­ma­tion ou à des études afin de pou­voir s’é­pa­nouir.
Il fau­drait pou­voir tra­vailler plus vite, re­con­naître les ca­pa­ci­tés des per­sonnes mi­grantes car sans tra­vail, les pro­prié­taires ne veulent pas leur louer les lo­ge­ments.
Que les di­plômes ob­te­nus dans ces pays soient consi­dé­rés et per­mettent l’ac­cès à une for­ma­tion courte com­pre­nant un mo­dule de langue afin qu’ils gardent leur di­gni­té.
Mettre en place des pos­si­bi­li­tés de conti­nuer à suivre des cours de fran­çais/néerlandais tout en tra­vaillant pour pou­voir tra­vailler plus ra­pi­de­ment (cours sur place, sub­ven­tion­nés, pas à charge du pa­tron).
Ai­der les en­tre­prises qui sou­haitent tra­vailler avec des demandeur∙ses d’asile en pro­po­sant des mé­dia­teurs cultu­rels afin de mieux se com­prendre.
Que ces per­sonnes puissent avoir une op­por­tu­ni­té dans la vie, un tra­vail en so­cié­té, car c’est ça qu’ils cherchent en ar­ri­vant ici.
Mettre en place un sys­tème de com­pa­gnon­nage pour per­mettre aux per­sonnes d’être plus ra­pi­de­ment dans la réa­li­té du tra­vail et re­trou­ver es­time et confiance en soi.
Il fau­drait éga­le­ment ré­gu­la­ri­ser tous les tra­vailleurs sans pa­piers et per­mettre aux ré­fu­giés de tra­vailler lorsque leurs com­pé­tences ren­contrent la de­mande en ma­tière d’emploi ; à sa­laire égal à un belge.
Don­ner aux tra­vailleurs mi­grants un titre de sé­jour stable.

Études et for­ma­tion

De l’aide/accompagnement pour tra­duc­tion, trou­ver une oc­cu­pa­tion même s’il y a un blo­cage de la langue.
Don­ner ac­cès aux études su­pé­rieures aux per­sonnes sans pa­piers.
Un meilleur ac­cueil et ac­com­pa­gne­ment pour les élèves ré­fu­giés qui ar­rivent dans le sys­tème sco­laire belge !
Il n’y a pas as­sez d’écoles pour ap­prendre le fran­çais dans les vil­lages et les ban­lieues =) aug­men­ter le nombre de lieux de for­ma­tion.
Les cours de fran­çais doivent être gra­tuits.
Il doit y avoir plus de places pour les cours de fran­çais parce qu’on doit at­tendre long­temps avant de com­men­cer.
Il faut que les in­for­ma­tions au Fo­rem existent en plu­sieurs langues pour trou­ver ra­pi­de­ment un tra­vail.
Toutes les per­sonnes dans le be­soin qui viennent d’un autre pays doivent avoir un ac­cès à une for­ma­tion qua­li­fiante pour pou­voir en­suite tra­vailler et de­ve­nir in­dé­pen­dant.
Per­mettre aux ré­fu­giés de suivre les for­ma­tions, leur per­mettre de tra­vailler en Bel­gique, puis leur per­mettre de ren­trer dans leur pays une fois en paix.
Avoir des pro­fes­seurs de classe DASPA qui connaissent l’anglais pour pou­voir mieux se com­prendre.
Je pro­pose que tous les en­fants puissent faire toutes les ac­ti­vi­tés dans les écoles, y com­pris les voyages sco­laires.
Je pro­pose que l’on puisse com­men­cer plus vite l’école après l’arrivée en Bel­gique.
Je pro­pose que l’on donne des cours sur la culture belge pour mieux la com­prendre.
Pour dé­ve­lop­per des pro­grammes d’in­ser­tion so­ciale et pro­fes­sion­nelle pour les mi­grants.

Lo­ge­ment

Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers, aug­men­ter les places d’accueil dans les ILA et re­fuges. Per­mettre aux ONG et ASBL, or­ga­ni­sa­tions, églises, etc… de don­ner leur adresse aux sans-pa­piers pour qu’ils aient un do­mi­cile.
Un toit pour tous, confort de base (nour­ri­ture, chauf­fage) pour tous, édu­ca­tion pour tous. Soyons so­li­daires… On vit tous sur la même pla­nète !
Du lo­ge­ment ac­ces­sible fi­nan­ciè­re­ment pour tous !
En­cou­ra­ger la so­li­da­ri­té, le dé­ve­lop­pe­ment d’habitats (exis­tants) avec une for­mule col­lec­tive ou com­mu­nau­taire et plu­ri-cultu­relle, in­ter-gé­né­ra­tion­nelle… Cé­lé­brer la di­ver­si­té et gran­dir hu­mai­ne­ment les uns avec les autres.
Plus d’aide pour la re­cherche d’un lo­ge­ment.
Un ha­bi­tat pour tous et de la nour­ri­ture aus­si.
De lais­ser les gens ve­nir ou leur don­ner un ha­bi­tat stable et sé­cu­ri­sé.
Que les éta­blis­se­ments vides soient ré­ha­bi­li­tés pour ac­cueillir les sans-abris.
Aug­men­ter le nombre de lits dans les centres FEDASIL et les ILAS en cas de be­soin, uti­li­sez des jar­dins (exemple : FEDASIL à Oi­gnies et l‘énorme ter­rain pour ins­tal­ler des tentes.
Avoir la pos­si­bi­li­té d’interprète pour mieux com­prendre les pro­cé­dures (bail).
Que tous les en­fants de ces fa­milles soient ac­cueillis di­gne­ment et puissent par­ta­ger la vie de nos en­fants sans crainte et sans stress de ne pas trou­ver de lo­ge­ment à la fin de leur jour­née sco­laire.
Suite aux inon­da­tions, beau­coup de mai­sons à Liège ont été lais­sées telles quelles, vi­dées et dé­la­brées. Ces mai­sons HABITABLES sont à l’abandon ! Uti­li­sons-les, ré­ha­bi­li­tons les pour ac­cueillir ceux qui en ont be­soin.
Per­sonne ne doit dor­mir dans la rue, il faut créer de l’hébergement.
Tout le monde doit avoir un toit en ar­ri­vant sur le sol belge.
Afin d’éviter les ghet­tos, di­ver­si­fier les ori­gines dans les lo­ge­ments com­mu­nau­taires : di­ver­si­té et ap­prendre à se connaître.
Un plan de ré­par­ti­tion des per­sonnes mi­grantes dans les dif­fé­rentes com­munes.
Je pro­pose d’oc­cu­per les dif­fé­rents bâ­ti­ments in­oc­cu­pés pour les abri­ter.
Iso­ler et in­so­no­ri­ser les lo­ge­ments so­ciaux. Rendre les lo­ge­ments sa­lubres.
Trou­ver un moyen pour que les pro­prié­taires res­pectent leurs de­voirs : cau­tion sur un compte, contrat de bail, sa­lu­bri­té des lo­ge­ments.
Que nous soyons conscients qu’héberger 3 000 per­sonnes dans un pays de 11 000 000 d’habitants n’est PAS un gros pro­blème.
Je pro­pose que les im­mo­bi­lières so­ciales fassent ap­pel à des tra­duc­teurs (ex. Uni­ver­bal) pour ex­pli­quer les règles et com­ment rem­plir les contrats d’énergie.
Je pro­pose des ren­contres entre pro­prié­taires et lo­ca­taires pour mieux se connaître et mieux com­prendre les dif­fi­cul­tés des lo­ca­taires et pro­prié­taires.
Il doit y avoir plus de lo­ge­ments so­ciaux pour tout le monde.
Une po­li­tique d’asile beau­coup plus hu­maine, un lo­ge­ment pour tous ces mi­grants qui se re­trouvent dans la rue.
Que tous les mi­grants soient mieux ac­cueillis dans notre pays. Qu’ils soient lo­gés et nour­ris est une prio­ri­té. Je ne veux plus voir de tentes le long du ca­nal, ni de mi­grants al­lon­gés dans les gares.
Je pro­pose que l’on ac­cueille les MENA dans des fa­milles.
Que l’État belge et les Ré­gions mettent plus de Centres d’accueil et de lo­ge­ments à dis­po­si­tion des mi­grants.
La créa­tion de lo­ge­ments d’accueil tem­po­raire ou à moyen terme.

Struc­ture d’accueil

Qu’il y ait un élan de so­li­da­ri­té concret, un lieu d’accueil pour tous + stock ali­men­taire…
Des sortes de « Res­tos du cœur » pour les mi­grants à la rue. Au moins un hé­ber­ge­ment. Le gou­ver­ne­ment doit bien ac­cueillir les mi­grants.
Que ma com­mune par­ti­cipe via la (juste) ré­par­ti­tion par com­mune se­lon le plan pro­po­sé en sep­tembre 2022 par le CIRE !
Amé­lio­rer l’ac­cès à l’aide ju­ri­dique et aux ser­vices d’interprètes en mi­lieu so­cial pour les exi­lés.
Moins de vio­lence en­vers eux, plus d’accès dans des centres pour des en­fants sans fa­mille.
Qu’on ac­cueille les en­fants et les ado­les­cents qui sou­haitent une vie meilleure.
Amé­lio­rer l’hygiène dans les camps de ré­fu­giés.
Mettre l’intérêt su­pé­rieur des en­fants au centre des po­li­tiques et des pra­tiques d’accueil afin que les en­fants dans les centres d’accueil puissent être des en­fants avant tout.
Faire en­core plus de lien vers le monde ex­té­rieur pour que les en­fants ne vivent pas seule­ment dans le centre d’accueil.
Or­ga­ni­ser un ré­seau so­lide au­tour des centres d’accueil ; des liens plus étroits avec l’enseignement, les loi­sirs et un meilleur ac­cès au soin de san­té (men­tale).
Des struc­tures adap­tées aux en­fants et aux fa­milles dans les centres d’accueil : pièce suf­fi­sam­ment grande, pos­si­bi­li­té de cui­si­ner soi-même, ins­tal­la­tions sa­ni­taires dans la chambre et sûres, es­paces in­té­rieurs et ex­té­rieurs adap­tés aux en­fants en fonc­tion de leur âge., or­di­na­teurs et wi­fi pour les de­voirs. Dans chaque ville, un centre unique de pas­sage avec la co­or­di­na­tion des ac­ti­vi­tés clai­re­ment dé­fi­nies sur leur ob­jec­tif d’aide. Avec des in­ter­prètes bien sûr ! Des pas­se­relles avec les ci­toyens pour des ac­ti­vi­tés bien pré­ci­sées pour que l‘effet ne soit pas trop in­tense et ne dé­cou­rage pas.
Me­ner plus de consul­ta­tions ju­ri­diques et de cla­ri­fi­ca­tions pour les per­sonnes étran­gères.
Plus de centres pour les mi­grants. Plus de sub­ven­tions pour les as­so­cia­tions qui tra­vaillent avec eux. Que tout le monde y mette du sien, qu’ils soient les bien­ve­nus, dans le pays qu’ils sou­haitent. Sa­chez que des po­li­ciers vous sou­tiennent aus­si.
Des ac­tions plus nom­breuses avec les as­so­cia­tions.
Que des centres d’accueil adap­tés puissent être fa­ci­le­ment ac­ces­sibles.
Qu’on re­donne de l’humanité au monde ! Il est hon­teux de se ca­cher der­rière des consi­dé­ra­tions po­li­tiques, fi­nan­cières… Des me­sures hu­maines doivent être prises. On a le de­voir d’aider les gens en dé­tresse.
De pré­voir des lieux d’accueil « d’urgence » dans toutes les com­munes pour évi­ter aux mi­grants de se re­trou­ver de­hors (aus­si en été).

Soin de san­té

Éga­li­té des droits pour tous par exemple pour les trai­te­ments mé­di­caux.
Ren­for­cer la Sé­cu So­li­daire.
Je pro­pose que tous les en­fants, y com­pris ceux qui n’ont pas de pa­piers, puissent avoir une mu­tuelle, un ac­cès aux soins de san­té.
Sim­pli­fier les dé­marches de l’aide mé­di­cale ur­gente.
Un ac­cès à un lo­ge­ment dé­cent, à l’édu­ca­tion des en­fants, et aux soins de san­té pour cha­cun.
Les per­sonnes ré­fu­giées mé­ritent un ac­cueil dé­cent.

In­for­ma­tion

Or­ga­ni­sa­tion d’un mee­ting sur la pro­blé­ma­tique mi­gra­toire, fa­ci­li­ta­tion de l’intégration et ac­cès à l’information.
Faire en­tendre l’histoire et les dif­fi­cul­tés de tous les gars lais­sés en rue par la Bel­gique au mé­pris de leurs droits !
Que plus d’informations soient don­nées aux com­munes pour ac­cueillir di­gne­ment les per­sonnes obli­gées de fuir leur pays en guerre ou sou­mis à la dic­ta­ture.
En tant que ci­toyen, je pro­pose de dé­dra­ma­ti­ser la vague de mi­grants qui nous en­va­hit. Ils étaient 36 500 en 2022. Loin des 46 000 de 2015 ! Il faut in­for­mer les gens cor­rec­te­ment.
En tant que ci­toyen, je pro­pose d’in­ter­ve­nir au­près des ha­bi­tants et au­to­ri­tés étran­gères pour évi­ter des dé­parts ris­qués.
In­for­mez les pays étran­gers des condi­tions de vie en Bel­gique.
Que la RTBF pro­pose par exemple 1 x par se­maine dix mi­nutes d’émis­sion té­moi­gnage d’un•e migrant•e du style « Le pe­tit Ber­ger » d’Adam ou le par­cours d’une femme ra­ci­sée.
Que les mé­dias et les po­li­tiques cessent de sté­réo­ty­per les mi­grants. Ils sont une op­por­tu­ni­té et non un dan­ger pour le pays hôte.
Rap­pe­ler que les de­man­deurs d’a­sile ne sont pas des pro­fi­teurs, ce sont des per­sonnes en dan­ger de mort ou ayant su­bi de mau­vais trai­te­ments. Ne pas les ac­cueillir de fa­çon cor­recte en res­pect de la loi est in­ac­cep­table.
Ne pas ac­cu­ser les mi­grants sans sa­voir.
Un vé­ri­table tra­vail d’investigation sur les trai­te­ments des mi­grants dans les centres en Bel­gique et au ni­veau in­ter­na­tio­nal.
Que l’on évite les amal­games : un de­man­deur d’asile ou un mi­grant n’est pas ter­ro­riste par es­sence. La qua­si-to­ta­li­té des mi­grants sou­haitent vivre en paix et par­ti­ci­per à la so­cié­té.
Que per­sonne n’oublie qu’il est lui-même fils, pe­tit-fils d’immigrés…
Que les études scien­ti­fiques et so­cio­lo­giques qui dé­montrent les ap­ports po­si­tifs de la mi­gra­tion soient lar­ge­ment dif­fu­sées dans la presse.
Que la dif­fu­sion des chiffres, mis en évi­dence dans di­verses études, nous fasse prendre conscience des vraies réa­li­tés de la mi­gra­tion.

Mo­bi­li­té

Plus de ré­seau de bus dans les cam­pagnes pour plus de mo­bi­li­té au ni­veau de l’emploi.
Un ac­cès plus ai­sé au per­mis de conduire (avec tra­duc­teur) pour avoir un ac­cès à cer­tains tra­vails.
Un abon­ne­ment de bus ac­ces­sible aux per­sonnes sans pa­piers.

Vivre en­semble

Faire une jour­née à leur place. Les lais­ser libres, ce sont des hu­mains comme nous. Vis ma vie.
Je pro­pose qu’on lutte fer­me­ment contre le ra­cisme et les dis­cri­mi­na­tions dès le plus jeune âge en ins­tau­rant des mo­ments de sen­si­bi­li­sa­tion et de réflexion/action dans toutes les écoles.
Et si c’était vous ? Ils ont droit à une vie nor­male. Un fi­let de sou­tien pour une po­li­tique mi­gra­toire.

Que cha­cun fasse aux autres et pour les autres ce qu’il vou­drait qu’on fasse pour lui.
L’Autre est VOTRE mi­roir !
En­ga­gez-vous en fa­veur de la jus­tice mi­gra­toire par­tout !

Sen­si­bi­li­sa­tion à l’ac­cueil res­pec­tueux (connais­sance de la culture de l’autre) au­près des ins­ti­tu­tions.
Que plu­tôt de nous re­plier sur nous-mêmes, nous com­pre­nions les rai­sons qui amènent des can­di­dats ré­fu­giés à tout quit­ter, leur mai­son, leur fa­mille, leur pa­trie, car la vie leur de­vient im­pos­sible.

Que vive le par­tage et qu’on or­ga­nise des concours de « meilleurs par­ta­geurs ».

Que plu­tôt que de craindre les étran­gers, nous cher­chions à dé­cou­vrir leurs ri­chesses. Nous sommes tous des hu­mains… Être hu­main, c’est être confron­té par­fois aux mêmes réa­li­tés : la vie, la mort, les nais­sances, la vie avec ses voi­sins. Il se peut qu’on s’enrichisse de cer­taines ma­nières d’aborder ces ques­tions.
La mul­ti­pli­ca­tion des mo­ments de ren­contres mul­ti cultu­relles car se connaitre c’est s’accepter.
Com­prendre, ac­cep­ter, ne pas ju­ger, ai­der les gens qui viennent d’ailleurs, qui sont dif­fé­rents et ac­cep­ter la dif­fé­rence.
De conti­nuer à en­cou­ra­ger des ren­contres mul­ti-cultu­relles en­core, en­core et en­core. Nous avons tous à ap­prendre les uns des autres.
Qu’il soit créé des mo­ments d’échanges de pa­roles, des jeux de so­cié­té pour créer du lien so­cial. Mettre en place des parrainages/marrainages.
Que l’on se réunisse pour trou­ver des points com­muns et qu’on parle tous en­semble, que l’on res­pecte les dif­fé­rences.
Vivre et rire en­semble.
Pre­nons le temps de se ren­con­trer et de se com­prendre pour avan­cer en­semble.
En­semble, cher­chons ce qui nous ras­semble.
Par­ta­geons notre culture, nos tra­di­tions.
Cé­lé­brer des fêtes en­semble et échan­ger nos ex­pé­riences.
Dé­cou­vrir le pays en fai­sant des ex­cur­sions et ren­con­trer plus de belges.
Avoir des amis qui parlent le fran­çais pour com­mu­ni­quer aus­si en de­hors de l’école.
Un meilleur ac­cueil, mais qui ap­prend éga­le­ment la culture et les règles oc­ci­den­tales. Une plus grande aide dans les deux sens.
Créons du lien pas des liens, créons de la so­li­da­ri­té pas de l’ex­clu­sion, créons du sou­tien pas de la sou­mis­sion.
Une meilleure in­té­gra­tion et édu­ca­tion en­vers les « nou­veaux » mi­grants afin qu’il y ait moins de dis­pa­ri­té so­ciale.
Je pro­pose un ac­cueil rai­son­né plus ou­vert en Bel­gique et une aide aux pays d’où ils partent.
Je pro­pose des lieux de ren­contre avec les nou­veaux ve­nus. Sou­vent, c’est la peur qui bloque les re­la­tions.
Res­pec­ter et mieux connaître ses voi­sins.
Mettre en place des ré­seaux de sou­tien, par­rai­nage, de ren­contre (un, deux, nous, In­ter­ra, Live in Co­lor) afin de per­mettre aux per­sonnes de re­créer des liens puisqu’ils ne bé­né­fi­cient plus du sou­tien de leur fa­mille et ain­si de mieux com­prendre la so­cié­té d’accueil.
Al­ler à la ren­contre des gens.
L’organisation de groupes de cui­sine. Une per­sonne pré­sente un re­pas ty­pique de son pays. Tout le monde cui­sine en­semble et par­tage le re­pas. C ‘est l’occasion de dis­cus­sions, d’échanges et de par­tage entre per­sonnes d’horizons va­riés.

Créer un or­ga­nisme où chaque per­sonne étran­gère pour­rait de­man­der n’importe quelle ques­tion sur la vie en Bel­gique parce que c’est très dif­fi­cile de prendre dif­fé­rents ren­dez-vous dans des or­ga­nismes dif­fé­rents.

Faire du bé­né­vo­lat.
En­cou­ra­ger les « don­ne­ries » afin que tout le monde puisse se vê­tir et trou­ver du mo­bi­lier.
Qu’on ar­rête d’avoir peur de l‘autre, mais qu’on le ren­contre.
Des évè­ne­ments cultu­rels or­ga­ni­sés en ville, sur les places, etc.
Ap­prendre à se connaître.
La pre­mière des choses, il faut les en­tendre avant de les ju­ger et sur­tout don­ner le droit de par­ler pour ex­pli­quer ce qu’ils ont à dire.
Je pense que l’inconnu fait peur mais une fois dé­pas­sées ses peurs, ce­la va très bien.

Que chaque com­mu­nau­té se donne la main et que la fête de Ni­velles donne au moins une cer­taine place aux cultures gé­niales de com­mu­nau­tés qui peuplent Ni­velles. Vive l’inter-culturel !!
Dé­ve­lop­per la culture gé­né­rale, les connais­sances po­li­tiques, la so­li­da­ri­té, l’entraide in­ter-eth­nique et gé­né­ra­tion­nelle. La mul­ti-cultu­ra­li­té est l’avenir ! Dé­ve­lop­per l’écoute et le par­tage des cultures et sa­voirs.
Que les liens soient ren­for­cés entre com­mu­nau­tés.

Que l’on construise moins de murs et plus de ponts… Notre confort gomme
l’empathie… Se mettre dans leur peau… En­core pos­sible ?… Mer­ci les dé­ci­deurs…
Que nous nous mo­bi­li­sions tous en­semble pour ac­cueillir les per­sonnes dé­pla­cées, quelles que soient les rai­sons pour les­quelles elles ont dû ou vou­lu aban­don­ner leur foyer. La terre n’est qu’un seul pays et tous les hu­mains en sont les ci­toyens. Il n’existe de fron­tière que dans l’étroitesse d’esprit.

L’être hu­main n’oublie pas que la mi­sère est à notre porte et que nous ha­bi­tons un pe­tit vil­lage.

Ad­mi­nis­tra­tif / pro­cé­dures

Qu’il puisse y avoir beau­coup plus de places afin de re­ce­voir tout le monde qui vient de­man­der la pro­tec­tion in­ter­na­tio­nale en Bel­gique.
La créa­tion d’un sta­tut de ré­fu­gié cli­ma­tique.
Mettre tout le monde sur un pied d’égalité lors des pro­cé­dures.
En­ga­ger plus de per­son­nel pour ac­cé­lé­rer les dé­marches ad­mi­nis­tra­tives pour ob­te­nir des pa­piers.
Une carte ter­ri­to­riale qui ser­vi­rait de do­cu­ment d‘identité du­rant le temps des pro­cé­dures (exemple : carte ar­dente).
Il fau­drait avoir des ré­ponses plus ra­pides lors des de­mandes pour de­ve­nir ré­fu­gié. At­tendre quelques mois pour une ré­ponse, ce n’est pas pos­sible.
Je pro­pose de don­ner la na­tio­na­li­té pour les per­sonnes de plus de 60 ans sans condi­tion.
Que la pro­cé­dure de de­mande des pa­piers de sé­jour soit moins longue.
Ré­duire le temps des pro­cé­dures afin de di­mi­nuer l’incertitude quant à l’avenir, la des­truc­tion par l’attente.
Je sug­gère de don­ner la ci­toyen­ne­té à une per­sonne qui ré­side de­puis 5 ans et qui a 60 ans sans condi­tion de tra­vail.
Ren­dons le temps de de­mande de ces per­sonnes moins long afin d’obtenir le res­pect d’être un être à part en­tière.
Que cesse, en Bel­gique, tout trai­te­ment in­hu­main et dé­gra­dant en­vers les mi­grants. Qu’ils soient consi­dé­rés pour ce qu’ils sont, une ri­chesse.

Ré­gu­la­ri­sa­tion / Sans pa­pier

Li­ber­té de cir­cu­la­tion pour tous.
Éga­li­té des chances pour tous.
Une ré­gu­la­ri­sa­tion mas­sive comme avec le Mi­nistre Wa­the­let !
Ins­tau­rer des cri­tères de ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers.
Don­ner un titre de sé­jour à tout le monde.
Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers : ils vivent avec nous et tra­vaillent avec et pour nous.
Que le Gou­ver­ne­ment belge mette en place des in­fra­struc­tures d’accueil né­ces­saires pour ac­cueillir les im­mi­grés le temps de la pro­cé­dure de ré­gu­la­ri­sa­tion.
Don­ner un ac­cès plus fa­cile aux moyens de trans­ports aux per­sonnes sans pa­piers.
Sup­pres­sion de Centres fer­més.
Une carte ter­ri­to­riale qui ser­vi­rait de do­cu­ment d’identité du­rant le temps des pro­cé­dures.
Évi­tons les peurs, les pré­ju­gés et les cli­chés.
Sans-pa­piers (mi­neurs, homme, femme) n’est pas sy­no­nyme de DANGER. Il doit être ré­ta­bli dans ses droits.
Don­ner la pos­si­bi­li­té de tra­vailler aux per­sonnes sans pa­piers.
Ce ne sont pas des pri­son­niers, ar­rê­tez de les en­fer­mer !!!
On se me­notte et on em­pêche les avions avec les mi­grants de dé­col­ler pour les re­tour­ner dans leur pays en se met­tant de­bout de­vant l’avion.
Avoir une carte prou­vant la do­mi­ci­lia­tion (carte ar­dente) afin de pou­voir avoir ac­cès à tous les ser­vices com­mu­naux.
Per­mettre aux per­sonnes sans-pa­piers d’avoir ac­cès aux for­ma­tions qua­li­fiantes.
Ren­for­cer la « Sé­cu so­li­daire ».
Fa­ci­li­ter les pro­cé­dures de l’aide mé­di­cale ur­gente (plus ra­pide, moins d’intermédiaires).
Lais­sons tra­vailler les étran­gers qui veulent se dé­brouiller sans pa­piers.

Po­li­tique

Une po­li­tique mi­gra­toire équi­table.
Que l’Europe adopte des me­sures pour un ac­cueil digne des mi­grants afin d’éviter les drames en Mé­di­ter­ra­née.
Que soit ren­for­cée la lutte contre les in­éga­li­tés de genre, afin de pro­té­ger les femmes mi­grantes des abus sur le che­min de l’exil.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’implication des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
L’ouverture de voies d’ac­cès au sé­jour lé­gal, et la prise en consi­dé­ra­tion des vul­né­ra­bi­li­tés.
Je sou­haite l’aban­don dé­fi­ni­tif des vi­sites do­mi­ci­liaires.
La fin de la dé­ten­tion et des ex­pul­sions for­cées d’étrangers pour de simples rai­sons ad­mi­nis­tra­tives.
La mise à l’abri des de­man­deurs de pro­tec­tion in­ter­na­tio­nale : zé­ro sans-abrisme !
La fin du rè­gle­ment Du­blin et l’ar­rêt de l’externalisation des fron­tières.
Qu’un ac­cueil plus hu­main et plus ra­pide soit ré­ser­vé aux mi­grants.
Que chaque com­mune prenne ses res­pon­sa­bi­li­tés en ma­tière d’accueil des ré­fu­giés et de­man­deurs d’asile. Le « Ce n’est pas moi, c’est l’autre », il faut y mettre fin.
Que l’on trans­fère les fi­nan­ce­ments pour les Centres fer­més vers un meilleur fi­nan­ce­ment des Centres d’accueil.
Que l’argent qu’on est prêt à dé­pen­ser pour ren­voyer des per­sonnes au-de­là de nos fron­tières soit plu­tôt uti­li­sé à ac­cueillir di­gne­ment chez nous (lo­ge­ment, for­ma­tions, aide mé­di­cale etc…).
Que le gou­ver­ne­ment belge lé­ga­lise TOUS les mi­grants « illé­gaux ».
Que chaque per­sonne soit trai­tée avec di­gni­té et hu­ma­ni­té.
Que chaque per­sonne qui ar­rive dans notre pays y trouve l’es­poir et les condi­tions né­ces­saires pour re­dé­mar­rer en toute sé­ré­ni­té.
La rue, les Centres « fer­més », les ac­cords avec des pays non dé­mo­cra­tiques, ne peuvent plus être ac­cep­tés.
Plus d’humanité dans le trai­te­ment des de­mandes d’asile.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’im­pli­ca­tion des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
Que les mi­grants soient ac­cueillis avec plus de d’humanité.
Qu’ils soient re­gar­dés et ac­cueillis comme des hommes.
Com­bien de bâ­ti­ments vides qui pour­raient leur être at­tri­bués !
C’est un choix po­li­tique !
Voir la di­gni­té hu­maine res­pec­tée par mon propre pays, la Bel­gique.
Quel État peut pré­tendre être un État de droit et s’asseoir sur les Ar­rêts de la Cour eu­ro­péenne des Droits de l’Homme ?
Aujourd’hui, j’ai honte de mon pays. Aujourd’hui, j’ai honte d’être Belge.
Il y a des normes. Il y a sur­tout des hommes. Mer­ci pour eux.
Quand le gou­ver­ne­ment est et per­siste d’être hors-la-loi, que reste-t-il à faire pour les ci­toyens ? La déso­béis­sance ci­vile.
Que le gou­ver­ne­ment belge (ain­si que tous les ci­toyens) soient plus ac­cueillants et plus hu­mains avec les mi­grants.
Que la Bel­gique et son Gou­ver­ne­ment fassent hon­neur à leurs citoyen•nes.
Qu’ils mettent en place une po­li­tique mi­gra­toire qui res­pecte les droits hu­mains, la di­gni­té de chacun•e.
Que l’on cesse de faire des éco­no­mies sur le dos de l’humanité.
Que vous, po­li­tiques belges, vous met­tiez en­fin tout en œuvre pour un ACCUEIL DIGNE et SOLIDAIRE des mi­grants du monde en­tier.
Une vé­ri­table po­li­tique d’accueil res­pec­tueuse des lois, de la Conven­tion des Droits hu­mains, de la Conven­tion de Ge­nève et SURTOUT du fait que nous sommes tous et toutes ha­bi­tants de la Terre.
Je suis scan­da­li­sé. Que faites-vous, les « Po­li­ti­ciens » pour la di­gni­té hu­maine [avec] notre ar­gent en pen­sant que vous lais­sez plus de 2500 per­sonnes à la rue ? « HEUREUSEMENT » qu’il y a les ASSOCIATIONS.
Que le gou­ver­ne­ment belge res­pecte les « Dé­crets » eu­ro­péens par rap­port à l’asile des mi­grants. Lorsqu’un gou­ver­ne­ment pose des actes illé­gaux, les ci­toyens se posent des ques­tions.
Que les mi­grants ne soient plus cri­mi­na­li­sés : mi­grer, c’est exer­cer son droit de se dé­pla­cer.
Que les po­li­ti­ciens belges et eu­ro­péens règlent les pro­blèmes de flux mi­gra­toires pour évi­ter le sys­tème ca­tas­tro­phique ac­tuel.
Que notre so­cié­té et les po­li­tiques qui la re­pré­sentent se sou­cient de ne lais­ser au­cun être hu­main sur le cô­té, qui qu’il soit, d’où qu’il vienne, quelle que soit sa si­tua­tion so­ciale.
Que les po­li­ti­ciens prennent leurs res­pon­sa­bi­li­tés avec cou­rage !
URGENT !!! Que ma com­mune mette en place une struc­ture d’accueil pour les migrant•es et fa­ci­lite leurs dé­marches d’intégration dans notre beau pays !
Que l’Occident ar­rête de sou­te­nir les dic­ta­tures en Afrique noire !
Que les po­li­tiques prennent des me­sures concrètes pour ré­soudre les conflits et sup­pri­mer les in­éga­li­tés.
Une meilleure écoute et échange entre les po­li­tiques et les ci­toyens.
Que la mi­gra­tion soit un réel droit et qu’on mette fin aux pro­po­si­tions de vi­sites do­mi­ci­liaires. Nous sommes tous des ha­bi­tants de la même pla­nète !
L’abo­li­tion pré­ven­tive de l’idée de vi­site do­mi­ci­liaire. Ce n’est pas en fouillant les mai­sons que l’on trouve les ter­ro­ristes. C’est en don­nant les moyens à la jus­tice pour ne pas man­quer les in­di­vi­dus ra­di­ca­li­sés.
Voir plus d’actions sou­te­nues par la com­mune pour pro­mou­voir le sens de l’hospitalité dont les mi­grants ont be­soin.
Que la po­li­tique mi­gra­toire fa­ci­lite l’ins­tal­la­tion des mi­grants et des de­man­deurs qui ont des fa­milles sur le ter­ri­toire Belge.
Que l’État cesse de gas­piller notre ar­gent dans des pro­jets « tape à l’œil ». Nous n’avons pas be­soin de luxe. Nous avons be­soin de cô­toyer des hu­mains heu­reux, épa­nouis, ac­cueillis, ac­tifs, li­bre­ment.
Un peu plus d’énergie de la part des Pou­voirs pu­blics.
Que chaque per­sonne sur terre ait les mêmes chances en termes de sé­cu­ri­té, d’alimentation et de san­té. Que toutes les per­sonnes soient trai­tées de ma­nière éga­li­taire en tant qu’humain et non par rap­port à sa na­tio­na­li­té.
Que des règles claires soient éta­blies et res­pec­tées par l’État fé­dé­ral dans sa po­li­tique mi­gra­toire.
Que le gou­ver­ne­ment res­pecte la loi pour l’accueil des mi­grants.
Je pro­pose le main­tien dans la du­rée des en­ga­ge­ments des Com­munes Hos­pi­ta­lières, dont Liège fait par­tie.
J’aimerais voir la jus­tice mieux fi­nan­cée. En­tendre que des si­tua­tions hu­maines dé­gra­dées res­tent en sus­pens pour rai­son de jus­tice ad­mi­nis­tra­tive sous-fi­nan­cées est in­ac­cep­table !
La ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers, des voies sûres et lé­gales pour mi­grer, l’ac­cueil des per­sonnes mi­grantes dans les dif­fé­rentes com­munes, as­su­rer leurs droits ef­fec­tifs !
Que toutes et tous puis­sions vivre di­gne­ment, en sé­cu­ri­té, avoir des pa­piers, en bref vivre en­semble. Pour ce­la, il faut une po­li­tique mi­gra­toire plus juste et plus hu­maine.
Moins de mi­nistres, plus de pro­messes te­nues.
Par­tir des re­la­tions entre ci­toyens ou­verts et en faire une po­li­tique =) in­clure un co­mi­té de ci­toyens, des gens de ter­rain, dans la ré­flexion de po­li­tique d’accueil.
Ré­gu­la­ri­ser avec des cri­tères clairs et per­ma­nents, une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
Des ac­tions concrètes de pro­tec­tion des per­sonnes sans-pa­piers dans ma com­mune.
La fer­me­ture des Centres fer­més.
Chan­ger la pro­cé­dure de Du­blin.
Pays des Droits de l’Homme ? Uti­li­sons nos moyens fi­nan­ciers pour res­pec­ter ces belles pa­roles.
L’ONU a ap­prou­vé le droit des mi­grants comme un droit hu­main : dans cet es­prit, je pro­pose d’encou­ra­ger les po­li­tiques pour que la Bel­gique et l’Union eu­ro­péenne soient par­te­naire de cette Conven­tion en la si­gnant et la ra­ti­fiant.
Que les per­sonnes ve­nant de pays en guerre ob­tiennent d’of­fice des pa­piers.
Que ma com­mune, Liège, se dote d’une « Carte Ci­toyenne ».
Que les com­munes re­nou­vellent leur mo­tion de ville hos­pi­ta­lière et qu’elles s’engagent ef­fec­ti­ve­ment dans des po­li­tiques d’ouverture et d’accueil.
Des cri­tères clairs et per­ma­nents de ré­gu­la­ri­sa­tion.
Une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
La fin du ca­pi­ta­lisme ! Car on uti­lise les étran­gers pour di­mi­nuer les sa­laires = mau­vais pour les tra­vailleurs d’ici = ce qui aug­mente les votes d’extrême droite = ter­reau de dic­ta­ture.
L’établissement de cri­tères de ré­gu­la­ri­sa­tion ra­pi­de­ment.
Nous, les mul­ti­na­tio­nales du Nord, fixant les prix des ma­tières pre­mières, or­ga­ni­sant les mar­chés, terres ex­clu­si­ve­ment culti­vées pour nous ; ba­teaux écu­mant les mers tu vois tous ces ré­sul­tats sur le cli­mat. Mais va-t-on chan­ger ?
Qu’il n’y ait plus de guerre dans le monde.
Que le ci­toyen soit au centre des dif­fé­rentes dé­ci­sions po­li­tiques. Soyons les ac­teurs de la rup­ture et les ar­ti­sans du re­nou­veau.
Je pro­pose d’a­bo­lir les ac­cords de Du­blin, d’o­bli­ger l’É­tat belge à res­pec­ter le droit in­ter­na­tio­nal.
Que tous ceux qui sont ve­nus par re­grou­pe­ment fa­mi­lial puissent avoir la na­tio­na­li­té après 3 ans.
Res­pec­ter la di­gni­té hu­maine et les droits élé­men­taires.
Les ac­cueillir, ne pas les ju­ger ni les re­je­ter.
Il faut ab­so­lu­ment que les po­li­tique se bougent, que nos gou­ver­ne­ments res­pectent les en­ga­ge­ments eu­ro­péens qu’ils ont ap­prou­vés.
Que chaque po­li­ti­cien donne un jour de son sa­laire aux sans-abris.
De ré­gu­la­ri­ser mas­si­ve­ment les per­sonnes sans titre de sé­jour et de res­pec­ter toutes nos obli­ga­tions in­ter­na­tio­nales en ma­tière de mi­gra­tion !

Man­da­taires com­mu­naux

En tant que man­da­taire com­mu­nal, je pro­pose que des liens so­ciaux unissent les gens : je donne, je par­tage et je réa­lise des pro­jets so­ciaux res­pon­sables.
1) Une vi­site gui­dée de Hot­ton avec ses prin­ci­paux at­traits tou­ris­tiques, cultu­rels et spor­tifs
2) Or­ga­ni­ser des ate­liers et for­ma­tions sur les ré­so­lu­tions des conflits pour les ré­si­dents des centres de tous âges. Ob­jec­tifs : ap­prendre à gé­rer les désac­cords de ma­nières construc­tives
3) Mettre en place un pro­gramme de tu­to­rat qui met­tra en re­la­tion des jeunes des centres et des ai­nés
4) Or­ga­ni­ser des ren­contres au sein d’es­paces convi­viaux axé sur la dé­cou­verte des cultures dif­fé­rentes pré­sentes sur notre com­mune. Il y au­rait des ac­ti­vi­tés de mu­sique, danse, cui­sine, ar­ti­sa­nat… Prendre le temps en­semble de faire connais­sance
5) Une vi­site de la mai­son com­mu­nale, du CPAS, de la crèche, des ré­si­dences ser­vices pour l’ensemble des nou­veaux ha­bi­tants de la com­mune y com­pris les nou­veaux ré­si­dents des centres
6) Mettre en place des ac­ti­vi­tés spor­tives, cultu­relles et autres, du­rant les­quelles les ha­bi­tants et les mi­grants pour­rait ap­prendre à se connaitre
7) Or­ga­ni­ser une ou deux fois par an, des réunions d’accueil et d’information pour les nou­veaux ar­ri­vants, leur pré­sen­ter les op­por­tu­ni­tés d’intégration au sein des nom­breuses as­so­cia­tions de la com­mune
8) En tant que man­da­taire com­mu­nal, je sou­haite que ma com­mune puisse ac­cueillir li­bre­ment et ob­te­nir les moyens du fé­dé­ral pour concré­ti­ser cet ac­cueil
9) Tis­ser des liens grâce aux ac­ti­vi­tés ex­tra-sco­laires des en­fants et in­vi­ter les ré­si­dents aux réunions pour par­ti­ci­per à des ac­ti­vi­tés des groupes cultu­rels de Hot­ton.
Je pro­pose que le fi­nan­ce­ment et l’organisation, par le ni­veau fé­dé­ral, de l’ac­cueil des mi­grants au ni­veau lo­cal, soient constants, lé­ga­li­sés, dé­fi­nis et as­su­rés et, sur­tout, d’un ni­veau digne de notre pays qui est un pays riche, res­pon­sable et te­nu, par sa po­si­tion, par son his­toire, à un de­voir d’exemplarité hu­ma­ni­taire. Que les de­man­deurs d’asile soient trai­tés comme tout être hu­main, dans la di­gni­té. Que leurs droits soient res­pec­tés et qu’ils soient ap­pli­qués.
Les Villes et Com­munes se ré­par­tissent des places d’accueil pour mi­grants et « sans abris » de fa­çon à dé­blo­quer des me­sures hu­maines et fra­ter­nelles, sans ghet­toï­sa­tion en fa­veur de l’intégration et de l’inclusion. Uto­pie ?
Je m’engage à ré­no­ver les bâ­ti­ments pu­blics vides pour fa­ci­li­ter l’accès au lo­ge­ment si je suis dans la ma­jo­ri­té.
Que Ni­velles res­pecte aus­si les en­ga­ge­ments de Com­mune hos­pi­ta­lière ! Vrai­ment ac­cueillir les gens et faire re­mon­ter les de­mandes au fé­dé­ral.
Res­pect des en­ga­ge­ments de la Bel­gique ! Que nous fai­sions sim­ple­ment notre tra­vail dans le res­pect des droits hu­mains !
Une nou­velle phase de ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers.
Que des lo­ge­ments soient pris en charge par les Com­munes, Pro­vinces et que des moyens fi­nan­ciers leurs soient at­tri­bués.
Lut­ter contre les mar­chands de som­meil.
Rendre plus de lo­ge­ments ac­ces­sibles.
Va­lo­ri­ser la di­ver­si­té cultu­relle par des fêtes in­ter­cul­tu­relles.
Mettre en­fin en place la Carte Ar­dente.
Re­ce­voir les plaintes des per­sonnes sans pa­piers et les trai­ter : le la­bel « Com­mune hos­pi­ta­lière » ce­la se mé­rite.
Ré­gu­la­ri­sa­tion main­te­nant pour tous et des cri­tères clairs.
Il faut ab­so­lu­ment une com­mis­sion per­ma­nente de ré­gu­la­ri­sa­tion, in­dé­pen­dante et avec des cri­tères clairs et per­ma­nents.
Réa­li­ser un in­ven­taire des bâ­ti­ments aptes à ac­cueillir des mi­grants et mettre en place la struc­ture ad hoc (ar­chi­tecte, chef de chan­tier) pour ai­der ces mi­grants à ré­ha­bi­li­ter ces lieux (iso­la­tion, etc), moyen­nant un re­ve­nu d’intégration pour ces per­sonnes.
Ce­la pour­rait aus­si consti­tuer à terme des équipes for­mées pour ré­ha­bi­li­ter d’autres lo­ge­ments dans le cadre du plan cli­mat.
Don­ner des condi­tions de vie digne dans le pays d’origine (des mi­grants). Payer leur tra­vail et leurs ma­tières pre­mières à un prix juste.

Ré­flexions sur nos va­leurs

Si la terre a des fron­tières, les rêves des mi­grants n’en au­ront ja­mais !
L’amour est une va­leur re­fuge.
Voir un monde où toute per­sonne peut être égale et re­con­nue.
Com­men­çons à pen­ser glo­bal, pour le bien de cha­cune et de cha­cun. Il est plus que temps de le­ver le pied sur notre gour­man­dise qui épuise la Terre et en­voie sur les routes des mil­lions de per­sonnes.
Créons des liens entre nous, pas sur leurs poi­gnets.
Nous sommes tou­jours l’étranger de quelqu’un, alors ar­rê­tons d’avoir peur d’eux et de les haïr.
La pla­nète est à tout le monde ! Soyons so­li­daires.
Que tous ces hu­mains qui naissent libres et égaux en droit soient trai­tés avec la di­gni­té à la­quelle ils ont droit !
J’aimerais que chaque ci­toyen du monde puisse gar­der sa di­gni­té. En les ac­cueillant en tant qu’HUMAIN.
Les per­sonnes sans pa­pier ne sont pas des cri­mi­nels.
Tout homme a droit à la li­ber­té et à vivre comme il l’en­tend.
Chaque hu­main a le droit de vivre dans le pays qu’il veut en toute li­ber­té.
Nous sommes tous des ci­toyens du monde.
« Les images sont par­fois trom­peuses ».
À toutes ces per­sonnes res­pec­tables… qu’elles soient res­pec­tées.
Sans lien de la mul­ti-cultu­ra­li­té, il n’y au­ra pas d’a­ve­nir pour le monde.
L’abolition des fron­tières pour la libre cir­cu­la­tion des per­sonnes.
Abo­lir les in­éga­li­tés qui sont un frein à la so­li­da­ri­té.
Ou­ver­ture des fron­tières.
On est tous les mêmes.
Que tout le monde se mette en­semble pour un ave­nir meilleur.
Plus de paix, plus de to­lé­rance.
La bien­veillance uni­ver­selle.
Per­sonne n’est étran­ger sur cette terre.
De trai­ter chaque per­sonne hu­mai­ne­ment, peu im­porte l’origine ou la pro­ve­nance d’une per­sonne. Ce n’est pas ac­cep­table de trai­ter les étran­gers avec des mau­vaises condi­tions !
Res­pec­tons les Droits des HOMMES !! L’autre n’est pas dif­fé­rent, l’autre ne fait pas peur, l’i­gno­rance fait peur. Ap­prendre à connaître l’autre est le seul che­min.
L’ac­cueil, c’est la ri­chesse d’une so­cié­té qui reste ou­verte sur le monde.
Tout homme a droit à la li­ber­té et à vivre comme il l’en­tend.
Ac­cueil et in­té­gra­tion = bé­né­fice à court et à long terme.
Sans lien de la mul­ti-cultu­ra­li­té, il n’y au­ra pas d’a­ve­nir pour le monde.
Créons du lien pas des liens, créons de la so­li­da­ri­té pas de l’ex­clu­sion, créons du sou­tien pas de la sou­mis­sion.
Nous sommes tous is­sus du même moule et monde, quel que soit notre cou­leur.

Je sou­haite que cette œuvre sym­bo­lise les cultures gé­niales qui peuplent la Bel­gique : vive l’interculturalité !

Concrete and po­si­tive ci­ti­zen pro­po­sals to im­prove the re­cep­tion of un­do­cu­men­ted mi­grants in Bel­gium

Throu­ghout Bel­gium, ci­ti­zens and mu­ni­ci­pal re­pre­sen­ta­tives, aged 4 to 94, have for­mu­la­ted po­si­tive pro­po­sals to build to­ge­ther a fair and sus­tai­nable re­cep­tion for people exi­led in our coun­try.

Em­ploy­ment op­por­tu­ni­ties

Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted mi­grants : al­low cer­tain or­ga­ni­za­tions to give their ad­dresses to un­do­cu­men­ted mi­grants to en­cou­rage of­fi­cial work ins­tead of un­de­cla­red work and to pro­vide them with shel­ter.
Ma­king work ac­ces­sible to people wi­thout pa­pers for eve­ry job of­fer that does not find a can­di­date. Re­gu­la­ri­za­tion of people wi­thout pa­pers, decent hou­sing for eve­ryone.
Al­low mi­grants to work in the sec­tors in which they are qua­li­fied.
Fa­ci­li­tate di­plo­ma equi­va­lence through a skills test/apprenticeship that en­ables cer­ti­fi­ca­tion, ra­ther than ha­ving to re­peat the stu­dies from scratch.
Work for mi­grants for a decent wage.
Hel­ping people to ob­tain a re­war­ding so­cial sta­tus (ins­tead of just being an asy­lum see­ker).
– Equi­va­lence of sco­lar de­grees =) ad­mi­nis­tra­tive sim­pli­fi­ca­tion of equi­va­lence.
– Ac­cess to long-term and pro­fes­sio­nal trai­ning courses.
– Work per­mit for eve­ryone.
Avai­la­bi­li­ty of a trans­la­tor to ob­tain a dri­ver’s li­cense so that qua­li­fied people who do not yet speak the lan­guage per­fect­ly can ac­cess a job that re­quires a dri­ver’s li­cense.
En­abling lo­cal dri­ver trai­ning for illi­te­rate people.
Ad­di­tio­nal day­care cen­ters and af­ter-school care. Ope­ning and clo­sing of day­care cen­ters adap­ted to wor­king hours (clea­ning, etc.) Mi­grants do not have a fa­mi­ly en­vi­ron­ment that can pro­vide child­care.
Amend the Com­bi­ned Per­mit Act.
I pro­pose a lit­tle more hu­ma­ni­ty, so that all people in need have ac­cess to trai­ning or stu­dies to de­ve­lop them­selves.
We should get to work fas­ter and re­co­gnize the ca­pa­bi­li­ties of mi­grants, be­cause wi­thout work, land­lords will not want to rent them any ac­com­mo­da­tion.
That the di­plo­mas ob­tai­ned in these coun­tries are re­co­gni­zed and pro­vide ac­cess to a short trai­ning course in­clu­ding a lan­guage mo­dule, so that they main­tain their self-es­teem.
Create op­por­tu­ni­ties to conti­nue ta­king lan­guage courses on the job, to en­able a work cir­cum­stances. (on-site courses, sub­si­di­zed, not at the em­ployer’s ex­pense).
Help com­pa­nies that want to work with asy­lum see­kers by of­fe­ring cultu­ral me­dia­tors to bet­ter un­ders­tand each other.
That these people get a chance in life, work in so­cie­ty, be­cause that is what they are loo­king for when they ar­rive here.
Set up a gui­dance sys­tem so that people can en­ter a real wor­king en­vi­ron­ment more qui­ck­ly and re­gain their self-es­teem and self-confi­dence.
We must al­so re­gu­la­rize all un­do­cu­men­ted wor­kers and al­low re­fu­gees to work when their skills meet em­ploy­ment de­mand ; for the same sa­la­ry as a Bel­gian.
Give mi­grant wor­kers a stable re­si­dence per­mit.

Hou­sing in­fra­struc­ture

Let there be a concrete wave of so­li­da­ri­ty, a mee­ting place for eve­ryone + ac­cess to food…
A kind of “Res­tos du coeur” for ho­me­less mi­grants. At least shel­ter. The go­vern­ment must wel­come mi­grants.
That my mu­ni­ci­pa­li­ty may par­ti­ci­pate in the CIRE plan pro­po­sed in Sep­tem­ber 2022 ! for a (fair) spread per mu­ni­ci­pa­li­ty.
Im­prove ac­cess to le­gal aid and in­ter­pre­ters for re­fu­gees.
Less vio­lence against them, bet­ter ac­cess to cen­ters for unac­com­pa­nied mi­nors.
Let’s wel­come chil­dren and ado­les­cents who want a bet­ter life.
Im­pro­ving hy­giene in re­fu­gee camps.
Place the in­ter­ests of chil­dren at the cen­ter of a wel­come po­li­cy and prac­tice, so that chil­dren in re­fu­gee cen­ters can be chil­dren first.
Make the en­vi­ron­ment ac­ces­sible, so that chil­dren do not live alone in the shel­ter.
Or­ga­nize a strong net­work around shel­ters ; clo­ser ties with edu­ca­tion, lei­sure and bet­ter ac­cess to (men­tal) health care.
In­fra­struc­ture sui­table for chil­dren and fa­mi­lies in the re­cep­tion centres : suf­fi­cient­ly large rooms, pos­si­bi­li­ty to co­ok your­self, safe sa­ni­ta­ry fa­ci­li­ties in the room, in­door and out­door areas sui­table for chil­dren by age, com­pu­ters and Wi­Fi for ho­me­work.
A single tran­sit cen­ter in each ci­ty with tar­ge­ted and co­or­di­na­ted ope­ra­tions ba­sed on the in­ten­ded aid ob­jec­tive. With in­ter­pre­ters of course ! Contact with ci­ti­zens for well-de­fi­ned and not too in­tense ac­ti­vi­ties not to dis­cou­rage them.
More le­gal ad­vice and cla­ri­fi­ca­tion for fo­rei­gners.
More cen­ters for mi­grants. More sub­si­dies for the as­so­cia­tions that col­la­bo­rate with them. Let eve­ryone do their part, let them be wel­come, in the coun­try they choose. Know that the po­lice al­so sup­port you.
More ac­tions with as­so­cia­tions.
That sui­table re­cep­tion cen­ters are ea­si­ly ac­ces­sible.
More hu­ma­ni­ty in the world ! It is sha­me­ful to hide be­hind po­li­ti­cal or fi­nan­cial consi­de­ra­tions… Hu­man ac­tion must be ta­ken. We have a du­ty to help those in need.
Pro­vide emer­gen­cy shel­ter in all mu­ni­ci­pa­li­ties to prevent mi­grants from en­ding up on the streets (al­so in the sum­mer).

Edu­ca­tion and trai­ning

Help/support with trans­la­tion, fin­ding a job, even with com­plete lan­guage in­abi­li­ty.
Pro­vi­ding ac­cess to hi­gher edu­ca­tion to un­do­cu­men­ted people.
Bet­ter re­cep­tion and sup­port for re­fu­gee stu­dents ar­ri­ving in the Bel­gian edu­ca­tion sys­tem !
There are not en­ough schools to learn the lan­guage in vil­lages and out­side =) in­crease the num­ber of trai­ning cen­ters.
Lan­guage les­sons should be free.
There should be more op­por­tu­ni­ties for lan­guage les­sons, be­cause we have to wait a long time to start.
Job of­fices’ of­fers must be avai­lable in mul­tiple lan­guages to qui­ck­ly find a job.
All people in need of care from ano­ther coun­try must have ac­cess to cer­ti­fied trai­ning so that they can then work and be­come self-re­liant.
Let re­fu­gees re­ceive trai­ning, let them work in Bel­gium and then let them re­turn to their coun­try as soon as there is peace.
Of­fe­ring cer­ti­fied En­glish tea­chers to un­ders­tand each other bet­ter.
I pro­pose that all chil­dren should be able to par­ti­ci­pate in all school ac­ti­vi­ties, in­clu­ding school trips.
I pro­pose that we can go to school more qui­ck­ly af­ter ar­ri­ving in Bel­gium.
I pro­pose that we give courses on Bel­gian culture to un­ders­tand it bet­ter.
De­ve­lo­ping so­cial and pro­fes­sio­nal in­te­gra­tion pro­grams for mi­grants.

In­for­ma­tion

Fa­ci­li­tate the or­ga­ni­za­tion of mee­tings on the mi­gra­tion is­sue and make in­for­ma­tion ea­si­ly ac­ces­sible.
The sto­ries and dif­fi­cul­ties of young people left on the streets by Bel­gium, in vio­la­tion of their rights, must be made known !
Bet­ter in­form mu­ni­ci­pa­li­ties so that they can re­ceive people who have been for­ced to flee their coun­try at war or were sub­ject to a dic­ta­tor­ship, in a di­gni­fied man­ner.
As a ci­ti­zen, I pro­pose to de­dra­ma­tize the in­flux of mi­grants. In 2022 there were 36,500. Far from the 46,000 in 2015 ! We must in­form people cor­rect­ly.
As a ci­ti­zen, I pro­pose to in­ter­vene with re­si­dents and au­tho­ri­ties in coun­tries of ori­gin to prevent ris­ky mi­gra­tion.
In­form the coun­tries of ori­gin about li­ving condi­tions in Bel­gium.
For example, let the main TV chan­nels of­fer ten mi­nutes of tes­ti­mo­nials from a mi­grant once a week in the style of “Le pe­tit Ber­ger” by Adam or the jour­ney of a ra­cia­li­zed wo­man.
Let the me­dia and po­li­ti­cians stop ste­reo­ty­ping mi­grants. They of­fer op­por­tu­ni­ties and not dan­ger to the host coun­try.
Re­mem­ber that asy­lum see­kers are not pro­fi­teers, but people who are in life dan­ger or who are vic­tims of abuse. It is unac­cep­table not to wel­come them pro­per­ly in ac­cor­dance with the law.
Don’t ac­cuse mi­grants out of igno­rance.
Real re­search work on the treat­ment of mi­grants in cen­ters in Bel­gium and in­ter­na­tio­nal­ly.
Let’s avoid confu­sion : an asy­lum see­ker or a mi­grant is es­sen­tial­ly not a ter­ro­rist. Al­most all mi­grants want to live in peace and par­ti­ci­pate in so­cie­ty.
Re­mem­ber that eve­ryone is the son or grand­son of an im­mi­grant…
En­able scien­ti­fic and so­cio­lo­gi­cal stu­dies to de­mons­trate the po­si­tive contri­bu­tions of mi­gra­tion and to wi­de­ly dis­se­mi­nate them in the press.
The dis­se­mi­na­tion of sta­tis­tics re­vea­led by va­rious stu­dies can make us aware of the ge­nuine rea­li­ty of mi­gra­tion.

Li­ving to­ge­ther

Spend a day in their place. Let them be free, they are people like us. Ex­pe­rience their lives.
I pro­pose that we vi­go­rous­ly com­bat ra­cism and dis­cri­mi­na­tion from an ear­ly age by crea­ting mo­ments of awa­re­ness, re­flec­tion and ac­tion in all schools.
And what if it were you ? They have the right to live a nor­mal life. A net­work for a mi­gra­tion po­li­cy, please.
Let eve­ryone do with and for others what he/she would like to be done for him/her.
The other is YOUR mir­ror image.
En­gage in mi­gra­tion jus­tice eve­ryw­here !
Would like to see more res­pect­ful re­cep­tion (know­ledge of the culture of others) at ins­ti­tu­tions.
Ins­tead of tur­ning away, let us try to un­ders­tand the rea­sons that drive would-be re­fu­gees to leave eve­ry­thing, their home, their fa­mi­ly, their ho­me­land, be­cause life there be­comes im­pos­sible for them.
Let’s race ! Who shows so­li­da­ri­ty best !
We should, ins­tead of fea­ring stran­gers, en­dea­vor to dis­co­ver their great­ness. We are all hu­man… Being hu­man means fa­cing the same rea­li­ty : life, death, birth, li­ving with others.
This is­sue is a po­si­tive chal­lenge from which we can learn.
As ma­ny mul­ti­cul­tu­ral en­coun­ters as pos­sible, be­cause lear­ning to know means lear­ning to ac­cept.
Help, un­ders­tand, and ac­cept people who come from el­sew­here and who are dif­ferent wi­thout pre­ju­dice and ac­cept dif­fe­rences.
Conti­nue to en­cou­rage mul­ti­cul­tu­ral en­coun­ters again and again. We should all learn from each other.
Create mo­ments of dis­cus­sion, through board games to create so­cial bonds. Why not spon­so­red ?
Let’s come to­ge­ther to find our si­mi­la­ri­ties and talk to each other, and res­pect dif­fe­rences.
Live and laugh to­ge­ther.
Let’s take the time to meet and un­ders­tand each other so we can move for­ward to­ge­ther.
Let’s look to­ge­ther for what brings us to­ge­ther.
Let’s share our culture, our tra­di­tions.
Ce­le­brate ho­li­days to­ge­ther and ex­change ex­pe­riences.
Dis­co­ver the coun­try by going on a trip to meet more Bel­gians.
Make sure you have friends who speak the lan­guage so you can com­mu­ni­cate out­side of school.
A bet­ter re­cep­tion, but al­so lear­ning Wes­tern culture and rules. More of both.
Let’s forge bonds, let’s create so­li­da­ri­ty ins­tead of ex­clu­sion, let’s create sup­port ins­tead of sub­mis­sion.
Bet­ter in­te­gra­tion and edu­ca­tion for “new” mi­grants, so that there is less so­cial in­equa­li­ty.
I pro­pose a more open and rea­so­ned re­cep­tion in Bel­gium and as­sis­tance to the coun­tries from which they leave.
I pro­pose of­fe­ring mee­ting places with new­co­mers. Of­ten it is fear that pre­vents mee­tings.
Res­pect and know your neigh­bors bet­ter.
Set up sup­port, spon­sor­ship and mee­ting net­works (one, two, us, In­ter­ra, Live in Co­lor) to en­able people to forge new bonds, as they miss the sup­port of their fa­mi­lies, and thus they can join the so­cie­ty of learn to un­ders­tand their host/hostess.
Go out and meet people.
Or­ga­nize co­oking groups. A per­son pre­sents a ty­pi­cal meal from his coun­try. Eve­ryone co­oks to­ge­ther and shares the meal. It is an op­por­tu­ni­ty for dis­cus­sion and ex­changes bet­ween people from dif­ferent back­grounds.
Create a plat­form where eve­ry fo­rei­gner can ask all ques­tions about life in Bel­gium. Be­cause it is ve­ry dif­fi­cult to deal with the va­rious or­ga­ni­za­tions each and eve­ry time.
Vo­lun­teer work.
En­cou­rage “do­na­tions” so that eve­ryone can dress and fur­nish them­selves.
That we are no lon­ger afraid of the other, but that we meet them.
Or­ga­nize cultu­ral events in the ci­ty, on squares, etc.
Get­ting to know ea­cho­ther.
The first is that we must hear them be­fore we judge them, and above all that we must give them the right to speak and ex­plain what they have to say.
I think the unk­nown is sca­ry, but once you get over your dis­com­fort, you can make it work.
May eve­ry com­mu­ni­ty join hands and may the Ni­velles Fes­ti­val at least give place to the vi­brant cultures of Ni­velles” com­mu­ni­ties. Long live in­ter­cul­tu­ra­li­ty!!
De­ve­lop com­mon culture, po­li­ti­cal know­ledge, so­li­da­ri­ty, in­ter­eth­nic and mu­tual aid across ge­ne­ra­tions. Mul­ti­cul­tu­ra­lism is the fu­ture ! En­cou­rage lis­te­ning to and sha­ring cultures and know­ledge.
May the bonds bet­ween com­mu­ni­ties be streng­the­ned.
Let’s build fe­wer walls and more bridges… For­get our com­fort, we need em­pa­thy… Put your­self in their shoes…
Let us all mo­bi­lize to­ge­ther to wel­come dis­pla­ced people, re­gard­less of the rea­sons why they had to or wan­ted to leave their homes. The Earth is ul­ti­ma­te­ly one big place and all people are its ci­ti­zens. Boun­da­ries on­ly exist in nar­row min­ded thin­king.
One can­not look away when mi­se­ry knocks at the door. The world is too small for it.
Let us de­ve­lop com­mon culture, po­li­ti­cal know­ledge, so­li­da­ri­ty and in­ter-eth­nic and mu­tual aid. Mul­ti­cul­tu­ra­lism is the fu­ture !

Heal­th­care

Equal rights for eve­ryone, for example for me­di­cal treat­ments.
I pro­pose that all chil­dren, even those who are un­do­cu­men­ted, can have so­cial in­su­rance and ac­cess to heal­th­care.
Sim­pli­fy emer­gen­cy me­di­cal care pro­ce­dures.
Ac­cess to decent hou­sing, edu­ca­tion for chil­dren and heal­th­care for all.
Re­fu­gees de­serve a decent wel­come.

Ac­com­mo­da­tion

Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants, ex­pan­sion of shel­ters in ILAs and re­cep­tion centres. Al­low NGOs and non-pro­fits, or­ga­ni­za­tions, churches, etc. to pro­vide their ad­dresses to un­do­cu­men­ted mi­grants so they can find shel­ter.
A roof for eve­ryone, ba­sic com­fort (food, hea­ting) for eve­ryone, edu­ca­tion for eve­ryone. Let’s stand in so­li­da­ri­ty… we all live to­ge­ther on the same pla­net !
Fi­nan­cial­ly af­for­dable hou­sing for eve­ryone !
Pro­mote so­li­da­ri­ty, the de­ve­lop­ment of (exis­ting) live in com­mu­ni­ties, in­ter­ge­ne­ra­tio­nal, mul­ti­cul­tu­ral. Long live di­ver­si­ty and hu­man in­ter­ac­tion with each other.
More help fin­ding ac­com­mo­da­tion.
Shel­ter for eve­ryone and al­so food.
Gi­ving people ac­cess to a stable and safe li­ving en­vi­ron­ment.
Re­pur­po­sing va­cant buil­dings to house the ho­me­less.
In­crease the num­ber of beds in FEDASIL cen­ters and ILAS, if ne­ces­sa­ry use out­door areas (for example : FEDASIL in Oi­gnies with a huge area to place tents).
Avai­la­bi­li­ty of an in­ter­pre­ter to bet­ter un­ders­tand pro­ce­dures (ren­ting).
Qua­li­ty care for chil­dren wi­thout fear, stress and un­cer­tain­ty about shel­ter af­ter their school day.
Af­ter the floods, ma­ny houses in Liège were left emp­ty and di­la­pi­da­ted. Let us use them, put them in or­der and of­fer them to those who need them.
No one should sleep on the street, ac­com­mo­da­tion must be crea­ted.
Eve­ryone must have a roof over their head when they ar­rive on Bel­gian soil.
Avoi­ding ghet­tos by al­lo­wing di­verse ori­gins in­to com­mu­ni­ty hou­sing.
A mu­ni­ci­pal dis­per­sal plan for mi­grants.
I pro­pose to oc­cu­py va­cant buil­dings to house them.
In­su­late so­cial hou­sing and im­prove its acous­tics. Make homes heal­thy.
Make sure land­lords are to be re­min­ded of their obli­ga­tions : de­po­sits in­to an ac­count, ren­tal contract, homes with sa­ni­ta­ry fa­ci­li­ties.
Hou­sing 3,000 people in a coun­try with 11,000,000 in­ha­bi­tants is NOT a big pro­blem.
I pro­pose that so­cial hou­sing as­so­cia­tions call on trans­la­tors (ex Uni­ver­bal) to ex­plain the rules and to be able to en­ter in­to ener­gy contracts.
I pro­pose or­ga­ni­zing in­tro­duc­to­ry mee­tings for land­lords and te­nants to get to know each other bet­ter and bet­ter un­ders­tand their concerns and needs.
There must be more so­cial hou­sing for eve­ryone.
A much more hu­mane asy­lum po­li­cy, hou­sing for all these mi­grants who end up on the street.
May all mi­grants be bet­ter re­cei­ved in our coun­try. Kee­ping them hou­sed and fed is a prio­ri­ty. I don’t want to see any more tents along the ca­nal, nor mi­grants lying in train sta­tions.
I pro­pose that we take unac­com­pa­nied mi­nors in­to fa­mi­lies.
That the Bel­gian State and the Re­gions make more shel­ters and hou­sing avai­lable to mi­grants.
Crea­ting shel­ter ac­com­mo­da­tions for the short or me­dium term.

Go­vern­ment po­li­cy

A fair mi­gra­tion po­li­cy.
Eu­rope must take mea­sures to re­ceive mi­grants with di­gni­ty to prevent tra­ge­dies in the Me­di­ter­ra­nean.
Streng­then the fight against gen­der in­equa­li­ty to pro­tect mi­grant wo­men from abuse du­ring their flight to asy­lum.
The go­vern­ment should sup­port ci­ti­zens” in­vol­ve­ment in wel­co­ming mi­grants.
Set­ting up pa­th­ways to le­gal re­si­dence, with at­ten­tion to vul­ne­rable groups.
I would like to see clo­sed re­fu­gee cen­ters per­ma­nent­ly abo­li­shed.
End de­ten­tion and for­ced ex­pul­sion of fo­rei­gners for simple ad­mi­nis­tra­tive rea­sons.
Shel­ter for ap­pli­cants for in­ter­na­tio­nal pro­tec­tion : no ho­me­less­ness !
Abo­li­tion of the Du­blin Re­gu­la­tion and abo­li­tion of the ex­ter­na­li­za­tion of bor­ders.
Pro­vide more hu­mane and smoo­ther shel­ter for mi­grants.
Eve­ry mu­ni­ci­pa­li­ty must take its res­pon­si­bi­li­ty in the re­cep­tion of re­fu­gees and asy­lum see­kers. Done with “not in my ba­ckyard”.
Trans­fer fun­ding for clo­sed cen­ters to bet­ter fun­ding for open shel­ters.
The mo­ney we are willing to spend to send people back across the bor­der should ins­tead be used to give them a di­gni­fied home (hou­sing, edu­ca­tion, me­di­cal care, etc.).
That the Bel­gian go­vern­ment le­ga­lizes ALL “ille­gal” mi­grants.
May eve­ry per­son be trea­ted with di­gni­ty and hu­ma­ni­ty.
I wish eve­ry per­son who ar­rives in our coun­try the hope and the condi­tions ne­ces­sa­ry to start again with peace of mind.
Li­ving on the streets, de­ten­tion centres, de­por­ta­tion agree­ments with non-de­mo­cra­tic coun­tries can no lon­ger be ac­cep­ted.
Eu­rope must take mea­sures to wel­come mi­grants to prevent tra­ge­dies in the Me­di­ter­ra­nean.
More hu­ma­ni­ty in the pro­ces­sing of asy­lum ap­pli­ca­tions.
The go­vern­ment should sup­port the in­vol­ve­ment of ci­ti­zens in the re­cep­tion of mi­grants.
That mi­grants are wel­co­med in a more hu­mane way.
That they are vie­wed and wel­co­med as people.
How ma­ny va­cant buil­dings are there that could be as­si­gned to them ? That’s just about po­li­ti­cal will !
To have hu­man de­cen­cy res­pec­ted by my own coun­try, Bel­gium.
Which coun­try can claim to be a state of law and ignore the ru­lings of the Eu­ro­pean Court of Hu­man Rights ? To­day I am asha­med of my coun­try, I am asha­med of being Bel­gian.
There are laws, but lu­cki­ly there are al­so people.
If the go­vern­ment conti­nues to act ille­gal­ly, then on­ly ci­vil di­so­be­dience re­mains.
May the Bel­gian go­vern­ment (and all ci­ti­zens) be more hos­pi­table and hu­mane to­wards mi­grants.
Bel­gium and its go­vern­ment should do more jus­tice to their ci­ti­zens.
A mi­gra­tion po­li­cy must res­pect eve­ryo­ne’s hu­man rights and self-es­teem.
Let’s stop sa­ving mo­ney at the ex­pense of hu­ma­ni­ty.
Bel­gian po­li­ti­cians should fi­nal­ly do eve­ry­thing in their po­wer to pro­vide a res­pect­ful and sup­por­tive wel­come to mi­grants from all over the world.
A real ar­ri­val po­li­cy with res­pect for all laws, the Conven­tion on Hu­man Rights, the Ge­ne­va Conven­tion and ESPECIALLY for the fact that we are all people of one world.
I am sho­cked. How can you, “Po­li­ti­cians”, with our mo­ney, think you can leave more than 2,500 people on the streets ? For­tu­na­te­ly, there are SOCIETIES.
The Bel­gian go­vern­ment must res­pect the Eu­ro­pean laws on re­fu­gee asy­lum. When a go­vern­ment takes ille­gal ac­tions, ci­ti­zens right­ly start won­de­ring.
Mi­grants should no lon­ger be cri­mi­na­li­zed : mi­gra­ting is exer­ci­sing your right to per­so­nal mo­bi­li­ty.
That Bel­gian and Eu­ro­pean po­li­ti­cians or­ga­nize mi­gra­tion flows to solve the cur­rent ca­tas­tro­phic sys­tem.
That our so­cie­ty and the po­li­ti­cians who re­present it en­sure that no per­son is left be­hind, whoe­ver they are, whe­re­ver they come from, wha­te­ver their so­cial si­tua­tion.
We wish the po­li­ti­cians the cou­rage to take up their res­pon­si­bi­li­ties !
URGENTLY !!! I would like to set up a re­cep­tion in­fra­struc­ture for mi­grants in my mu­ni­ci­pa­li­ty and guide their ef­forts to­wards in­te­gra­tion in our beau­ti­ful coun­try !
Can the West stop sup­por­ting dic­ta­tor­ships in black Afri­ca ?
Po­li­ti­cians should take concrete mea­sures to re­solve conflicts and eli­mi­nate in­equa­li­ty.
Bet­ter lis­te­ning and more consul­ta­tion bet­ween po­li­ti­cians and ci­ti­zens.
Let mi­gra­tion be a real right and put an end to home vi­sits. We are all the same people from one pla­net !
The pre­ven­tive abo­li­tion of the sys­tem of home en­try. It is not by sear­ching houses that we find ter­ro­rists. It is by pro­vi­ding the ne­ces­sa­ry funds to Jus­tice that ra­di­ca­li­zed in­di­vi­duals will not be over­loo­ked.
I would like to see more mu­ni­ci­pal ac­tions that give mi­grants the wel­come they need.
Mi­gra­tion po­li­cy must pro­mote the re­set­tle­ment of mi­grants and asy­lum see­kers who al­rea­dy have fa­mi­ly on Bel­gian ter­ri­to­ry.
Can the state stop was­ting our mo­ney on fla­shy pro­jects ? We don’t need luxu­ry. Ra­ther, we de­sire the proxi­mi­ty of hap­py, ful­filled, wel­come, ac­tive and free people.
I would like a lit­tle more ef­fort from the go­vern­ment.
Eve­ry per­son on earth de­serves the same op­por­tu­ni­ties in terms of sa­fe­ty, food and health. That all people are trea­ted equal­ly as hu­man beings re­gard­less of their na­tio­na­li­ty.
Clear rules must be laid down and res­pec­ted by the Fe­de­ral State in its mi­gra­tion po­li­cy.
The go­vern­ment must res­pect the law when re­cei­ving mi­grants.
I pro­pose to main­tain the obli­ga­tions of the re­cep­tion mu­ni­ci­pa­li­ties, in­clu­ding my ci­ty, in the long term.
I would like to see the Jus­tice De­part­ment bet­ter fun­ded. It is unac­cep­table to hear that in­hu­mane si­tua­tions re­main un­re­sol­ved be­cause of the un­der­fun­ded ju­di­cial ad­mi­nis­tra­tion !
The re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants, safe and le­gal ways to mi­grate, the wel­co­ming of mi­grants in the dif­ferent mu­ni­ci­pa­li­ties, gua­ran­teeing their ac­tual rights !
May eve­ryone be able to live with di­gni­ty and sa­fe­ty, have pa­pers, in short, live to­ge­ther. For this we need a fai­rer and more hu­mane mi­gra­tion po­li­cy.
Fe­wer mi­nis­ters mean more pro­mises are kept.
Start from re­la­tion­ships bet­ween willing ci­ti­zens and make this in­to po­li­cy =) in­volve ci­ti­zen com­mit­tees and people on the ground in the re­flec­tion on re­cep­tion po­li­cy.
Re­gu­la­ri­za­tion with clear and per­ma­nent cri­te­ria, an in­de­pendent com­mit­tee.
Concrete ac­tions to pro­tect un­do­cu­men­ted people in my mu­ni­ci­pa­li­ty.
Abo­lish­ment of clo­sed centres.
Change the Du­blin pro­ce­dure.
Hu­man Rights coun­try ? Let us use our fi­nan­cial re­sources to put these beau­ti­ful words in­to ac­tion.
The UN has en­dor­sed the rights of mi­grants as a hu­man right : in this spi­rit, I pro­pose to en­cou­rage Bel­gium and the Eu­ro­pean Union to be­come part­ners in this Trea­ty and to si­gn and ra­ti­fy it.
That people from coun­tries at war au­to­ma­ti­cal­ly re­ceive pa­pers.
Can’t my mu­ni­ci­pa­li­ty have “Ci­ti­zen Cards” is­sued ?
Mu­ni­ci­pa­li­ties must re­new their plea for their hos­pi­ta­li­ty and ef­fec­ti­ve­ly com­mit to a po­li­cy of open­ness and wel­come.
Clear and per­ma­nent cri­te­ria for re­gu­la­ri­za­tion.
An in­de­pendent com­mit­tee.
The end of ca­pi­ta­lism ! Be­cause we use fo­rei­gners to lo­wer wages = bad for lo­cal wor­kers = in­crea­sing far-right voices = bree­ding ground for dic­ta­tor­ship.
Qui­ck­ly es­ta­blish re­gu­la­ri­za­tion cri­te­ria.
We, the mul­ti­na­tio­nals of the North, who de­ter­mine the prices of raw ma­te­rials, or­ga­nize the mar­kets, areas culti­va­ted ex­clu­si­ve­ly for us, ships that sail the seas, you see the re­sults on the cli­mate. But are we going to change ?
Let there be no more war in the world.
We want to put the ci­ti­zen at the cen­ter of va­rious po­li­ti­cal de­ci­sions. We must create a break our­selves and be the ar­chi­tects of the re­ne­wal.
Land of hu­man rights ? Shouldn’t we ra­ther use our fi­nan­cial re­sources in a hu­mane way to res­pect these won­der­ful va­lues ?
I pro­pose to abo­lish the Du­blin agree­ments, to oblige the Bel­gian state to res­pect In­ter­na­tio­nal Law.
Anyone who has ar­ri­ved via fa­mi­ly reu­ni­fi­ca­tion should be able to ob­tain na­tio­na­li­ty af­ter 3 years.
Res­pect hu­man di­gni­ty and fun­da­men­tal rights.
Re­ceive them, do not judge or re­ject them.
It is im­pe­ra­tive that po­li­ti­cians act and that our go­vern­ments ful­fill the Eu­ro­pean obli­ga­tions they have agreed to.
Let eve­ry po­li­ti­cian do­nate a day’s sa­la­ry to the ho­me­less.
I pro­pose to re­gu­la­rize people wi­thout re­si­dence per­mits en masse and to res­pect all our in­ter­na­tio­nal obli­ga­tions in the field of mi­gra­tion !

Ad­mi­nis­tra­tive pro­ce­dures

There must be ma­ny more places for eve­ryone who comes to Bel­gium to ap­ply for in­ter­na­tio­nal pro­tec­tion.
Crea­ting cli­mate re­fu­gee sta­tus.
Put eve­ryone on an equal foo­ting du­ring pro­ce­dures.
Hire more staff to speed up ad­mi­nis­tra­tive pro­ce­dures for ob­tai­ning pa­pers.
A re­sident per­mit that would serve as an iden­ti­ty do­cu­ment du­ring the pro­ce­dures (for example Carte Ar­dente / Liège).
We should re­ceive a fas­ter res­ponse when ap­plying for re­fu­gee sta­tus. Ha­ving to wait a few months for a res­ponse is not ac­cep­table.
I pro­pose to give na­tio­na­li­ty un­con­di­tio­nal­ly to people over 60 years of age.
Can’t the pro­ce­dure for ap­plying for re­si­dence pa­pers be shor­ter ?
Shor­ten the du­ra­tion of pro­ce­dures to re­duce fu­ture un­cer­tain­ty and the risk of pres­crip­tion.
I pro­pose to give ci­ti­zen­ship to anyone who has li­ved in the coun­try for five years and is 60 years old, with no work re­qui­re­ment.
Let’s shor­ten the ap­pli­ca­tion per­iod for these people, out of mi­ni­mal hu­man res­pect.
Bel­gium must stop all in­hu­mane and de­gra­ding treat­ment of mi­grants in our coun­try and re­co­gnize them for what they are : an en­rich­ment.

Some phi­lo­so­phi­cal re­flec­tions

The Earth may have li­mits, but the dreams of mi­grants do not !
Love is a safe ha­ven.
I would like a world in which eve­ryone is equal and re­co­gni­zed.
Let’s start thin­king glo­bal­ly, in eve­ryo­ne’s in­ter­est. It is high time to put an end to our greed, which ex­hausts the earth and sends mil­lions of people on­to the road.
Let’s connect with each other, ins­tead of strap­ping wrists.
Eve­ryone is al­ways so­meo­ne’s stran­ger, so let us stop being afraid of them and ha­ting them.
The pla­net be­longs to eve­ryone ! Let’s be uni­ted.
May all those people who were born free and with equal rights be trea­ted with the di­gni­ty they are en­tit­led to !
I would like eve­ry ci­ti­zen of wha­te­ver ori­gin to be able to main­tain their self-es­teem by wel­co­ming them hu­ma­ne­ly.
Un­do­cu­men­ted people are not cri­mi­nals.
Eve­ryone has the right to free­dom and to live the way he or she wants.
Eve­ry per­son has the right to live in com­plete free­dom in the coun­try he or she wants.
We are all ci­ti­zens of the world.
Ap­pea­rances are de­cei­ving ! Don’t just judge by the ex­ter­nal dif­fe­rence…
All people have the right to res­pect !
Wi­thout connec­ting mul­ti­cul­tu­ra­lism the world has no fu­ture.
Abo­li­tion of bor­ders for the free mo­ve­ment of people.
Abo­lish the in­equa­li­ties that prevent so­li­da­ri­ty.
Ope­ning of the bor­ders.
We are all the same.
Let eve­ryone unite for a bet­ter fu­ture.
More peace, more to­le­rance.
Uni­ver­sal ge­ne­ro­si­ty.
No one is a stran­ger on this earth.
Eve­ry per­son de­serves hu­man treat­ment, re­gard­less of one’s back­ground or ori­gin. It is not ac­cep­table to treat fo­rei­gners bad­ly !
Let’s res­pect Hu­man Rights ! Not the other is dif­ferent, not the other is sca­ry, igno­rance is sca­ry. Get­ting to know the other per­son is the so­lu­tion.
Hos­pi­ta­li­ty is an ex­pres­sion of the great­ness of a so­cie­ty, open to the world.
Eve­ryone has the right to free­dom and to live the way he or she wants.
Shel­ter and in­te­gra­tion = short and long term be­ne­fits.
Wi­thout connec­ting mul­ti­cul­tu­ra­lism the world has no fu­ture.
Let’s create connec­tion ins­tead of iso­la­tion, let’s create so­li­da­ri­ty ins­tead of ex­clu­sion, let’s create sup­port ins­tead of sub­mis­sion.
We all come from the same tem­plate and world, re­gard­less of the co­lor of our skin.

Re­gu­la­ri­za­tion

Free­dom of mo­ve­ment for eve­ryone.
Equal op­por­tu­ni­ties for eve­ryone.
Mas­sive re­gu­la­ri­za­tion like du­ring Mi­nis­ter Wa­the­let !
Es­ta­blish cri­te­ria for the re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants.
Re­gu­la­ri­za­tion of all un­do­cu­men­ted im­mi­grants.
Give eve­ryone a re­si­dence per­mit.
Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants : they live with us and work with and for us.
That the Bel­gian go­vern­ment sets up the re­cep­tion in­fra­struc­ture ne­ces­sa­ry to re­ceive im­mi­grants du­ring the re­gu­la­ri­za­tion pro­ce­dure.

People wi­thout pa­pers

Have ea­sier ac­cess to mo­bi­li­ty.
Abo­li­tion of clo­sed cen­ters.
A re­sident per­mit (Carte Ar­dente / Liège) that can serve as an iden­ti­ty do­cu­ment du­ring the pro­ce­dures.
Let’s avoid fear, pre­ju­dice and cli­chés.
Un­do­cu­men­ted people (mi­nors, men, wo­men) are not sy­no­ny­mous with DANGER. They must be re­co­gni­zed in their rights.
Give them a chance to work.
They’re no convicts, stop lo­cking them up!!!
We put on the hand­cuffs our­selves and stand in front of the plane to prevent it from ta­king off with mi­grants to take them back to their coun­try.
Be in pos­ses­sion of a re­sident per­mit (Carte Ar­dente / Liège) to have ac­cess to all mu­ni­ci­pal ser­vices.
Give un­do­cu­men­ted mi­grants ac­cess to cer­ti­fied trai­ning.
Streng­the­ning “So­li­da­ri­ty Se­cu­ri­ty” « Sé­cu so­li­daire ».
Ease up pro­ce­du­ral re­qui­re­ments for emer­gen­cy me­di­cal care (fas­ter, fe­wer in­ter­me­dia­ries) i.
In or­der for people wi­thout pa­pers to make ends meet, we must al­low them to work.

Concrete en po­si­tieve bur­ger­voors­tel­len om de op­vang van bal­lin­gen in Bel­gië te ver­be­te­ren

In heel Bel­gië heb­ben bur­gers van 4 tot 94 jaar po­si­tieve voors­tel­len ge­for­mu­leerd om sa­men te bou­wen aan een eer­lijk en duur­zaam on­thaal voor men­sen in bal­ling­schap in ons land.

Werk­ge­le­gen­heid

Re­gu­la­ri­sa­tie van men­sen zon­der pa­pie­ren : sta be­paalde or­ga­ni­sa­ties toe hun adres te ge­ven aan men­sen zon­der pa­pie­ren om of­fi­cieel werk aan te moe­di­gen in plaats van zwart­werk en om hen een on­der­ko­men te ge­ven.
Het toe­gan­ke­lijk ma­ken van werk voor men­sen zon­der pa­pie­ren voor elke jo­baan­bie­ding die geen ge­ga­digde vindt. Re­gu­la­ri­sa­tie van men­sen zon­der pa­pie­ren, fat­soen­lijke huis­ves­ting voor ie­de­reen.
Laat mi­gran­ten wer­ken in de sec­to­ren waa­rin ze gek­wa­li­fi­ceerd zi­jn.
Ver­ge­mak­ke­lijk de ge­lijks­tel­ling van di­plo­ma’s door mid­del van een vaardigheidstest/een stage die cer­ti­fi­ce­ring mo­ge­lijk maakt, in plaats van de stu­dies he­le­maal op­nieuw te moe­ten doen.
Werk voor mi­gran­ten te­gen een fat­soen­lijk loon.
Men­sen hel­pen een lo­nende so­ciale sta­tus te ver­kri­j­gen (in de plaats van en­kel asiel­zoe­ker).
– Ge­lijks­tel­ling van di­plo­ma’s =) ad­mi­nis­tra­tieve ve­reen­vou­di­ging van de ge­lijks­tel­ling.
– Toe­gang tot lan­glo­pende en pro­fes­sio­nele oplei­din­gen.
– Werk­ver­gun­ning voor ie­der.
Bes­chik­baa­rheid van een ver­ta­ler om een ri­j­be­wi­js te ha­len zo­dat gek­wa­li­fi­ceerde men­sen die de taal nog niet per­fect spre­ken toe­gang kun­nen kri­j­gen tot een baan die een ri­j­be­wi­js ve­reist.
Lo­kaal ri­jo­plei­din­gen voor anal­fa­be­ten mo­ge­lijk ma­ken.
Ex­tra kin­der­dag­ver­bli­j­ven en na­schoolse op­vang. Ope­nen en slui­ten van kin­der­dag­ver­bli­j­ven die zi­jn aan­ge­past aan de wer­ku­ren (schoon­ma­ken, enz.) Mi­gran­ten heb­ben geen ge­zin­som­ge­ving die de kin­de­rop­vang kan over­ne­men.
Wi­j­zig de Wet op de Ge­com­bi­neerde Ver­gun­ning.
Ik stel een beetje meer men­se­lij­kheid voor, zo­dat alle be­hoef­tige men­sen toe­gang heb­ben tot oplei­din­gen of stu­dies om zich te kun­nen ont­plooien.
We zou­den snel­ler aan het werk moe­ten ge­ra­ken en de ca­pa­ci­tei­ten van mi­gran­ten la­ten er­ken­nen, want zon­der werk willen ve­rhuur­ders hen geen ver­bli­jf ve­rhu­ren.
Dat de di­plo­ma’s be­haald in deze lan­den er­kend wor­den en toe­gang ge­ven tot een korte oplei­ding in­clu­sief een taal­mo­dule, zo­dat ze hun ei­gen­waarde be­hou­den.
Mo­ge­lij­khe­den creë­ren om ti­j­dens het werk oplei­din­gen Frans/Nederlands te bli­j­ven vol­gen om vlot­ter te kun­nen wer­ken (cur­sus­sen ter plaatse, ge­sub­si­dieerd, niet op kos­ten van de werk­ge­ver).
Be­dri­j­ven die met asiel­zoe­kers willen wer­ken hel­pen door cultu­rele be­mid­de­laars aan te bie­den om el­kaar be­ter te be­gri­j­pen.
Dat deze men­sen een kans kri­j­gen in het le­ven, werk in de sa­men­le­ving, want dat is wat ze zoe­ken als ze hier aan­ko­men.
Zet een be­ge­lei­dend sys­teem op zo­dat men­sen snel­ler in een reële wer­kom­ge­ving te­recht kun­nen en hun ei­gen­waarde en zelf­ver­trou­wen kun­nen her­win­nen.
We moe­ten ook alle werk­ne­mers zon­der pa­pie­ren re­gu­la­ri­se­ren en vluch­te­lin­gen toes­taan te wer­ken wan­neer hun vaar­di­ghe­den vol­doen aan de vraag naar werk­ge­le­gen­heid ; te­gen het­zelfde loon als een Belg.
Geef ar­beid­smi­gran­ten een sta­biele ver­bli­jf­sver­gun­ning.

Mo­bi­li­teit

Meer bus­li­j­nen op het plat­te­land voor meer mo­bi­li­teit naar werk­ge­le­gen­heid. B Ge­mak­ke­lij­ker toe­gang tot een ri­j­be­wi­js (met ver­ta­ler) om toe­gang te kri­j­gen tot be­paalde jobs.
Een bu­sa­bon­ne­ment bes­chik­baar stel­len voor men­sen zon­der pa­pie­ren.

In­fra­struc­tuur voor op­vang

Laat er een concrete golf van so­li­da­ri­teit ko­men, een ont­moe­ting­splaats voor ie­de­reen + toe­gang tot voe­ding…
Een soort ‘Res­tos du coeur’ voor dak­loze mi­gran­ten. Mins­tens on­der­dak. De ove­rheid moet mi­gran­ten ver­wel­ko­men.
Dat mi­jn ge­meente mag mee­doen met het in sep­tem­ber 2022 voor­ges­telde plan van het CIRE ! voor een (eer­lijke) sprei­ding per ge­meente.
Ver­be­ter de toe­gang tot rechts­bi­js­tand en tol­ken voor bal­lin­gen.
Min­der ge­weld te­gen hen, be­tere toe­gang tot cen­tra voor niet be­ge­leide min­der­ja­ri­gen.
La­ten we kin­de­ren en ado­les­cen­ten ver­wel­ko­men die een be­ter le­ven willen.
Ver­be­te­ring van de hy­giëne in vluch­te­lin­gen­kam­pen.
Zet de be­lan­gen van kin­de­ren cen­traal in het op­vang­be­leid en de op­vang­prak­tijk, zo­dat kin­de­ren in op­vang­cen­tra op de eerste plaats kind kun­nen zi­jn.
Maak de bui­ten­we­reld toe­gan­ke­lijk, zo­dat kin­de­ren niet al­leen in het op­vang­cen­trum wo­nen. B Or­ga­ni­seer een ste­vig net­werk rond op­vang­cen­tra ; nau­were ban­den met on­der­wi­js, vrije ti­jd en be­tere toe­gang tot (gees­te­lijke) ge­zond­heid­szorg.
In­fra­struc­tuur ges­chikt voor kin­de­ren en ge­zin­nen in de op­vang­cen­tra : vol­doende grote ka­mers, mo­ge­lij­kheid om zelf te ko­ken, vei­lige sa­ni­taire voor­zie­nin­gen op de ka­mer, bin­nen- en bui­ten­ruimtes ges­chikt voor kin­de­ren per leef­ti­jd, com­pu­ters en wi­fi voor huis­werk.
In elke stad één en­kel tran­sit­cen­trum met ge­richte en ge­coör­di­neerde wer­king in func­tie van de beoogde hulp­doel­stel­ling. Met tol­ken na­tuur­lijk ! Contact met bur­gers voor goed af­ge­li­jnde en niet te in­tense ac­ti­vi­tei­ten om niet te ont­moe­di­gen.
Meer ju­ri­disch ad­vies en ver­dui­de­lij­king voor bui­ten­lan­ders.
Meer cen­tra voor mi­gran­ten. Meer sub­si­dies voor de ve­re­ni­gin­gen die er­mee sa­men­wer­ken. Laat ie­de­reen zi­jn steentje bi­j­dra­gen, laat ze wel­kom zi­jn, in het land dat ze ver­kie­zen. Weet dat de po­li­tie je ook steunt.
Tal­rij­kere ac­ties met ve­re­ni­gin­gen.
Dat ges­chikte op­vang­cen­tra goed be­reik­baar zi­jn.
Meer men­se­lij­kheid in de we­reld ! Het is schan­de­lijk je te ver­schui­len ach­ter po­li­tieke of fi­nan­ciële over­we­gin­gen… Er moet men­se­lijk op­ge­tre­den wor­den. We heb­ben de plicht om men­sen in nood te hel­pen.
In alle ge­meen­ten voor­zien in noo­dop­vang om te voor­ko­men dat mi­gran­ten (ook in de zo­mer) op straat te­recht­ko­men.

On­der­wi­js en oplei­din­gen

Hulp/ondersteuning bij ver­ta­ling, het vin­den van een baan, zelfs bij vol­le­dige taa­lon­kunde.
Het bie­den van toe­gang tot ho­ger on­der­wi­js aan men­sen zon­der pa­pie­ren.
Be­tere op­vang en on­ders­teu­ning voor vluch­te­ling-leer­lin­gen die aan­ko­men in het Bel­gische on­der­wi­js­sys­teem !
Er zi­jn niet ge­noeg scho­len om de taal te le­ren in dor­pen en bui­ten =) ve­rhoog het aan­tal oplei­ding­scen­tra.
Taal­les­sen moe­ten gra­tis zi­jn.
Er moe­ten meer ge­le­gen­he­den zi­jn voor taal­les­sen, om­dat we lang moe­ten wach­ten om te kun­nen star­ten.
Het aan­bod van VDAB moet in meer­dere ta­len bes­chik­baar zi­jn om snel een baan te vin­den.
Alle hulp­be­hoe­ven­den uit een an­der land moe­ten toe­gang heb­ben tot een ge­cer­ti­fieerde oplei­ding om ver­vol­gens te kun­nen wer­ken en zel­fred­zaam te wor­den.
Laat vluch­te­lin­gen een oplei­ding vol­gen, laat ze in Bel­gië wer­ken en laat ze ver­vol­gens te­rug­ke­ren naar hun land zo­dra er vrede is.
Aan­bie­den van er­kende leer­krach­ten En­gels om el­kaar be­ter kun­nen be­gri­j­pen.
Ik stel voor dat alle kin­de­ren aan alle ac­ti­vi­tei­ten op school kun­nen deel­ne­men, in­clu­sief school­reisjes.
Ik stel voor dat we na aan­kom­st in Bel­gië snel­ler naar school kun­nen gaan.
Ik stel voor dat we cur­sus­sen ge­ven over de Bel­gische cultuur om deze be­ter te be­gri­j­pen.
Het ont­wik­ke­len van so­ciale en pro­fes­sio­nele in­te­gra­tie­pro­gram­ma’s voor mi­gran­ten.

In­for­ma­tie

De or­ga­ni­sa­tie van bi­jeen­kom­sten over het mi­gra­tie­vraag­stuk fa­ci­li­te­ren, in­for­ma­tie vlot toe­gan­ke­lijk ma­ken.
De ve­rha­len en moei­lij­khe­den van jon­ge­ren die door Bel­gië op straat zi­jn ge­la­ten, in stri­jd met hun rech­ten, moet be­kend ge­maakt wor­den !
Ge­meen­ten be­ter in­for­me­ren zo­dat ze men­sen die ged­won­gen zi­jn hun land in oor­log, of on­der­wor­pen aan een dic­ta­tuur, te ontv­luch­ten waar­dig kun­nen op­van­gen.
Als bur­ger stel ik voor om de ins­troom van mi­gran­ten te de­dra­ma­ti­se­ren. In 2022 wa­ren dat er 36.500. Verre van de 46.000 in 2015 ! We moe­ten men­sen cor­rect in­for­me­ren.
Als bur­ger stel ik voor tus­sen te ko­men bij in­wo­ners en au­to­ri­tei­ten in lan­den van her­kom­st om ri­si­co­volle mi­gra­tie te voor­ko­men.
In­for­meer de lan­den van her­kom­st over de le­ven­som­stan­di­ghe­den in Bel­gië.
Laat de (RTBF) VRT bi­j­voor­beeld één keer per week tien mi­nu­ten ge­tui­ge­nis­sen aan­bie­den van een mi­grant in de sti­jl van ‘Le pe­tit Ber­ger’ van Adam of de reis van een ge­ra­cia­li­seerde vrouw.
Laat de me­dia en po­li­ti­ci stop­pen met het ste­reo­ty­pe­ren van mi­gran­ten. Ze bie­den op­por­tu­ni­tei­ten en geen ge­vaar voor het gast­land.
Ver­geet niet dat asiel­zoe­kers geen pro­fi­teurs zi­jn, maar men­sen die in le­vens­ge­vaar ver­ke­ren of die het slach­tof­fer zi­jn van mi­shan­de­ling. Het is onaan­vaard­baar om hen niet op de juiste ma­nier te ver­wel­ko­men in ove­reens­tem­ming met de wet.
Bes­chul­dig mi­gran­ten niet va­nuit on­we­tend­heid.
Echt on­der­zoeks­werk over de be­han­de­ling van mi­gran­ten in cen­tra in Bel­gië en in­ter­na­tio­naal.
La­ten we ver­war­ring ver­mi­j­den : een asiel­zoe­ker of een mi­grant is in we­zen geen ter­ro­rist. Bi­j­na alle mi­gran­ten willen in vrede le­ven en deel­ne­men aan de sa­men­le­ving.
Ver­geet niet dat ie­de­reen de zoon of klein­zoon van im­mi­gran­ten is…
Dat we­ten­schap­pe­lijke en so­cio­lo­gische stu­dies die de po­si­tieve bi­j­dra­gen van mi­gra­tie aan­to­nen, op grote schaal in de pers wor­den vers­preid.
De vers­prei­ding van ci­j­fers die blij­ken uit ver­schil­lende on­der­zoe­ken kun­nen ons be­wust ma­ken van de echte wer­ke­lij­kheid van mi­gra­tie.

Sa­men­le­ven

Breng eens een dag in hun plaats door. Laat ze vrij zi­jn, het zi­jn men­sen zoals wij. Be­leef eens hun le­ven.
Ik stel voor dat we ra­cisme en dis­cri­mi­na­tie va­naf jonge leef­ti­jd krach­tig bes­tri­j­den door op alle scho­len mo­men­ten van be­wust­zi­jn, re­flec­tie en ac­tie te creë­ren.
En wat als jij het was ? Zij heb­ben recht op een nor­maal le­ven. Een net­werk voor een mi­gra­tie­be­leid graag.
Laat ie­de­reen met en voor an­de­ren doen wat hij/zij graag zou willen dat er voor hem/haar ge­daan zou wor­den.
De an­dere is JOUW spie­gel­beeld.
Zet je ove­ral in voor mi­gra­tie­recht­vaar­di­gheid !
Graag be­wus­ter zi­jn van res­pect­volle ont­vang­st (ken­nis van de cultuur van an­de­ren) bij ins­tel­lin­gen.
In plaats van ons in ons­zelf te ke­ren, laat ons po­gen te de re­de­nen te be­gri­j­pen die kan­di­daat-vluch­te­lin­gen er­toe bren­gen alles, hun huis, hun fa­mi­lie, hun va­der­land te ver­la­ten, om­dat het le­ven er voor hen on­mo­ge­lijk wordt.
Een wed­stri­jdje ! Om het meeste so­li­da­ri­teit.
We ho­ren, in plaats van vreem­de­lin­gen te vre­zen, te po­gen hun rijk­dom te ont­dek­ken. We zi­jn al­le­maal men­sen… Mens zi­jn be­tekent ge­con­fron­teerd wor­den met de­zelfde rea­li­teit : le­ven, dood, ge­boorte, le­ven met an­de­ren.
Dit vraag­stuk is een po­si­tieve uit­da­ging waar­van we kun­nen le­ren.
Zo­veel mo­ge­lijk mul­ti­cul­tu­rele ont­moe­tin­gen, want le­ren ken­nen is le­ren ac­cep­te­ren.
Help, be­gri­jp, en aan­vaard on­be­voo­roor­deeld men­sen die van el­ders ko­men, die an­ders zi­jn en ac­cep­teer ver­schil­len.
Mul­ti­cul­tu­rele ont­moe­tin­gen keer op keer bli­j­ven sti­mu­le­ren. We ho­ren al­le­maal van el­kaar te le­ren.
Laat mo­men­ten van dia­loog onts­taan, door bord­spel­len om so­ciale ban­den te creë­ren. Waa­rom niet ges­pon­sord ?
La­ten we sa­men­ko­men om onze ge­lij­ke­nis­sen te vin­den en met el­kaar te pra­ten, en ver­schil­len te res­pec­te­ren.
Leef en lach sa­men.
La­ten we de ti­jd ne­men om el­kaar te ont­moe­ten en te be­gri­j­pen, zo­dat we sa­men ver­der kun­nen gaan.
La­ten we sa­men op zoek gaan naar wat ons sa­men­brengt.
La­ten we onze cultuur, onze tra­di­ties de­len.
Sa­men va­kan­tie vie­ren en er­va­rin­gen uit­wis­se­len.
Ont­dek het land door op uits­tap te gaan om meer Bel­gen te ont­moe­ten.
Zorg dat je vrien­den hebt die de taal spre­ken, zo­dat je ook bui­ten school kunt com­mu­ni­ce­ren.
Een be­tere ont­vang­st, maar ook het le­ren van de wes­terse cultuur en re­gels. Meer van beide.
La­ten we ban­den sme­den, la­ten we so­li­da­ri­teit creë­ren in plaats van uits­lui­ting, la­ten we steun creë­ren in plaats van on­der­wer­ping.
Be­tere in­te­gra­tie en on­der­wi­js voor ‘nieuwe’ mi­gran­ten, zo­dat er min­der so­ciale on­ge­lij­kheid is.
Ik stel een meer open en meer be­re­de­neerde ont­vang­st in Bel­gië voor en hulp aan de lan­den waa­ruit zij ver­trek­ken.
Ik stel voor ont­moe­ting­splek­ken aan te bie­den met nieuw­ko­mers. Vaak is het ang­st die ont­moe­tin­gen ve­rhin­derd.
Res­pec­teer en ken uw bu­ren be­ter.
Zet ondersteunings‑, spon­sor- en ont­moe­ting­snet­wer­ken op om men­sen in staat te stel­len nieuwe ban­den te sme­den, aan­ge­zien ze de steun van hun fa­mi­lie moe­ten mis­sen, en zo kun­nen ze de maat­schap­pij van hun gastheer/vrouw le­ren be­gri­j­pen.
Ga erop uit en ont­moet men­sen.
Kook­groe­pen or­ga­ni­se­ren. Een per­soon pre­sen­teert een ty­pische maal­ti­jd uit zi­jn land. Ie­de­reen kookt sa­men en deelt de maal­ti­jd. Het is een ge­le­gen­heid voor dis­cus­sie en uit­wis­se­lin­gen tus­sen men­sen met ver­schil­lende ach­ter­gron­den.
Creëer een plat­form waar elke vreem­de­ling alle vra­gen over het le­ven in Bel­gië kan stel­len. Om­dat het erg las­tig is om bij de di­verse or­ga­ni­sa­ties tel­kens af­spra­ken te ma­ken.
Vri­j­willi­gers­werk.
Moe­dig ‘do­na­ties’ aan, zo­dat ie­de­reen zich kan kle­den en be­meu­be­len.
Dat we niet lan­ger bang zi­jn voor de an­der, maar dat we ze ont­moe­ten.
Cultu­rele eve­ne­men­ten or­ga­ni­se­ren in de stad, op plei­nen, enz.
El­kaar le­ren ken­nen.
Het eerste is dat we ze moe­ten ho­ren voor­dat we ze beoor­de­len, en voo­ral dat we ze het recht moe­ten ge­ven om te spre­ken en uit te leg­gen wat ze te zeg­gen heb­ben.
Ik denk dat het on­be­kende eng is, maar als je een­maal over je on­be­ha­gen heen bent, lukt het wel.
Moge elke ge­meen­schap de han­den in­eens­laan en moge het fes­ti­val van Ni­j­vel op zi­jn minst plaats ge­ven aan de le­ven­dige cultu­ren van de ge­meen­schap­pen die Ni­j­vel rijk is. Lang leve in­ter­cul­tu­reel !!
Ont­wik­kel al­ge­mene cultuur, po­li­tieke ken­nis, so­li­da­ri­teit, in­ter­et­nische en we­der­zi­jdse hulp over ge­ne­ra­ties heen. Mul­ti­cul­tu­ra­li­teit is de toe­kom­st ! Ont­wik­kel het luis­te­ren naar en de­len van cultu­ren en ken­nis. Mo­gen de ban­den tus­sen ge­meen­schap­pen wor­den vers­terkt.
La­ten we min­der mu­ren en meer brug­gen bou­wen… Ver­geet ons ge­mak, we heb­ben em­pa­thie no­dig… Plas je­zelf eens in hun schoe­nen… en wie het schoentje past, trekke het aan…
Laat ons al­le­maal sa­men mo­bi­li­se­ren om on­theem­den te ver­wel­ko­men, on­geacht de re­de­nen waa­rom ze hun thuis moes­ten of wil­den ver­la­ten. De aarde is ui­tein­de­lijk één groot land en alle men­sen zi­jn haar bur­gers. Gren­zen bes­taan al­leen in enge gees­ten.
Een mens kan niet weg­kij­ken als mi­se­rie aan de deur klopt. De we­reld is er te klein voor.
La­ten we de al­ge­mene cultuur, po­li­tieke ken­nis, so­li­da­ri­teit en in­ter­et­nische en we­der­zi­jdse hulp ont­wik­ke­len. Mul­ti­cul­tu­ra­li­teit is de toe­kom­st !

Ge­zond­heid­szorg

Ge­lijke rech­ten voor ie­de­reen, bi­j­voor­beeld voor me­dische be­han­de­lin­gen.
Ik stel voor dat alle kin­de­ren, ook die geen pa­pie­ren heb­ben, een so­ciale ver­ze­ke­ring kun­nen heb­ben en toe­gang kun­nen kri­j­gen tot ge­zond­heid­szorg.
Ve­reen­vou­dig de pro­ce­dures voor drin­gende me­dische hulp.
Toe­gang tot fat­soen­lijke huis­ves­ting, on­der­wi­js voor kin­de­ren en ge­zond­heid­szorg voor ie­de­reen.
Vluch­te­lin­gen ver­die­nen een fat­soen­lijke ont­vang­st.

Ac­com­mo­da­tie

Re­gu­la­ri­se­ring van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, uit­brei­ding van op­vang­plaat­sen in ILA’s en op­vang­cen­tra. Sta NGO’s en non-pro­fi­tor­ga­ni­sa­ties, or­ga­ni­sa­ties, ker­ken, enz. toe om hun adres door te ge­ven aan mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, zo­dat zij on­dr­dak kun­nen vin­den.
Een dak voor ie­de­reen, ba­sis­com­fort (voed­sel, ver­war­ming) voor ie­de­reen, on­der­wi­js voor ie­de­reen. La­ten we so­li­dair zi­jn… we le­ven al­le­maal sa­men op de­zelfde pla­neet !
Fi­nan­cieel haal­baar wo­nen voor ie­de­reen !
Be­vor­der so­li­da­ri­teit, de ont­wik­ke­ling van (bes­taande) ge­meen­schaps­wo­nen, in­ter­ge­ne­ra­tio­neel, mul­ti­cul­tu­reel. Lang leve di­ver­si­teit en men­se­lijke om­gang met el­kaar.
Meer hulp bij het vin­den van ac­com­mo­da­tie.
On­der­dak voor ie­de­reen en ook voe­ding.
Men­sen toe­gang ge­ven tot een sta­biele en vei­lige lee­fom­ge­ving.
Leeg­staande ge­bou­wen her­ge­brui­ken om dak­lo­zen te huis­ves­ten.
Ve­rhoog het aan­tal bed­den in FE­DA­SIL-cen­tra en ILAS, in­dien no­dig ge­bruik in bui­ten­ruimtes (bi­j­voor­beeld : FEDASIL in Oi­gnies met een en­orm ter­rein om ten­ten te plaat­sen).
Bes­chik­baa­rheid van een tolk om pro­ce­dures be­ter te be­gri­j­pen (huur).
Kwa­li­ta­tieve op­vang voor kin­de­ren zon­der ang­st, stress en on­ze­ke­rheid over on­der­dak na hun school­dag.
Na de overs­tro­min­gen zi­jn veel hui­zen in Luik ach­ter­la­ten : leeg en ver­val­len. La­ten we ze ge­brui­ken, in orde bren­gen en aan­bie­den aan wie ze no­dig heeft.
Nie­mand mag op straat sla­pen, er moet ac­com­mo­da­tie ge­creëerd wor­den.
Ie­de­reen moet een dak bo­ven zi­jn hoofd heb­ben als hij op Bel­gisch grond­ge­bied aan­komt.
Getto’s ver­mi­j­den door di­verse her­kom­sten in ge­meen­schap­shuis­ves­ting toe te la­ten.
Een ge­meen­te­lijk sprei­ding­splan voor mi­gran­ten.
Ik stel voor om leeg­staande ge­bou­wen te be­zet­ten om ze te huis­ves­ten.
So­ciale wo­nin­gen iso­le­ren en akoes­tisch ver­be­te­ren. Wo­nin­gen ge­zond ma­ken.
Mo­ge­lijk ma­ken om ve­rhuur­ders op hun plich­ten te wi­j­zen : stor­tin­gen op een re­ke­ning, huur­con­tract, wo­ni­gen met sa­ni­taire voor­zie­nin­gen.
Het huis­ves­ten van 3000 men­sen in een land met 11.000.000 in­wo­ners is GEEN groot pro­bleem.
Ik stel voor dat so­ciale wo­ning­ve­re­ni­gin­gen een be­roep doen op ver­ta­lers (ex Uni­ver­bal) om de re­gels uit te leg­gen en om ener­gie­con­trac­ten te kun­nen aan­gaan.
Ik stel voor ken­nis­ma­king­smo­men­ten te or­ga­ni­se­ren voor ve­rhuur­ders en huur­ders om el­kaar be­ter te le­ren ken­nen en hun be­zorgd­he­den en no­den be­ter te be­gri­j­pen.
Er moe­ten meer so­ciale wo­nin­gen ko­men voor ie­de­reen.
Een veel men­se­lij­ker asiel­be­leid, huis­ves­ting voor al deze mi­gran­ten die op straat ko­men te staan.
Moge alle mi­gran­ten be­ter wor­den ont­van­gen in ons land. Dat ze ge­huis­vest en ge­voed wor­den, is een prio­ri­teit. Ik wil geen ten­ten meer zien langs het ka­naal, noch mi­gran­ten die in treins­ta­tions lig­gen.
Ik stel voor dat we niet-be­ge­leide min­der­ja­ri­gen in ge­zin­nen op­ne­men.
Dat de Bel­gische Staat en de Ge­wes­ten meer op­vang­cen­tra en wo­nin­gen ter bes­chik­king stel­len van mi­gran­ten.
Het creë­ren van op­van­gac­com­mo­da­ties voor korte of mid­del­lange ter­mi­jn.

Ove­rheid­sbe­leid

Een eer­lijk mi­gra­tie­be­leid.
Eu­ro­pa di­ent maa­tre­ge­len te ne­men voor een waar­dige op­vang van mi­gran­ten om tra­ge­dies in het Mid­del­landse Zee­ge­bied te voor­ko­men.
De stri­jd te­gen gen­de­ron­ge­lij­kheid vers­ter­ken, om mi­grantes te­gen mis­bruik te bes­cher­men ti­j­dens hun vlucht naar asiel.
De ove­rheid di­ent de be­trok­ken­heid van bur­gers bij het ver­wel­ko­men van mi­gran­ten te on­ders­teu­nen.
Pistes op­zet­ten naar le­gaal ver­bli­jf, met aan­dacht voor kwets­bare groe­pen.
Ik wil graag dat de woonst­be­tre­din­gen de­fi­ni­tief wor­den af­ges­chaft.
De­ten­tie en ged­won­gen uit­zet­ting van bui­ten­lan­ders om een­vou­dige ad­mi­nis­tra­tieve re­de­nen beëin­di­gen.
Op­vang voor aan­vra­gers om in­ter­na­tio­nale bes­cher­ming : geen dak­loo­sheid !
Af­schaf­fing van de Du­blin­ve­ror­de­ning en af­schaf­fing van de ex­ter­na­li­se­ring van de gren­zen.
Men­se­lij­kere en vlot­tere op­vang voor­zien voor mi­gran­ten.
Elke ge­meente di­ent haar ve­rant­woor­de­lij­kheid te ne­men in de op­vang van vluch­te­lin­gen en asiel­zoe­kers. Ge­daan met het ‘niet bij mij’.
De fi­nan­cie­ring voor ges­lo­ten cen­tra ove­rhe­ve­len naar be­tere fi­nan­cie­ring voor open op­vang.
Het geld dat we be­reid zi­jn uit te ge­ven om men­sen te­rug over de grens te zet­ten, in plaats daar­van ge­brui­ken om hen een waar­dige thuis te ge­ven (huis­ves­ting, oplei­ding, me­dische hulp, enz.).
Dat de Bel­gische ove­rheid ALLE ‘ille­gale’ mi­gran­ten le­ga­li­seert.
Moge ie­der mens met waar­di­gheid en men­se­lij­kheid wor­den be­han­deld.
Ik wens elke per­soon die in ons land aan­komt de hoop en de om­stan­di­ghe­den toe die no­dig zi­jn om in alle ge­moed­srust op­nieuw te star­ten.
Op straat le­ven, ges­lo­ten cen­tra, uit­wi­j­zing­so­ve­reen­kom­sten met niet-de­mo­cra­tische lan­den kun­nen niet lan­ger wor­den aan­vaard.
Eu­ro­pa moet maa­tre­ge­len ne­men om mi­gran­ten te ver­wel­ko­men om tra­ge­dies in de Mid­del­landse Zee te voor­ko­men.
Meer men­se­lij­kheid in de be­han­de­ling van asie­laan­vra­gen.
De ove­rheid di­ent de be­trok­ken­heid van bur­gers bij de op­vang van mi­gran­ten te on­ders­teu­nen.
Dat mi­gran­ten met meer men­se­lij­kheid wor­den ver­wel­komd.
Dat zij als men­sen wor­den be­ke­ken en ver­wel­komd.
Hoe­veel leeg­staande ge­bou­wen zi­jn er niet die aan hen kun­nen wor­den toe­ge­kend ? Dat gaat en­kel om po­li­tieke wil !
Men­se­lijk res­pect la­ten na­le­ven door mi­jn ei­gen land, Bel­gië.
Welk land kan be­we­ren een rechtss­taat te zi­jn en de uits­pra­ken van het Eu­ro­pees Hof voor de Rech­ten van de Mens met de voe­ten ve­gen ? Van­daag schaam ik mij voor mi­jn land, ik schaam mij er­voor Belg te zi­jn.
Er bes­taan wel wet­ten maar ge­luk­kig ook voo­ral men­sen.
Als de ove­rheid bui­ten­wet­te­lijk bli­jft han­de­len, dan rest en­kel nog bur­ger­lijke on­ge­hoor­zaam­heid.
Moge de Bel­gische re­ge­ring (en alle bur­gers) gast­vri­jer en men­se­lij­ker zi­jn te­ge­no­ver mi­gran­ten.
Bel­gië en zi­jn re­ge­ring ho­ren hun bur­gers meer eer aan te doen.
Een mi­gra­tie­be­leid moet ie­ders men­sen­rech­ten en ei­gen­waarde res­pec­te­ren.
La­ten we stop­pen met het bes­pa­ren van geld ten koste van de men­sheid.
Dat jul­lie, Bel­gische po­li­ti­ci, nu ein­de­lijk alles den wat in jul­lie macht ligt om een res­pect­volle en so­li­daire op­vang te bie­den aan mi­gran­ten van over de hele we­reld.
Een echt op­vang­be­leid met res­pect voor alle wet­ten, het Ver­drag voor de Rech­ten van de Mens, het Ver­drag van Ge­nève en VOORAL voor het feit dat we al­le­maal men­sen zi­jn van één we­reld.
Ik ben ges­chokt. Waar ha­len jul­lie het, “Po­li­ti­ci”, met ons geld, te mo­gen ve­ron­ders­tel­len meer dan 2.500 men­sen op straat te kun­nen ach­ter­la­ten. Ge­luk­kig zi­jn er VERENIGINGEN.
De Bel­gische re­ge­ring moet de Eu­ro­pese “de­cre­ten” in­zake mi­gran­te­na­siel res­pec­te­ren. Wan­neer een ove­rheid ille­gale ac­ties on­der­neemt, gaan bur­gers zich te­recht vra­gen stel­len.
Mi­gran­ten mo­gen niet lan­ger ge­cri­mi­na­li­seerd wor­den : mi­gre­ren is het ui­toe­fe­nen van je recht op per­soon­lijke mo­bi­li­teit.
Dat Bel­gische en Eu­ro­pese po­li­ti­ci de mi­gra­ties­tro­men or­ga­ni­se­ren om het hui­dige ca­tas­tro­fale sys­teem op te los­sen.
Dat onze sa­men­le­ving en de po­li­ti­ci die haar ver­te­gen­woor­di­gen er zorg voor dra­gen dat geen mens ach­ter­bli­jft, wie het ook is, waar ze ook van­daan ko­men, wat hun so­ciale si­tua­tie ook is.
Aan de po­li­ti­ci de moed toe­ge­wenst hun ve­rant­woor­de­lij­khe­den op te ne­men !
DRINGEND !!! Graag in mi­jn ge­meente een op­van­gin­fra­struc­tuur voor mi­gran­ten op­zet­ten en hun ins­pan­nin­gen naar in­ter­gra­tie in ons prach­tige land be­ge­lei­den !
Kan het Wes­ten eens stop­pen met het steu­nen van dic­ta­tu­ren in zwart Afri­ka ?
Po­li­ti­ci ho­ren concrete maa­tre­ge­len te ne­men om conflic­ten op te los­sen en on­ge­lij­kheid weg te ne­men.
Be­ter luis­te­ren en meer over­leg tus­sen po­li­ti­ci en bur­gers.
Laat mi­gra­tie een wer­ke­lijk recht zi­jn en maak een einde aan de huis­be­zoe­ken. We zi­jn al­le­maal de­zelfde men­sen van één pla­neet !
Het pre­ven­tief af­schaf­fen van het sys­teem van woonst­be­tre­din­gen. Het is niet door hui­zen te door­zoe­ken dat we ter­ro­ris­ten vin­den. Het is door Jus­ti­tie de no­dige fond­sen te ver­schaf­fen, dat ge­ra­di­ca­li­seerde in­di­vi­duen niet over het hoofd zul­len wor­den ge­zien.
Ik zou graag meer ge­meen­te­lijke ac­ties zien die mi­gran­ten het wel­kom he­ten dat ze no­dig heb­ben.
Het mi­gra­tie­be­leid moet de her­ves­ti­ging van mi­gran­ten en asiel­zoe­kers be­vor­de­ren die reeds fa­mi­lie op het Bel­gisch grond­ge­bied heb­ben.
Kan de staat eens ophou­den met het vers­pillen van ons geld aan flit­sende pro­jec­ten ? Wij heb­ben geen nood aan luxe. We wen­sen eer­der de na­bi­j­heid van blije, vol­dane, wel­kome, ac­tieve en vrije men­sen.
Graag iets meer ins­pan­ning van de ove­rheid.
Elke mens op aarde ver­dient de­zelfde kan­sen qua vei­li­gheid, voed­sel en ge­zond­heid. Dat alle men­sen ge­lijk wor­den be­han­deld als men­sen los van hun na­tio­na­li­teit.
Er moe­ten dui­de­lijke re­gels wor­den vast­ge­legd en ge­res­pec­teerd door de Fe­de­rale Staat in haar mi­gra­tie­be­leid.
De ove­rheid moet de wet res­pec­te­ren bij de op­vang van mi­gran­ten.
Ik stel voor de ver­plich­tin­gen van de op­vang­ge­meen­ten, ook van mi­jn stad, op de lange ter­mi­jn te hand­ha­ven.
Ik zou graag zien dat Jus­ti­tie be­ter wordt ge­fi­nan­cierd. Het is onaan­vaard­baar te moe­ten ho­ren dat on­men­se­lijke si­tua­ties onop­ge­lost bli­j­ven van­wege de on­der­ge­fi­nan­cierde rech­ter­lijke ad­mi­nis­tra­tie !
De re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, vei­lige en le­gale ma­nie­ren om te mi­gre­ren, de op­vang van mi­gran­ten in de ver­schil­lende ge­meen­ten, het waar­bor­gen van hun fei­te­lijke rech­ten !
Moge ie­de­reen waar­dig en vei­lig kun­nen le­ven, pa­pie­ren heb­ben, kor­tom sa­men­le­ven. Hier­voor heb­ben we een eer­lij­ker en men­se­lij­ker mi­gra­tie­be­leid no­dig.
Min­der mi­nis­ters, dan wor­den meer be­lof­ten na­ge­ko­men.
Ver­trek va­nuit re­la­ties tus­sen wel­willende bur­gers en maak daar het be­leid van =) be­trek bur­ger­co­mi­tés, en men­sen op het ter­rein in de re­flec­tie over het op­vang­be­leid.
Re­gu­la­ri­se­ren met dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria, een onaf­han­ke­lijke com­mis­sie.
Concrete ac­ties om men­sen zon­der pa­pie­ren in mi­jn ge­meente te bes­cher­men.
Slui­ting van ges­lo­ten cen­tra.
Wi­j­zig de Du­blin­pro­ce­dure.
Land van de men­sen­rech­ten ? La­ten we onze fi­nan­ciële mid­de­len ge­brui­ken om deze mooie woor­den in da­den om te zet­ten.
De VN heeft de rech­ten van mi­gran­ten goed­ge­keurd als een men­sen­recht : in deze geest stel ik voor om Bel­gië en de Eu­ro­pese Unie aan te moe­di­gen part­ners te wor­den in dit Ver­drag en het te on­der­te­ke­nen en te ra­ti­fi­ce­ren.
Dat men­sen uit lan­den in oor­log au­to­ma­tisch pa­pie­ren kri­j­gen.
Kan mi­jn ge­meente geen “Bur­ger­kaar­ten” la­ten uit­ge­ven ?
Ge­meen­ten moe­ten hun plei­dooi voor hun gast­vri­j­heid her­nieu­wen en zich ef­fec­tief in­zet­ten voor een be­leid van open­heid en ver­wel­ko­ming.
Dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria voor re­gu­la­ri­sa­tie.
Een onaf­han­ke­lijke com­mis­sie.
Het einde van het ka­pi­ta­lisme ! Om­dat we bui­ten­lan­ders ge­brui­ken om de lo­nen te ver­la­gen = slecht voor de lo­kale werk­ne­mers = waar­door ex­treem­rechtse stem­men toe­ne­men = voe­ding­sbo­dem voor dic­ta­tuur.
Snel re­gu­la­ri­sa­tie­cri­te­ria vasts­tel­len.
Wij, de mul­ti­na­tio­nals van het Noor­den, die de grond­stof­pri­j­zen be­pa­len, de mark­ten or­ga­ni­se­ren, area­len die ex­clu­sief voor ons wor­den ver­bouwd, sche­pen die over de zeeën va­ren, je ziet de re­sul­ta­ten er­van op het kli­maat. Maar gaan we wel ve­ran­de­ren ?
Laat er geen oor­log meer zi­jn in de we­reld.
Graag de bur­ger cen­traal in di­verse po­li­tieke bes­lis­sin­gen. Wij moe­ten zelf voor een breuk zor­gen en de ar­chi­tec­ten van de ver­nieu­wing zi­jn.
Land van de men­sen­rech­ten ? Moe­ten we dan niet eer­der onze fi­nan­ciële mid­de­len op een men­se­lijke ma­nier in­zet­ten om deze prach­tige waar­den te res­pec­te­ren.
Ik stel voor om de Du­blin-ak­koor­den af te schaf­fen, om de Bel­gische staat te ver­plich­ten het In­ter­na­tio­naal Recht te res­pec­te­ren.
Ie­de­reen die via ge­zin­she­re­ni­ging is aan­ge­ko­men, moet, na 3 jaar de na­tio­na­li­teit kun­nen kri­j­gen.
Res­pec­teer de men­se­lijke waar­di­gheid en fun­da­men­tele rech­ten.
Ont­vang hen, oor­deel niet en wi­js ze niet af.
Het is ab­so­luut nood­za­ke­lijk dat po­li­ti­ci in be­we­ging ko­men en dat onze re­ge­rin­gen de Eu­ro­pese ver­plich­tin­gen na­ko­men die zij heb­ben goed­ge­keurd.
Laat elke po­li­ti­cus een dag­sa­la­ris do­ne­ren aan dak­lo­zen.
Ik stel voor om men­sen zon­der ver­bli­jf­sver­gun­ning mas­saal te re­gu­la­ri­se­ren en al onze in­ter­na­tio­nale ver­plich­tin­gen op het ge­bied van mi­gra­tie te res­pec­te­ren !

Ad­mi­nis­tra­tieve pro­ce­dures

Er moe­ten veel meer plaat­sen ko­men voor ie­de­reen die in Bel­gië om in­ter­na­tio­nale bes­cher­ming komt vra­gen.
Het creë­ren van een kli­maatv­luch­te­lin­gens­ta­tus.
Zet ie­de­reen op ge­lijke voet ti­j­dens pro­ce­dures.
Huur meer per­so­neel in om de ad­mi­nis­tra­tieve pro­ce­dures voor het ver­kri­j­gen van pa­pie­ren te vers­nel­len.

Een ver­bli­jf­skaart die ti­j­dens de pro­ce­dures als iden­ti­teits­do­cu­ment zou di­enen (bi­j­voor­beeld een Carte Ar­dente / Luik) .
We zou­den snel­ler reac­tie moe­ten kri­j­gen bij het aan­vra­gen van de vluch­te­lin­gens­ta­tus. Een paar maan­den moe­ten wach­ten op een reac­tie is niet aan­vaard­baar.
Ik stel voor om de na­tio­na­li­teit on­voor­waar­de­lijk te ge­ven aan men­sen ou­der dan 60 jaar.
Kan de pro­ce­dure voor het aan­vra­gen van ver­bli­jf­spa­pie­ren niet kor­ter wor­den ?
Ver­kort de door­loop­ti­jd van pro­ce­dures om toe­kom­ston­ze­ke­rheid en het ri­si­co op ver­ja­ring te ver­min­de­ren.
Ik stel voor om het staats­bur­ger­schap te ge­ven aan éé­nie­der die al vi­jf jaar in het land woont en 60 jaar oud is, zon­der werk­ve­reiste.
La­ten we de aan­vraag­pe­riode voor deze men­sen in­kor­ten, va­nuit mi­ni­maal men­se­lijk res­pect.
Bel­gië moet elke on­men­se­lijke en ver­ne­de­rende be­han­de­ling van mi­gran­ten in ons land stop­pen en ze er­ken­nen voor wat ze zi­jn : een ver­rij­king.

En­kele fi­lo­so­fische bes­chou­win­gen

De aarde heeft mis­schien gren­zen, maar de dro­men van mi­gran­ten heb­ben die niet !
Liefde is een vei­lige ha­ven.
Graag een we­reld waa­rin ie­de­reen ge­lijk is en er­kend wordt.
La­ten we mon­diaal gaan den­ken, in ie­ders be­lang. Het is de hoog­ste ti­jd om een einde te ma­ken aan onze vers­pilling­szucht, die de aarde uit­put en mil­joe­nen men­sen de weg op stuurt.
La­ten we ons met el­kaar ver­bin­den, en niet om­heen de pol­sen.
Ie­de­reen is al­ti­jd ie­mands vreem­de­ling, dus laat ons er­mee ophou­den bang voor hen te zi­jn en hen te ha­ten.
De pla­neet is van ie­de­reen ! La­ten we ve­re­nigd zi­jn.
Mo­gen al die men­sen die vrij en met ge­lijke rech­ten ge­bo­ren zi­jn, be­han­deld wor­den met de waar­di­gheid waar ze recht op heb­ben !
Ik zou graag willen dat ie­dere bur­ger van om het even welke her­kom­st zi­jn ei­gen­waarde kan be­hou­den door hen men­se­lijk te ver­wel­ko­men.
Men­sen zon­der pa­pie­ren zi­jn geen cri­mi­ne­len.
Ie­de­reen heeft recht op vri­j­heid en om te le­ven zoals hij of zij wil.
Ie­der mens heeft het recht om in vol­le­dige vri­j­heid te le­ven in het land dat hij of zij wil.
Wij zi­jn al­le­maal we­reld­bur­gers.
Schi­jn be­driegt ! Ga niet en­kel af op het ui­ter­lijke ver­schil…
Alle men­sen heb­ben recht op res­pect !
Zon­der ver­bin­dende mul­ti­cul­tu­ra­li­teit heeft de we­reld geen toe­kom­st.
Af­schaf­fing van de gren­zen voor het vrije ver­keer van men­sen.
Schaf de on­ge­lij­khe­den af die so­li­da­ri­teit ve­rhin­de­ren.
Opens­tel­ling van de gren­zen.
We zi­jn al­le­maal het­zelfde.
Laat ie­de­reen zich ve­re­ni­gen voor een be­tere toe­kom­st.
Meer vrede, meer to­le­ran­tie.
Uni­ver­sele ge­ne­ro­si­teit.
Nie­mand is een vreem­de­ling op deze aarde.
Elke per­soon ver­dient een men­se­lijke be­han­de­ling, on­geacht ie­mands af­kom­st of her­kom­st. Het is niet aan­vaard­baar om bui­ten­lan­ders slecht te be­han­de­len !
La­ten we de Men­sen­rech­ten res­pec­te­ren ! Niet de an­der is an­ders, niet de an­der is eng, on­we­tend­heid is eng. De an­der le­ren ken­nen is de oplos­sing.
Gast­vri­j­heid is een uit­druk­king van rijk­dom van een sa­men­le­ving, open voor de we­reld.
Ie­de­reen heeft recht op vri­j­heid en om te le­ven zoals hij of zij wil.
Op­vang en in­te­gra­tie = voor­deel op korte en lange ter­mi­jn.
Zon­der ver­bin­dende mul­ti­cul­tu­ra­li­teit heeft de we­reld geen toe­kom­st.
La­ten we ver­bin­ding creë­ren in plaats van boeien, la­ten we so­li­da­ri­teit creë­ren in plaats van uits­lui­ting, la­ten we on­ders­teu­ning creë­ren in plaats van on­der­wer­ping.
We ko­men al­le­maal uit het­zelfde sja­bloon en de­zelfde we­reld, on­geacht onze huid­sk­leur.

Re­gu­la­ri­sa­tie

Be­we­ging­svri­j­heid voor ie­de­reen.
Ge­lijke kan­sen voor ie­de­reen.
Mas­sale re­gu­la­ri­sa­tie zoals ti­j­dens Mi­nis­ter Wa­the­let !
Cri­te­ria ops­tel­len voor de re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren.
Re­gu­la­ri­sa­tie van alle im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren.
Geef ie­de­reen een ver­bli­jf­sver­gun­ning.
Re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren : ze wo­nen bij ons en wer­ken met en voor ons.
Dat de Bel­gische re­ge­ring de op­van­gin­fra­struc­tuur op­zet die no­dig is om im­mi­gran­ten op te van­gen ti­j­dens de re­gu­la­ri­sa­tie­pro­ce­dure.

Men­sen zon­der pa­pie­ren

Ge­mak­ke­lij­ker toe­gang heb­ben tot mo­bi­li­teit.
Af­schaf­fing van ges­lo­ten cen­tra.
Een ver­bli­jf­skaart (Carte Ar­dente / Luik) die ti­j­dens de pro­ce­dures als iden­ti­teits­do­cu­ment kan di­enen.
La­ten we ang­st, voo­roor­de­len en cli­chés ver­mi­j­den.
Zon­der pa­pie­ren (min­der­ja­ri­gen, man­nen, vrou­wen) is niet sy­no­niem met GEVAAR. Hij moet in zi­jn rech­ten wor­den hers­teld.
Geef ze de kans om te wer­ken.
Het gaat niet om ge­de­ti­neer­den, stop er­mee ze op te slui­ten !!!
We doen zelf de hand­boeien om en gaan voor het vlieg­tuig gaan om te voor­ko­men dat die met mi­gran­ten ops­ti­j­gen om ze te­rug te bren­gen naar hun land.
In het be­zit zi­jn van een ver­bli­jf­skaarts­kaart (Carte Ardente/ Luik) om toe­gang te kri­j­gen tot alle ge­meen­te­lijke di­ens­ten.
Geef men­sen zon­der pa­pie­ren toe­gang tot een er­kende oplei­ding.
Ver­ge­mak­ke­lijk pro­ce­du­re­ve­reis­ten voor drin­gende me­dische hulp (snel­ler, min­der tus­sen­per­so­nen).
Om men­sen zon­der pa­pie­ren te kun­nen la­ten rond­ko­men, moe­ten we hen toe­la­ten te wer­ken.

Ge­meen­te­lijke ve­rant­woor­de­lij­ken

Als ge­meen­te­lijk ver­te­gen­woor­di­ger stel ik so­ciale pro­jec­ten voor om de ban­den men­sen te vers­ter­ken : ik neem me voor het ini­tia­tief te ne­men voor ve­rant­woorde so­ciale pro­jec­ten.
1) Een rond­lei­ding door mi­jn Ge­meente met zi­jn be­lan­grijkste toe­ris­tische, cultu­rele en spor­tieve at­trac­ties.
2) work­shops en trai­nin­gen over conflic­to­plos­sing voor be­wo­ners van het cen­trum van alle leef­ti­j­den. Doel­stel­lin­gen : le­ren om­gaan met me­ning­sver­schil­len op een construc­tieve ma­nier.
3) Het op­zet­ten van een be­ge­lei­ding­spro­gram­ma om jon­ge­ren uit de cen­tra en ou­de­ren met el­kaar in contact te bren­gen.
4) Or­ga­ni­se­ren van bi­jeen­kom­sten in een ge­zel­lige om­ge­ving ge­richt op het ken­nis­ma­ken met ver­schil­lende cultu­ren die in onze stad aan­we­zig zi­jn. Met mu­ziek, dans, ko­ken, knut­se­lac­ti­vi­tei­ten… Sa­men de ti­jd ne­men om el­kaar te le­ren ken­nen.
5) Een be­zoek aan het ge­meen­te­huis, het OCMW, de kin­de­rop­vang, ser­vi­ce­wo­nin­gen voor alle nieuwe in­wo­ners van de stad, in­clu­sief de nieuwe be­wo­ners van de cen­tra.
6) Spor­tieve, cultu­rele en an­dere ac­ti­vi­tei­ten, waar­bij be­wo­ners en mi­gran­ten el­kaar kun­nen le­ren ken­nen.
7) Een of twee keer per jaar wel­kom­st- en in­for­ma­tie­bi­jeen­kom­sten voor nieuw­ko­mers, waar­bij hen in­te­gra­tie­mo­ge­lij­khe­den wor­den aan­ge­bo­den bin­nen de di­verse ve­re­ni­gin­gen van de ge­meente.
8) Als ge­meen­te­lijk af­ge­vaar­digde hoop ik dat mi­jn ge­meente vri­je­lijk op­vang kan voor­zien en de mid­de­len kan kri­j­gen van de fe­de­rale ove­rheid om dit te ver­we­zen­lij­ken.
9) Ver­bin­dende bui­ten­schoolse ac­ti­vi­tei­ten voor kin­de­ren en bi­jeen­kom­sten voor be­wo­ners om deel te ne­men aan ac­ti­vi­tei­ten van cultu­rele ve­re­ni­gin­gen uit de ge­meente.
Ik stel fi­nan­cie­ring voor door het fe­de­rale ni­veau, en de or­ga­ni­sa­tie van de op­vang van mi­gran­ten op lo­kaal ni­veau, lang­du­rig, dui­de­lijk af­ges­pro­ken en ver­ze­kerd, en voo­ral dat ons land, toch een rijk land, voor­beel­dige ve­rant­woor­de­lij­kheid toont op vol­gens haar po­si­tie, ges­chie­de­nis, en zin voor hu­ma­ni­taire plicht. Dat asiel­zoe­kers men­se­lijk wor­den be­han­deld, met res­pect voor hun rech­ten.
Ste­den en ge­meen­ten ver­de­len op­vang­plaat­sen voor mi­gran­ten en ‘dak­lo­zen’ om men­se­lijke en broe­der­lijke maa­tre­ge­len te onts­lui­ten (zon­der get­to­vor­ming ten gunste van in­te­gra­tie en in­clu­si­vi­teit. Uto­pie ?
Ik neem me bes­list voor om leeg­staande open­bare ge­bou­wen te re­no­ve­ren om huis­ves­ting toe­gan­ke­lij­ker te ma­ken, zo­dra ik daar­voor een po­li­tieke meer­de­rheid heb.
Ik wens dat ook mi­jn ge­meente zich gast­vrij laat ken­nen ! Men­sen echt willen ver­wel­ko­men en daar­voor zelf het aan­bod es­ca­le­ren naar de fe­de­rale ove­rheid.
Bel­gië di­ent haar en­ga­ge­men­ten na te ko­men ! Dat is niet meer dan ge­woon ons werk doen en onze ver­plich­ting na­ko­men op ge­bied van Men­sen­rech­ten !
Een nieuwe re­gu­la­ri­sa­tie­cam­pagne van men­sen zon­der pa­pie­ren.
Huis­ves­ting moet wor­den on­ders­teund door ge­meen­ten en pro­vin­cies die daar­voor de fi­nan­ciële mid­de­len moe­ten kri­j­gen toe­ge­we­zen.
Huis­jes­mel­kers bes­tri­j­den !
Stel meer wo­nin­gen bes­chik­baar.
Be­vor­der cultu­rele di­ver­si­teit via in­ter­cul­tu­rele fes­ti­vals.
Voer ein­de­lijk een ver­bli­jf­skaart (Carte Ar­dente / Luik) in.
Het is aan­be­vo­len klach­ten van men­sen zon­der pa­pie­ren te re­gis­tre­ren en te ver­wer­ken : in­voe­ring van een la­bel van “Gast­vrije Ge­meente”.
Re­gu­la­ri­sa­tie nu voor ie­de­reen, en dui­de­lijke cri­te­ria.
Er is ab­so­luut be­hoefte aan een per­ma­nente re­gu­la­ri­sa­tie­com­mis­sie, onaf­han­ke­lijk en met dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria.
Stel een in­ven­ta­ris op van de ge­bou­wen die ges­chikt zi­jn om mi­gran­ten te huis­ves­ten en zet struc­tu­ren op (ar­chi­tect, si­te­ma­na­ger) om mi­gran­ten te hel­pen die plek­ken te re­no­ve­ren (iso­la­tie, enz.), in ruil voor een in­te­gra­tie-in­ko­men voor deze men­sen.
Hier­door zou­den ui­tein­de­lijk ook teams kun­nen onts­taan die zi­jn op­ge­leid om an­dere wo­nin­gen te re­no­ve­ren als on­der­deel van kli­maa­tac­tie.
Zorg voor waar­dige le­ven­som­stan­di­ghe­den in het land van her­kom­st (van mi­gran­ten). Be­taal een eer­lijke pri­js voor hun ar­beid en grond­stof­fen.

Ik hoop dat deze ini­tia­tie­ven voor­beeld staan voor de rijk­dom aan cultu­ren die Bel­gië be­vol­ken : lang leve de in­ter­cul­tu­ra­li­teit !

À tra­vers toute la Bel­gique, des ci­toyennes, des ci­toyens, et des man­da­taires com­mu­naux, de 4 à 94 ans, ont for­mu­lés des pro­po­si­tions po­si­tives pour construire en­semble un ac­cueil juste et du­rable des per­sonnes exi­lées dans notre pays.

Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers : per­mettre à cer­taines or­ga­ni­sa­tions de don­ner leur adresse aux sans-pa­piers pour fa­vo­ri­ser le tra­vail for­mel plu­tôt que le tra­vail au noir et qu’ils aient un do­mi­cile.
L’ou­ver­ture à l’accès au tra­vail des per­sonnes sans-pa­piers pour toute offre d’emploi qui ne trouve pas preneur•euse.
Per­mettre aux mi­grants de tra­vailler dans dif­fé­rents sec­teurs où ils sont qua­li­fiés.
Fa­ci­li­ter l’équi­va­lence des di­plômes par un test de compétences/ un stage per­met­tant la cer­ti­fi­ca­tion plu­tôt que de de­voir re­faire toutes les études.
Du tra­vail pour les mi­grants pour un sa­laire dé­cent.
Ai­der les per­sonnes à re­trou­ver un sta­tut so­cial va­lo­ri­sant (pas juste ré­duit à un de­man­deur d’asile) :
- équi­va­lence des di­plômes (fa­ci­li­ter les for­ma­li­tés liées à l’équivalence)
- ac­cès aux for­ma­tions longues et pro­fes­sion­na­li­santes
- per­mis de tra­vail pour tous.
Mettre en place une pos­si­bi­li­té de pas­ser le per­mis de conduire via un tra­duc­teur afin que les per­sonnes pos­sé­dant ces ca­pa­ci­tés mais pas en­core par­fai­te­ment la langue, puissent avoir ac­cès à un em­ploi où le per­mis de conduire est exi­gé.
Mettre en place des for­ma­tions per­mis de conduire pour les per­sonnes anal­pha­bètes dans toutes les villes.
Des crèches sup­plé­men­taires et des gar­de­ries. Ou­ver­ture et fer­me­ture des crèches adap­tées à l’emploi (net­toyage..) Les mi­grants n’ont pas d’environnement fa­mi­lial pou­vant prendre le re­lais en ma­tière de garde d’enfants.
Chan­ger la loi du Per­mis Unique.
Je pro­pose un peu plus d’­hu­ma­ni­té, que toutes les per­sonnes dans le be­soin aient ac­cès à une for­ma­tion ou à des études afin de pou­voir s’é­pa­nouir.
Il fau­drait pou­voir tra­vailler plus vite, re­con­naître les ca­pa­ci­tés des per­sonnes mi­grantes car sans tra­vail, les pro­prié­taires ne veulent pas leur louer les lo­ge­ments.
Que les di­plômes ob­te­nus dans ces pays soient consi­dé­rés et per­mettent l’ac­cès à une for­ma­tion courte com­pre­nant un mo­dule de langue afin qu’ils gardent leur di­gni­té.
Mettre en place des pos­si­bi­li­tés de conti­nuer à suivre des cours de fran­çais/néerlandais tout en tra­vaillant pour pou­voir tra­vailler plus ra­pi­de­ment (cours sur place, sub­ven­tion­nés, pas à charge du pa­tron).
Ai­der les en­tre­prises qui sou­haitent tra­vailler avec des demandeur∙ses d’asile en pro­po­sant des mé­dia­teurs cultu­rels afin de mieux se com­prendre.
Que ces per­sonnes puissent avoir une op­por­tu­ni­té dans la vie, un tra­vail en so­cié­té, car c’est ça qu’ils cherchent en ar­ri­vant ici.
Mettre en place un sys­tème de com­pa­gnon­nage pour per­mettre aux per­sonnes d’être plus ra­pi­de­ment dans la réa­li­té du tra­vail et re­trou­ver es­time et confiance en soi.
Il fau­drait éga­le­ment ré­gu­la­ri­ser tous les tra­vailleurs sans pa­piers et per­mettre aux ré­fu­giés de tra­vailler lorsque leurs com­pé­tences ren­contrent la de­mande en ma­tière d’emploi ; à sa­laire égal à un belge.
Don­ner aux tra­vailleurs mi­grants un titre de sé­jour stable.

De l’aide/accompagnement pour tra­duc­tion, trou­ver une oc­cu­pa­tion même s’il y a un blo­cage de la langue.
Don­ner ac­cès aux études su­pé­rieures aux per­sonnes sans pa­piers.
Un meilleur ac­cueil et ac­com­pa­gne­ment pour les élèves ré­fu­giés qui ar­rivent dans le sys­tème sco­laire belge !
Il n’y a pas as­sez d’écoles pour ap­prendre le fran­çais dans les vil­lages et les ban­lieues =) aug­men­ter le nombre de lieux de for­ma­tion.
Les cours de fran­çais doivent être gra­tuits.
Il doit y avoir plus de places pour les cours de fran­çais parce qu’on doit at­tendre long­temps avant de com­men­cer.
Il faut que les in­for­ma­tions au Fo­rem existent en plu­sieurs langues pour trou­ver ra­pi­de­ment un tra­vail.
Toutes les per­sonnes dans le be­soin qui viennent d’un autre pays doivent avoir un ac­cès à une for­ma­tion qua­li­fiante pour pou­voir en­suite tra­vailler et de­ve­nir in­dé­pen­dant.
Per­mettre aux ré­fu­giés de suivre les for­ma­tions, leur per­mettre de tra­vailler en Bel­gique, puis leur per­mettre de ren­trer dans leur pays une fois en paix.
Avoir des pro­fes­seurs de classe DASPA qui connaissent l’anglais pour pou­voir mieux se com­prendre.
Je pro­pose que tous les en­fants puissent faire toutes les ac­ti­vi­tés dans les écoles, y com­pris les voyages sco­laires.
Je pro­pose que l’on puisse com­men­cer plus vite l’école après l’arrivée en Bel­gique.
Je pro­pose que l’on donne des cours sur la culture belge pour mieux la com­prendre.
Pour dé­ve­lop­per des pro­grammes d’in­ser­tion so­ciale et pro­fes­sion­nelle pour les mi­grants.

Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers, aug­men­ter les places d’accueil dans les ILA et re­fuges. Per­mettre aux ONG et ASBL, or­ga­ni­sa­tions, églises, etc… de don­ner leur adresse aux sans-pa­piers pour qu’ils aient un do­mi­cile.
Un toit pour tous, confort de base (nour­ri­ture, chauf­fage) pour tous, édu­ca­tion pour tous. Soyons so­li­daires… On vit tous sur la même pla­nète !
Du lo­ge­ment ac­ces­sible fi­nan­ciè­re­ment pour tous !
En­cou­ra­ger la so­li­da­ri­té, le dé­ve­lop­pe­ment d’habitats (exis­tants) avec une for­mule col­lec­tive ou com­mu­nau­taire et plu­ri-cultu­relle, in­ter-gé­né­ra­tion­nelle… Cé­lé­brer la di­ver­si­té et gran­dir hu­mai­ne­ment les uns avec les autres.
Plus d’aide pour la re­cherche d’un lo­ge­ment.
Un ha­bi­tat pour tous et de la nour­ri­ture aus­si.
De lais­ser les gens ve­nir ou leur don­ner un ha­bi­tat stable et sé­cu­ri­sé.
Que les éta­blis­se­ments vides soient ré­ha­bi­li­tés pour ac­cueillir les sans-abris.
Aug­men­ter le nombre de lits dans les centres FEDASIL et les ILAS en cas de be­soin, uti­li­sez des jar­dins (exemple : FEDASIL à Oi­gnies et l‘énorme ter­rain pour ins­tal­ler des tentes.
Avoir la pos­si­bi­li­té d’interprète pour mieux com­prendre les pro­cé­dures (bail).
Que tous les en­fants de ces fa­milles soient ac­cueillis di­gne­ment et puissent par­ta­ger la vie de nos en­fants sans crainte et sans stress de ne pas trou­ver de lo­ge­ment à la fin de leur jour­née sco­laire.
Suite aux inon­da­tions, beau­coup de mai­sons à Liège ont été lais­sées telles quelles, vi­dées et dé­la­brées. Ces mai­sons HABITABLES sont à l’abandon ! Uti­li­sons-les, ré­ha­bi­li­tons les pour ac­cueillir ceux qui en ont be­soin.
Per­sonne ne doit dor­mir dans la rue, il faut créer de l’hébergement.
Tout le monde doit avoir un toit en ar­ri­vant sur le sol belge.
Afin d’éviter les ghet­tos, di­ver­si­fier les ori­gines dans les lo­ge­ments com­mu­nau­taires : di­ver­si­té et ap­prendre à se connaître.
Un plan de ré­par­ti­tion des per­sonnes mi­grantes dans les dif­fé­rentes com­munes.
Je pro­pose d’oc­cu­per les dif­fé­rents bâ­ti­ments in­oc­cu­pés pour les abri­ter.
Iso­ler et in­so­no­ri­ser les lo­ge­ments so­ciaux. Rendre les lo­ge­ments sa­lubres.
Trou­ver un moyen pour que les pro­prié­taires res­pectent leurs de­voirs : cau­tion sur un compte, contrat de bail, sa­lu­bri­té des lo­ge­ments.
Que nous soyons conscients qu’héberger 3 000 per­sonnes dans un pays de 11 000 000 d’habitants n’est PAS un gros pro­blème.
Je pro­pose que les im­mo­bi­lières so­ciales fassent ap­pel à des tra­duc­teurs (ex. Uni­ver­bal) pour ex­pli­quer les règles et com­ment rem­plir les contrats d’énergie.
Je pro­pose des ren­contres entre pro­prié­taires et lo­ca­taires pour mieux se connaître et mieux com­prendre les dif­fi­cul­tés des lo­ca­taires et pro­prié­taires.
Il doit y avoir plus de lo­ge­ments so­ciaux pour tout le monde.
Une po­li­tique d’asile beau­coup plus hu­maine, un lo­ge­ment pour tous ces mi­grants qui se re­trouvent dans la rue.
Que tous les mi­grants soient mieux ac­cueillis dans notre pays. Qu’ils soient lo­gés et nour­ris est une prio­ri­té. Je ne veux plus voir de tentes le long du ca­nal, ni de mi­grants al­lon­gés dans les gares.
Je pro­pose que l’on ac­cueille les MENA dans des fa­milles.
Que l’État belge et les Ré­gions mettent plus de Centres d’accueil et de lo­ge­ments à dis­po­si­tion des mi­grants.
La créa­tion de lo­ge­ments d’accueil tem­po­raire ou à moyen terme.

Qu’il y ait un élan de so­li­da­ri­té concret, un lieu d’accueil pour tous + stock ali­men­taire…
Des sortes de « Res­tos du cœur » pour les mi­grants à la rue. Au moins un hé­ber­ge­ment. Le gou­ver­ne­ment doit bien ac­cueillir les mi­grants.
Que ma com­mune par­ti­cipe via la (juste) ré­par­ti­tion par com­mune se­lon le plan pro­po­sé en sep­tembre 2022 par le CIRE !
Amé­lio­rer l’ac­cès à l’aide ju­ri­dique et aux ser­vices d’interprètes en mi­lieu so­cial pour les exi­lés.
Moins de vio­lence en­vers eux, plus d’accès dans des centres pour des en­fants sans fa­mille.
Qu’on ac­cueille les en­fants et les ado­les­cents qui sou­haitent une vie meilleure.
Amé­lio­rer l’hygiène dans les camps de ré­fu­giés.
Mettre l’intérêt su­pé­rieur des en­fants au centre des po­li­tiques et des pra­tiques d’accueil afin que les en­fants dans les centres d’accueil puissent être des en­fants avant tout.
Faire en­core plus de lien vers le monde ex­té­rieur pour que les en­fants ne vivent pas seule­ment dans le centre d’accueil.
Or­ga­ni­ser un ré­seau so­lide au­tour des centres d’accueil ; des liens plus étroits avec l’enseignement, les loi­sirs et un meilleur ac­cès au soin de san­té (men­tale).
Des struc­tures adap­tées aux en­fants et aux fa­milles dans les centres d’accueil : pièce suf­fi­sam­ment grande, pos­si­bi­li­té de cui­si­ner soi-même, ins­tal­la­tions sa­ni­taires dans la chambre et sûres, es­paces in­té­rieurs et ex­té­rieurs adap­tés aux en­fants en fonc­tion de leur âge., or­di­na­teurs et wi­fi pour les de­voirs. Dans chaque ville, un centre unique de pas­sage avec la co­or­di­na­tion des ac­ti­vi­tés clai­re­ment dé­fi­nies sur leur ob­jec­tif d’aide. Avec des in­ter­prètes bien sûr ! Des pas­se­relles avec les ci­toyens pour des ac­ti­vi­tés bien pré­ci­sées pour que l‘effet ne soit pas trop in­tense et ne dé­cou­rage pas.
Me­ner plus de consul­ta­tions ju­ri­diques et de cla­ri­fi­ca­tions pour les per­sonnes étran­gères.
Plus de centres pour les mi­grants. Plus de sub­ven­tions pour les as­so­cia­tions qui tra­vaillent avec eux. Que tout le monde y mette du sien, qu’ils soient les bien­ve­nus, dans le pays qu’ils sou­haitent. Sa­chez que des po­li­ciers vous sou­tiennent aus­si.
Des ac­tions plus nom­breuses avec les as­so­cia­tions.
Que des centres d’accueil adap­tés puissent être fa­ci­le­ment ac­ces­sibles.
Qu’on re­donne de l’humanité au monde ! Il est hon­teux de se ca­cher der­rière des consi­dé­ra­tions po­li­tiques, fi­nan­cières… Des me­sures hu­maines doivent être prises. On a le de­voir d’aider les gens en dé­tresse.
De pré­voir des lieux d’accueil « d’urgence » dans toutes les com­munes pour évi­ter aux mi­grants de se re­trou­ver de­hors (aus­si en été).

Éga­li­té des droits pour tous par exemple pour les trai­te­ments mé­di­caux.
Ren­for­cer la Sé­cu So­li­daire.
Je pro­pose que tous les en­fants, y com­pris ceux qui n’ont pas de pa­piers, puissent avoir une mu­tuelle, un ac­cès aux soins de san­té.
Sim­pli­fier les dé­marches de l’aide mé­di­cale ur­gente.
Un ac­cès à un lo­ge­ment dé­cent, à l’édu­ca­tion des en­fants, et aux soins de san­té pour cha­cun.
Les per­sonnes ré­fu­giées mé­ritent un ac­cueil dé­cent.

Or­ga­ni­sa­tion d’un mee­ting sur la pro­blé­ma­tique mi­gra­toire, fa­ci­li­ta­tion de l’intégration et ac­cès à l’information.
Faire en­tendre l’histoire et les dif­fi­cul­tés de tous les gars lais­sés en rue par la Bel­gique au mé­pris de leurs droits !
Que plus d’informations soient don­nées aux com­munes pour ac­cueillir di­gne­ment les per­sonnes obli­gées de fuir leur pays en guerre ou sou­mis à la dic­ta­ture.
En tant que ci­toyen, je pro­pose de dé­dra­ma­ti­ser la vague de mi­grants qui nous en­va­hit. Ils étaient 36 500 en 2022. Loin des 46 000 de 2015 ! Il faut in­for­mer les gens cor­rec­te­ment.
En tant que ci­toyen, je pro­pose d’in­ter­ve­nir au­près des ha­bi­tants et au­to­ri­tés étran­gères pour évi­ter des dé­parts ris­qués.
In­for­mez les pays étran­gers des condi­tions de vie en Bel­gique.
Que la RTBF pro­pose par exemple 1 x par se­maine dix mi­nutes d’émis­sion té­moi­gnage d’un•e migrant•e du style « Le pe­tit Ber­ger » d’Adam ou le par­cours d’une femme ra­ci­sée.
Que les mé­dias et les po­li­tiques cessent de sté­réo­ty­per les mi­grants. Ils sont une op­por­tu­ni­té et non un dan­ger pour le pays hôte.
Rap­pe­ler que les de­man­deurs d’a­sile ne sont pas des pro­fi­teurs, ce sont des per­sonnes en dan­ger de mort ou ayant su­bi de mau­vais trai­te­ments. Ne pas les ac­cueillir de fa­çon cor­recte en res­pect de la loi est in­ac­cep­table.
Ne pas ac­cu­ser les mi­grants sans sa­voir.
Un vé­ri­table tra­vail d’investigation sur les trai­te­ments des mi­grants dans les centres en Bel­gique et au ni­veau in­ter­na­tio­nal.
Que l’on évite les amal­games : un de­man­deur d’asile ou un mi­grant n’est pas ter­ro­riste par es­sence. La qua­si-to­ta­li­té des mi­grants sou­haitent vivre en paix et par­ti­ci­per à la so­cié­té.
Que per­sonne n’oublie qu’il est lui-même fils, pe­tit-fils d’immigrés…
Que les études scien­ti­fiques et so­cio­lo­giques qui dé­montrent les ap­ports po­si­tifs de la mi­gra­tion soient lar­ge­ment dif­fu­sées dans la presse.
Que la dif­fu­sion des chiffres, mis en évi­dence dans di­verses études, nous fasse prendre conscience des vraies réa­li­tés de la mi­gra­tion.

Faire une jour­née à leur place. Les lais­ser libres, ce sont des hu­mains comme nous. Vis ma vie.
Je pro­pose qu’on lutte fer­me­ment contre le ra­cisme et les dis­cri­mi­na­tions dès le plus jeune âge en ins­tau­rant des mo­ments de sen­si­bi­li­sa­tion et de réflexion/action dans toutes les écoles.
Et si c’était vous ? Ils ont droit à une vie nor­male. Un fi­let de sou­tien pour une po­li­tique mi­gra­toire.

Que cha­cun fasse aux autres et pour les autres ce qu’il vou­drait qu’on fasse pour lui.
L’Autre est VOTRE mi­roir !
En­ga­gez-vous en fa­veur de la jus­tice mi­gra­toire par­tout !

Sen­si­bi­li­sa­tion à l’ac­cueil res­pec­tueux (connais­sance de la culture de l’autre) au­près des ins­ti­tu­tions.
Que plu­tôt de nous re­plier sur nous-mêmes, nous com­pre­nions les rai­sons qui amènent des can­di­dats ré­fu­giés à tout quit­ter, leur mai­son, leur fa­mille, leur pa­trie, car la vie leur de­vient im­pos­sible.

Que vive le par­tage et qu’on or­ga­nise des concours de « meilleurs par­ta­geurs ».

Que plu­tôt que de craindre les étran­gers, nous cher­chions à dé­cou­vrir leurs ri­chesses. Nous sommes tous des hu­mains… Être hu­main, c’est être confron­té par­fois aux mêmes réa­li­tés : la vie, la mort, les nais­sances, la vie avec ses voi­sins. Il se peut qu’on s’enrichisse de cer­taines ma­nières d’aborder ces ques­tions.
La mul­ti­pli­ca­tion des mo­ments de ren­contres mul­ti cultu­relles car se connaitre c’est s’accepter.
Com­prendre, ac­cep­ter, ne pas ju­ger, ai­der les gens qui viennent d’ailleurs, qui sont dif­fé­rents et ac­cep­ter la dif­fé­rence.
De conti­nuer à en­cou­ra­ger des ren­contres mul­ti-cultu­relles en­core, en­core et en­core. Nous avons tous à ap­prendre les uns des autres.
Qu’il soit créé des mo­ments d’échanges de pa­roles, des jeux de so­cié­té pour créer du lien so­cial. Mettre en place des parrainages/marrainages.
Que l’on se réunisse pour trou­ver des points com­muns et qu’on parle tous en­semble, que l’on res­pecte les dif­fé­rences.
Vivre et rire en­semble.
Pre­nons le temps de se ren­con­trer et de se com­prendre pour avan­cer en­semble.
En­semble, cher­chons ce qui nous ras­semble.
Par­ta­geons notre culture, nos tra­di­tions.
Cé­lé­brer des fêtes en­semble et échan­ger nos ex­pé­riences.
Dé­cou­vrir le pays en fai­sant des ex­cur­sions et ren­con­trer plus de belges.
Avoir des amis qui parlent le fran­çais pour com­mu­ni­quer aus­si en de­hors de l’école.
Un meilleur ac­cueil, mais qui ap­prend éga­le­ment la culture et les règles oc­ci­den­tales. Une plus grande aide dans les deux sens.
Créons du lien pas des liens, créons de la so­li­da­ri­té pas de l’ex­clu­sion, créons du sou­tien pas de la sou­mis­sion.
Une meilleure in­té­gra­tion et édu­ca­tion en­vers les « nou­veaux » mi­grants afin qu’il y ait moins de dis­pa­ri­té so­ciale.
Je pro­pose un ac­cueil rai­son­né plus ou­vert en Bel­gique et une aide aux pays d’où ils partent.
Je pro­pose des lieux de ren­contre avec les nou­veaux ve­nus. Sou­vent, c’est la peur qui bloque les re­la­tions.
Res­pec­ter et mieux connaître ses voi­sins.
Mettre en place des ré­seaux de sou­tien, par­rai­nage, de ren­contre (un, deux, nous, In­ter­ra, Live in Co­lor) afin de per­mettre aux per­sonnes de re­créer des liens puisqu’ils ne bé­né­fi­cient plus du sou­tien de leur fa­mille et ain­si de mieux com­prendre la so­cié­té d’accueil.
Al­ler à la ren­contre des gens.
L’organisation de groupes de cui­sine. Une per­sonne pré­sente un re­pas ty­pique de son pays. Tout le monde cui­sine en­semble et par­tage le re­pas. C ‘est l’occasion de dis­cus­sions, d’échanges et de par­tage entre per­sonnes d’horizons va­riés.

Créer un or­ga­nisme où chaque per­sonne étran­gère pour­rait de­man­der n’importe quelle ques­tion sur la vie en Bel­gique parce que c’est très dif­fi­cile de prendre dif­fé­rents ren­dez-vous dans des or­ga­nismes dif­fé­rents.

Faire du bé­né­vo­lat.
En­cou­ra­ger les « don­ne­ries » afin que tout le monde puisse se vê­tir et trou­ver du mo­bi­lier.
Qu’on ar­rête d’avoir peur de l‘autre, mais qu’on le ren­contre.
Des évè­ne­ments cultu­rels or­ga­ni­sés en ville, sur les places, etc.
Ap­prendre à se connaître.
La pre­mière des choses, il faut les en­tendre avant de les ju­ger et sur­tout don­ner le droit de par­ler pour ex­pli­quer ce qu’ils ont à dire.
Je pense que l’inconnu fait peur mais une fois dé­pas­sées ses peurs, ce­la va très bien.

Que chaque com­mu­nau­té se donne la main et que la fête de Ni­velles donne au moins une cer­taine place aux cultures gé­niales de com­mu­nau­tés qui peuplent Ni­velles. Vive l’inter-culturel !!
Dé­ve­lop­per la culture gé­né­rale, les connais­sances po­li­tiques, la so­li­da­ri­té, l’entraide in­ter-eth­nique et gé­né­ra­tion­nelle. La mul­ti-cultu­ra­li­té est l’avenir ! Dé­ve­lop­per l’écoute et le par­tage des cultures et sa­voirs.
Que les liens soient ren­for­cés entre com­mu­nau­tés.

Que l’on construise moins de murs et plus de ponts… Notre confort gomme
l’empathie… Se mettre dans leur peau… En­core pos­sible ?… Mer­ci les dé­ci­deurs…
Que nous nous mo­bi­li­sions tous en­semble pour ac­cueillir les per­sonnes dé­pla­cées, quelles que soient les rai­sons pour les­quelles elles ont dû ou vou­lu aban­don­ner leur foyer. La terre n’est qu’un seul pays et tous les hu­mains en sont les ci­toyens. Il n’existe de fron­tière que dans l’étroitesse d’esprit.

L’être hu­main n’oublie pas que la mi­sère est à notre porte et que nous ha­bi­tons un pe­tit vil­lage.

Faire une jour­née à leur place. Les lais­ser libres, ce sont des hu­mains comme nous. Vis ma vie.
Je pro­pose qu’on lutte fer­me­ment contre le ra­cisme et les dis­cri­mi­na­tions dès le plus jeune âge en ins­tau­rant des mo­ments de sen­si­bi­li­sa­tion et de réflexion/action dans toutes les écoles.
Et si c’était vous ? Ils ont droit à une vie nor­male. Un fi­let de sou­tien pour une po­li­tique mi­gra­toire.

Que cha­cun fasse aux autres et pour les autres ce qu’il vou­drait qu’on fasse pour lui.
L’Autre est VOTRE mi­roir !
En­ga­gez-vous en fa­veur de la jus­tice mi­gra­toire par­tout !

Sen­si­bi­li­sa­tion à l’ac­cueil res­pec­tueux (connais­sance de la culture de l’autre) au­près des ins­ti­tu­tions.
Que plu­tôt de nous re­plier sur nous-mêmes, nous com­pre­nions les rai­sons qui amènent des can­di­dats ré­fu­giés à tout quit­ter, leur mai­son, leur fa­mille, leur pa­trie, car la vie leur de­vient im­pos­sible.

Que vive le par­tage et qu’on or­ga­nise des concours de « meilleurs par­ta­geurs ».

Que plu­tôt que de craindre les étran­gers, nous cher­chions à dé­cou­vrir leurs ri­chesses. Nous sommes tous des hu­mains… Être hu­main, c’est être confron­té par­fois aux mêmes réa­li­tés : la vie, la mort, les nais­sances, la vie avec ses voi­sins. Il se peut qu’on s’enrichisse de cer­taines ma­nières d’aborder ces ques­tions.
La mul­ti­pli­ca­tion des mo­ments de ren­contres mul­ti cultu­relles car se connaitre c’est s’accepter.
Com­prendre, ac­cep­ter, ne pas ju­ger, ai­der les gens qui viennent d’ailleurs, qui sont dif­fé­rents et ac­cep­ter la dif­fé­rence.
De conti­nuer à en­cou­ra­ger des ren­contres mul­ti-cultu­relles en­core, en­core et en­core. Nous avons tous à ap­prendre les uns des autres.
Qu’il soit créé des mo­ments d’échanges de pa­roles, des jeux de so­cié­té pour créer du lien so­cial. Mettre en place des parrainages/marrainages.
Que l’on se réunisse pour trou­ver des points com­muns et qu’on parle tous en­semble, que l’on res­pecte les dif­fé­rences.
Vivre et rire en­semble.
Pre­nons le temps de se ren­con­trer et de se com­prendre pour avan­cer en­semble.
En­semble, cher­chons ce qui nous ras­semble.
Par­ta­geons notre culture, nos tra­di­tions.
Cé­lé­brer des fêtes en­semble et échan­ger nos ex­pé­riences.
Dé­cou­vrir le pays en fai­sant des ex­cur­sions et ren­con­trer plus de belges.
Avoir des amis qui parlent le fran­çais pour com­mu­ni­quer aus­si en de­hors de l’école.
Un meilleur ac­cueil, mais qui ap­prend éga­le­ment la culture et les règles oc­ci­den­tales. Une plus grande aide dans les deux sens.
Créons du lien pas des liens, créons de la so­li­da­ri­té pas de l’ex­clu­sion, créons du sou­tien pas de la sou­mis­sion.
Une meilleure in­té­gra­tion et édu­ca­tion en­vers les « nou­veaux » mi­grants afin qu’il y ait moins de dis­pa­ri­té so­ciale.
Je pro­pose un ac­cueil rai­son­né plus ou­vert en Bel­gique et une aide aux pays d’où ils partent.
Je pro­pose des lieux de ren­contre avec les nou­veaux ve­nus. Sou­vent, c’est la peur qui bloque les re­la­tions.
Res­pec­ter et mieux connaître ses voi­sins.
Mettre en place des ré­seaux de sou­tien, par­rai­nage, de ren­contre (un, deux, nous, In­ter­ra, Live in Co­lor) afin de per­mettre aux per­sonnes de re­créer des liens puisqu’ils ne bé­né­fi­cient plus du sou­tien de leur fa­mille et ain­si de mieux com­prendre la so­cié­té d’accueil.
Al­ler à la ren­contre des gens.
L’organisation de groupes de cui­sine. Une per­sonne pré­sente un re­pas ty­pique de son pays. Tout le monde cui­sine en­semble et par­tage le re­pas. C ‘est l’occasion de dis­cus­sions, d’échanges et de par­tage entre per­sonnes d’horizons va­riés.

Créer un or­ga­nisme où chaque per­sonne étran­gère pour­rait de­man­der n’importe quelle ques­tion sur la vie en Bel­gique parce que c’est très dif­fi­cile de prendre dif­fé­rents ren­dez-vous dans des or­ga­nismes dif­fé­rents.

Faire du bé­né­vo­lat.
En­cou­ra­ger les « don­ne­ries » afin que tout le monde puisse se vê­tir et trou­ver du mo­bi­lier.
Qu’on ar­rête d’avoir peur de l‘autre, mais qu’on le ren­contre.
Des évè­ne­ments cultu­rels or­ga­ni­sés en ville, sur les places, etc.
Ap­prendre à se connaître.
La pre­mière des choses, il faut les en­tendre avant de les ju­ger et sur­tout don­ner le droit de par­ler pour ex­pli­quer ce qu’ils ont à dire.
Je pense que l’inconnu fait peur mais une fois dé­pas­sées ses peurs, ce­la va très bien.

Que chaque com­mu­nau­té se donne la main et que la fête de Ni­velles donne au moins une cer­taine place aux cultures gé­niales de com­mu­nau­tés qui peuplent Ni­velles. Vive l’inter-culturel !!
Dé­ve­lop­per la culture gé­né­rale, les connais­sances po­li­tiques, la so­li­da­ri­té, l’entraide in­ter-eth­nique et gé­né­ra­tion­nelle. La mul­ti-cultu­ra­li­té est l’avenir ! Dé­ve­lop­per l’écoute et le par­tage des cultures et sa­voirs.
Que les liens soient ren­for­cés entre com­mu­nau­tés.

Que l’on construise moins de murs et plus de ponts… Notre confort gomme
l’empathie… Se mettre dans leur peau… En­core pos­sible ?… Mer­ci les dé­ci­deurs…
Que nous nous mo­bi­li­sions tous en­semble pour ac­cueillir les per­sonnes dé­pla­cées, quelles que soient les rai­sons pour les­quelles elles ont dû ou vou­lu aban­don­ner leur foyer. La terre n’est qu’un seul pays et tous les hu­mains en sont les ci­toyens. Il n’existe de fron­tière que dans l’étroitesse d’esprit.

L’être hu­main n’oublie pas que la mi­sère est à notre porte et que nous ha­bi­tons un pe­tit vil­lage.

Qu’il puisse y avoir beau­coup plus de places afin de re­ce­voir tout le monde qui vient de­man­der la pro­tec­tion in­ter­na­tio­nale en Bel­gique.
La créa­tion d’un sta­tut de ré­fu­gié cli­ma­tique.
Mettre tout le monde sur un pied d’égalité lors des pro­cé­dures.
En­ga­ger plus de per­son­nel pour ac­cé­lé­rer les dé­marches ad­mi­nis­tra­tives pour ob­te­nir des pa­piers.
Une carte ter­ri­to­riale qui ser­vi­rait de do­cu­ment d‘identité du­rant le temps des pro­cé­dures (exemple : carte ar­dente).
Il fau­drait avoir des ré­ponses plus ra­pides lors des de­mandes pour de­ve­nir ré­fu­gié. At­tendre quelques mois pour une ré­ponse, ce n’est pas pos­sible.
Je pro­pose de don­ner la na­tio­na­li­té pour les per­sonnes de plus de 60 ans sans condi­tion.
Que la pro­cé­dure de de­mande des pa­piers de sé­jour soit moins longue.
Ré­duire le temps des pro­cé­dures afin de di­mi­nuer l’incertitude quant à l’avenir, la des­truc­tion par l’attente.
Je sug­gère de don­ner la ci­toyen­ne­té à une per­sonne qui ré­side de­puis 5 ans et qui a 60 ans sans condi­tion de tra­vail.
Ren­dons le temps de de­mande de ces per­sonnes moins long afin d’obtenir le res­pect d’être un être à part en­tière.
Que cesse, en Bel­gique, tout trai­te­ment in­hu­main et dé­gra­dant en­vers les mi­grants. Qu’ils soient consi­dé­rés pour ce qu’ils sont, une ri­chesse.

Li­ber­té de cir­cu­la­tion pour tous.
Éga­li­té des chances pour tous.
Une ré­gu­la­ri­sa­tion mas­sive comme avec le Mi­nistre Wa­the­let !
Ins­tau­rer des cri­tères de ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers.
Don­ner un titre de sé­jour à tout le monde.
Ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers : ils vivent avec nous et tra­vaillent avec et pour nous.
Que le Gou­ver­ne­ment belge mette en place des in­fra­struc­tures d’accueil né­ces­saires pour ac­cueillir les im­mi­grés le temps de la pro­cé­dure de ré­gu­la­ri­sa­tion.
Don­ner un ac­cès plus fa­cile aux moyens de trans­ports aux per­sonnes sans pa­piers.
Sup­pres­sion de Centres fer­més.
Une carte ter­ri­to­riale qui ser­vi­rait de do­cu­ment d’identité du­rant le temps des pro­cé­dures.
Évi­tons les peurs, les pré­ju­gés et les cli­chés.
Sans-pa­piers (mi­neurs, homme, femme) n’est pas sy­no­nyme de DANGER. Il doit être ré­ta­bli dans ses droits.
Don­ner la pos­si­bi­li­té de tra­vailler aux per­sonnes sans pa­piers.
Ce ne sont pas des pri­son­niers, ar­rê­tez de les en­fer­mer !!!
On se me­notte et on em­pêche les avions avec les mi­grants de dé­col­ler pour les re­tour­ner dans leur pays en se met­tant de­bout de­vant l’avion.
Avoir une carte prou­vant la do­mi­ci­lia­tion (carte ar­dente) afin de pou­voir avoir ac­cès à tous les ser­vices com­mu­naux.
Per­mettre aux per­sonnes sans-pa­piers d’avoir ac­cès aux for­ma­tions qua­li­fiantes.
Ren­for­cer la « Sé­cu so­li­daire ».
Fa­ci­li­ter les pro­cé­dures de l’aide mé­di­cale ur­gente (plus ra­pide, moins d’intermédiaires).
Lais­sons tra­vailler les étran­gers qui veulent se dé­brouiller sans pa­piers.

Une po­li­tique mi­gra­toire équi­table.
Que l’Europe adopte des me­sures pour un ac­cueil digne des mi­grants afin d’éviter les drames en Mé­di­ter­ra­née.
Que soit ren­for­cée la lutte contre les in­éga­li­tés de genre, afin de pro­té­ger les femmes mi­grantes des abus sur le che­min de l’exil.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’implication des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
L’ouverture de voies d’ac­cès au sé­jour lé­gal, et la prise en consi­dé­ra­tion des vul­né­ra­bi­li­tés.
Je sou­haite l’aban­don dé­fi­ni­tif des vi­sites do­mi­ci­liaires.
La fin de la dé­ten­tion et des ex­pul­sions for­cées d’étrangers pour de simples rai­sons ad­mi­nis­tra­tives.
La mise à l’abri des de­man­deurs de pro­tec­tion in­ter­na­tio­nale : zé­ro sans-abrisme !
La fin du rè­gle­ment Du­blin et l’ar­rêt de l’externalisation des fron­tières.
Qu’un ac­cueil plus hu­main et plus ra­pide soit ré­ser­vé aux mi­grants.
Que chaque com­mune prenne ses res­pon­sa­bi­li­tés en ma­tière d’accueil des ré­fu­giés et de­man­deurs d’asile. Le « Ce n’est pas moi, c’est l’autre », il faut y mettre fin.
Que l’on trans­fère les fi­nan­ce­ments pour les Centres fer­més vers un meilleur fi­nan­ce­ment des Centres d’accueil.
Que l’argent qu’on est prêt à dé­pen­ser pour ren­voyer des per­sonnes au-de­là de nos fron­tières soit plu­tôt uti­li­sé à ac­cueillir di­gne­ment chez nous (lo­ge­ment, for­ma­tions, aide mé­di­cale etc…).
Que le gou­ver­ne­ment belge lé­ga­lise TOUS les mi­grants « illé­gaux ».
Que chaque per­sonne soit trai­tée avec di­gni­té et hu­ma­ni­té.
Que chaque per­sonne qui ar­rive dans notre pays y trouve l’es­poir et les condi­tions né­ces­saires pour re­dé­mar­rer en toute sé­ré­ni­té.
La rue, les Centres « fer­més », les ac­cords avec des pays non dé­mo­cra­tiques, ne peuvent plus être ac­cep­tés.
Plus d’humanité dans le trai­te­ment des de­mandes d’asile.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’im­pli­ca­tion des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
Que les mi­grants soient ac­cueillis avec plus de d’humanité.
Qu’ils soient re­gar­dés et ac­cueillis comme des hommes.
Com­bien de bâ­ti­ments vides qui pour­raient leur être at­tri­bués !
C’est un choix po­li­tique !
Voir la di­gni­té hu­maine res­pec­tée par mon propre pays, la Bel­gique.
Quel État peut pré­tendre être un État de droit et s’asseoir sur les Ar­rêts de la Cour eu­ro­péenne des Droits de l’Homme ?
Aujourd’hui, j’ai honte de mon pays. Aujourd’hui, j’ai honte d’être Belge.
Il y a des normes. Il y a sur­tout des hommes. Mer­ci pour eux.
Quand le gou­ver­ne­ment est et per­siste d’être hors-la-loi, que reste-t-il à faire pour les ci­toyens ? La déso­béis­sance ci­vile.
Que le gou­ver­ne­ment belge (ain­si que tous les ci­toyens) soient plus ac­cueillants et plus hu­mains avec les mi­grants.
Que la Bel­gique et son Gou­ver­ne­ment fassent hon­neur à leurs citoyen•nes.
Qu’ils mettent en place une po­li­tique mi­gra­toire qui res­pecte les droits hu­mains, la di­gni­té de chacun•e.
Que l’on cesse de faire des éco­no­mies sur le dos de l’humanité.
Que vous, po­li­tiques belges, vous met­tiez en­fin tout en œuvre pour un ACCUEIL DIGNE et SOLIDAIRE des mi­grants du monde en­tier.
Une vé­ri­table po­li­tique d’accueil res­pec­tueuse des lois, de la Conven­tion des Droits hu­mains, de la Conven­tion de Ge­nève et SURTOUT du fait que nous sommes tous et toutes ha­bi­tants de la Terre.
Je suis scan­da­li­sé. Que faites-vous, les « Po­li­ti­ciens » pour la di­gni­té hu­maine [avec] notre ar­gent en pen­sant que vous lais­sez plus de 2500 per­sonnes à la rue ? « HEUREUSEMENT » qu’il y a les ASSOCIATIONS.
Que le gou­ver­ne­ment belge res­pecte les « Dé­crets » eu­ro­péens par rap­port à l’asile des mi­grants. Lorsqu’un gou­ver­ne­ment pose des actes illé­gaux, les ci­toyens se posent des ques­tions.
Que les mi­grants ne soient plus cri­mi­na­li­sés : mi­grer, c’est exer­cer son droit de se dé­pla­cer.
Que les po­li­ti­ciens belges et eu­ro­péens règlent les pro­blèmes de flux mi­gra­toires pour évi­ter le sys­tème ca­tas­tro­phique ac­tuel.
Que notre so­cié­té et les po­li­tiques qui la re­pré­sentent se sou­cient de ne lais­ser au­cun être hu­main sur le cô­té, qui qu’il soit, d’où qu’il vienne, quelle que soit sa si­tua­tion so­ciale.
Que les po­li­ti­ciens prennent leurs res­pon­sa­bi­li­tés avec cou­rage !
URGENT !!! Que ma com­mune mette en place une struc­ture d’accueil pour les migrant•es et fa­ci­lite leurs dé­marches d’intégration dans notre beau pays !
Que l’Occident ar­rête de sou­te­nir les dic­ta­tures en Afrique noire !
Que les po­li­tiques prennent des me­sures concrètes pour ré­soudre les conflits et sup­pri­mer les in­éga­li­tés.
Une meilleure écoute et échange entre les po­li­tiques et les ci­toyens.
Que la mi­gra­tion soit un réel droit et qu’on mette fin aux pro­po­si­tions de vi­sites do­mi­ci­liaires. Nous sommes tous des ha­bi­tants de la même pla­nète !
L’abo­li­tion pré­ven­tive de l’idée de vi­site do­mi­ci­liaire. Ce n’est pas en fouillant les mai­sons que l’on trouve les ter­ro­ristes. C’est en don­nant les moyens à la jus­tice pour ne pas man­quer les in­di­vi­dus ra­di­ca­li­sés.
Voir plus d’actions sou­te­nues par la com­mune pour pro­mou­voir le sens de l’hospitalité dont les mi­grants ont be­soin.
Que la po­li­tique mi­gra­toire fa­ci­lite l’ins­tal­la­tion des mi­grants et des de­man­deurs qui ont des fa­milles sur le ter­ri­toire Belge.
Que l’État cesse de gas­piller notre ar­gent dans des pro­jets « tape à l’œil ». Nous n’avons pas be­soin de luxe. Nous avons be­soin de cô­toyer des hu­mains heu­reux, épa­nouis, ac­cueillis, ac­tifs, li­bre­ment.
Un peu plus d’énergie de la part des Pou­voirs pu­blics.
Que chaque per­sonne sur terre ait les mêmes chances en termes de sé­cu­ri­té, d’alimentation et de san­té. Que toutes les per­sonnes soient trai­tées de ma­nière éga­li­taire en tant qu’humain et non par rap­port à sa na­tio­na­li­té.
Que des règles claires soient éta­blies et res­pec­tées par l’État fé­dé­ral dans sa po­li­tique mi­gra­toire.
Que le gou­ver­ne­ment res­pecte la loi pour l’accueil des mi­grants.
Je pro­pose le main­tien dans la du­rée des en­ga­ge­ments des Com­munes Hos­pi­ta­lières, dont Liège fait par­tie.
J’aimerais voir la jus­tice mieux fi­nan­cée. En­tendre que des si­tua­tions hu­maines dé­gra­dées res­tent en sus­pens pour rai­son de jus­tice ad­mi­nis­tra­tive sous-fi­nan­cées est in­ac­cep­table !
La ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers, des voies sûres et lé­gales pour mi­grer, l’ac­cueil des per­sonnes mi­grantes dans les dif­fé­rentes com­munes, as­su­rer leurs droits ef­fec­tifs !
Que toutes et tous puis­sions vivre di­gne­ment, en sé­cu­ri­té, avoir des pa­piers, en bref vivre en­semble. Pour ce­la, il faut une po­li­tique mi­gra­toire plus juste et plus hu­maine.
Moins de mi­nistres, plus de pro­messes te­nues.
Par­tir des re­la­tions entre ci­toyens ou­verts et en faire une po­li­tique =) in­clure un co­mi­té de ci­toyens, des gens de ter­rain, dans la ré­flexion de po­li­tique d’accueil.
Ré­gu­la­ri­ser avec des cri­tères clairs et per­ma­nents, une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
Des ac­tions concrètes de pro­tec­tion des per­sonnes sans-pa­piers dans ma com­mune.
La fer­me­ture des Centres fer­més.
Chan­ger la pro­cé­dure de Du­blin.
Pays des Droits de l’Homme ? Uti­li­sons nos moyens fi­nan­ciers pour res­pec­ter ces belles pa­roles.
L’ONU a ap­prou­vé le droit des mi­grants comme un droit hu­main : dans cet es­prit, je pro­pose d’encou­ra­ger les po­li­tiques pour que la Bel­gique et l’Union eu­ro­péenne soient par­te­naire de cette Conven­tion en la si­gnant et la ra­ti­fiant.
Que les per­sonnes ve­nant de pays en guerre ob­tiennent d’of­fice des pa­piers.
Que ma com­mune, Liège, se dote d’une « Carte Ci­toyenne ».
Que les com­munes re­nou­vellent leur mo­tion de ville hos­pi­ta­lière et qu’elles s’engagent ef­fec­ti­ve­ment dans des po­li­tiques d’ouverture et d’accueil.
Des cri­tères clairs et per­ma­nents de ré­gu­la­ri­sa­tion.
Une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
La fin du ca­pi­ta­lisme ! Car on uti­lise les étran­gers pour di­mi­nuer les sa­laires = mau­vais pour les tra­vailleurs d’ici = ce qui aug­mente les votes d’extrême droite = ter­reau de dic­ta­ture.
L’établissement de cri­tères de ré­gu­la­ri­sa­tion ra­pi­de­ment.
Nous, les mul­ti­na­tio­nales du Nord, fixant les prix des ma­tières pre­mières, or­ga­ni­sant les mar­chés, terres ex­clu­si­ve­ment culti­vées pour nous ; ba­teaux écu­mant les mers tu vois tous ces ré­sul­tats sur le cli­mat. Mais va-t-on chan­ger ?
Qu’il n’y ait plus de guerre dans le monde.
Que le ci­toyen soit au centre des dif­fé­rentes dé­ci­sions po­li­tiques. Soyons les ac­teurs de la rup­ture et les ar­ti­sans du re­nou­veau.
Je pro­pose d’a­bo­lir les ac­cords de Du­blin, d’o­bli­ger l’É­tat belge à res­pec­ter le droit in­ter­na­tio­nal.
Que tous ceux qui sont ve­nus par re­grou­pe­ment fa­mi­lial puissent avoir la na­tio­na­li­té après 3 ans.
Res­pec­ter la di­gni­té hu­maine et les droits élé­men­taires.
Les ac­cueillir, ne pas les ju­ger ni les re­je­ter.
Il faut ab­so­lu­ment que les po­li­tique se bougent, que nos gou­ver­ne­ments res­pectent les en­ga­ge­ments eu­ro­péens qu’ils ont ap­prou­vés.
Que chaque po­li­ti­cien donne un jour de son sa­laire aux sans-abris.
De ré­gu­la­ri­ser mas­si­ve­ment les per­sonnes sans titre de sé­jour et de res­pec­ter toutes nos obli­ga­tions in­ter­na­tio­nales en ma­tière de mi­gra­tion !

Une po­li­tique mi­gra­toire équi­table.
Que l’Europe adopte des me­sures pour un

En tant que man­da­taire com­mu­nal, je pro­pose que des liens so­ciaux unissent les gens : je donne, je par­tage et je réa­lise des pro­jets so­ciaux res­pon­sables.
1) Une vi­site gui­dée de Hot­ton avec ses prin­ci­paux at­traits tou­ris­tiques, cultu­rels et spor­tifs
2) Or­ga­ni­ser des ate­liers et for­ma­tions sur les ré­so­lu­tions des conflits pour les ré­si­dents des centres de tous âges. Ob­jec­tifs : ap­prendre à gé­rer les désac­cords de ma­nières construc­tives
3) Mettre en place un pro­gramme de tu­to­rat qui met­tra en re­la­tion des jeunes des centres et des ai­nés
4) Or­ga­ni­ser des ren­contres au sein d’es­paces convi­viaux axé sur la dé­cou­verte des cultures dif­fé­rentes pré­sentes sur notre com­mune. Il y au­rait des ac­ti­vi­tés de mu­sique, danse, cui­sine, ar­ti­sa­nat… Prendre le temps en­semble de faire connais­sance
5) Une vi­site de la mai­son com­mu­nale, du CPAS, de la crèche, des ré­si­dences ser­vices pour l’ensemble des nou­veaux ha­bi­tants de la com­mune y com­pris les nou­veaux ré­si­dents des centres
6) Mettre en place des ac­ti­vi­tés spor­tives, cultu­relles et autres, du­rant les­quelles les ha­bi­tants et les mi­grants pour­rait ap­prendre à se connaitre
7) Or­ga­ni­ser une ou deux fois par an, des réunions d’accueil et d’information pour les nou­veaux ar­ri­vants, leur pré­sen­ter les op­por­tu­ni­tés d’intégration au sein des nom­breuses as­so­cia­tions de la com­mune
8) En tant que man­da­taire com­mu­nal, je sou­haite que ma com­mune puisse ac­cueillir li­bre­ment et ob­te­nir les moyens du fé­dé­ral pour concré­ti­ser cet ac­cueil
9) Tis­ser des liens grâce aux ac­ti­vi­tés ex­tra-sco­laires des en­fants et in­vi­ter les ré­si­dents aux réunions pour par­ti­ci­per à des ac­ti­vi­tés des groupes cultu­rels de Hot­ton.
Je pro­pose que le fi­nan­ce­ment et l’organisation, par le ni­veau fé­dé­ral, de l’ac­cueil des mi­grants au ni­veau lo­cal, soient constants, lé­ga­li­sés, dé­fi­nis et as­su­rés et, sur­tout, d’un ni­veau digne de notre pays qui est un pays riche, res­pon­sable et te­nu, par sa po­si­tion, par son his­toire, à un de­voir d’exemplarité hu­ma­ni­taire. Que les de­man­deurs d’asile soient trai­tés comme tout être hu­main, dans la di­gni­té. Que leurs droits soient res­pec­tés et qu’ils soient ap­pli­qués.
Les Villes et Com­munes se ré­par­tissent des places d’accueil pour mi­grants et « sans abris » de fa­çon à dé­blo­quer des me­sures hu­maines et fra­ter­nelles, sans ghet­toï­sa­tion en fa­veur de l’intégration et de l’inclusion. Uto­pie ?
Je m’engage à ré­no­ver les bâ­ti­ments pu­blics vides pour fa­ci­li­ter l’accès au lo­ge­ment si je suis dans la ma­jo­ri­té.
Que Ni­velles res­pecte aus­si les en­ga­ge­ments de Com­mune hos­pi­ta­lière ! Vrai­ment ac­cueillir les gens et faire re­mon­ter les de­mandes au fé­dé­ral.
Res­pect des en­ga­ge­ments de la Bel­gique ! Que nous fai­sions sim­ple­ment notre tra­vail dans le res­pect des droits hu­mains !
Une nou­velle phase de ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers.
Que des lo­ge­ments soient pris en charge par les Com­munes, Pro­vinces et que des moyens fi­nan­ciers leurs soient at­tri­bués.
Lut­ter contre les mar­chands de som­meil.
Rendre plus de lo­ge­ments ac­ces­sibles.
Va­lo­ri­ser la di­ver­si­té cultu­relle par des fêtes in­ter­cul­tu­relles.
Mettre en­fin en place la Carte Ar­dente.
Re­ce­voir les plaintes des per­sonnes sans pa­piers et les trai­ter : le la­bel « Com­mune hos­pi­ta­lière » ce­la se mé­rite.
Ré­gu­la­ri­sa­tion main­te­nant pour tous et des cri­tères clairs.
Il faut ab­so­lu­ment une com­mis­sion per­ma­nente de ré­gu­la­ri­sa­tion, in­dé­pen­dante et avec des cri­tères clairs et per­ma­nents.
Réa­li­ser un in­ven­taire des bâ­ti­ments aptes à ac­cueillir des mi­grants et mettre en place la struc­ture ad hoc (ar­chi­tecte, chef de chan­tier) pour ai­der ces mi­grants à ré­ha­bi­li­ter ces lieux (iso­la­tion, etc), moyen­nant un re­ve­nu d’intégration pour ces per­sonnes.
Ce­la pour­rait aus­si consti­tuer à terme des équipes for­mées pour ré­ha­bi­li­ter d’autres lo­ge­ments dans le cadre du plan cli­mat.
Don­ner des condi­tions de vie digne dans le pays d’origine (des mi­grants). Payer leur tra­vail et leurs ma­tières pre­mières à un prix juste.

ac­cueil digne des mi­grants afin d’éviter les drames en Mé­di­ter­ra­née.
Que soit ren­for­cée la lutte contre les in­éga­li­tés de genre, afin de pro­té­ger les femmes mi­grantes des abus sur le che­min de l’exil.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’implication des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
L’ouverture de voies d’ac­cès au sé­jour lé­gal, et la prise en consi­dé­ra­tion des vul­né­ra­bi­li­tés.
Je sou­haite l’aban­don dé­fi­ni­tif des vi­sites do­mi­ci­liaires.
La fin de la dé­ten­tion et des ex­pul­sions for­cées d’étrangers pour de simples rai­sons ad­mi­nis­tra­tives.
La mise à l’abri des de­man­deurs de pro­tec­tion in­ter­na­tio­nale : zé­ro sans-abrisme !
La fin du rè­gle­ment Du­blin et l’ar­rêt de l’externalisation des fron­tières.
Qu’un ac­cueil plus hu­main et plus ra­pide soit ré­ser­vé aux mi­grants.
Que chaque com­mune prenne ses res­pon­sa­bi­li­tés en ma­tière d’accueil des ré­fu­giés et de­man­deurs d’asile. Le « Ce n’est pas moi, c’est l’autre », il faut y mettre fin.
Que l’on trans­fère les fi­nan­ce­ments pour les Centres fer­més vers un meilleur fi­nan­ce­ment des Centres d’accueil.
Que l’argent qu’on est prêt à dé­pen­ser pour ren­voyer des per­sonnes au-de­là de nos fron­tières soit plu­tôt uti­li­sé à ac­cueillir di­gne­ment chez nous (lo­ge­ment, for­ma­tions, aide mé­di­cale etc…).
Que le gou­ver­ne­ment belge lé­ga­lise TOUS les mi­grants « illé­gaux ».
Que chaque per­sonne soit trai­tée avec di­gni­té et hu­ma­ni­té.
Que chaque per­sonne qui ar­rive dans notre pays y trouve l’es­poir et les condi­tions né­ces­saires pour re­dé­mar­rer en toute sé­ré­ni­té.
La rue, les Centres « fer­més », les ac­cords avec des pays non dé­mo­cra­tiques, ne peuvent plus être ac­cep­tés.
Plus d’humanité dans le trai­te­ment des de­mandes d’asile.
Que le gou­ver­ne­ment sou­tienne l’im­pli­ca­tion des ci­toyens dans l’accueil des mi­grants.
Que les mi­grants soient ac­cueillis avec plus de d’humanité.
Qu’ils soient re­gar­dés et ac­cueillis comme des hommes.
Com­bien de bâ­ti­ments vides qui pour­raient leur être at­tri­bués !
C’est un choix po­li­tique !
Voir la di­gni­té hu­maine res­pec­tée par mon propre pays, la Bel­gique.
Quel État peut pré­tendre être un État de droit et s’asseoir sur les Ar­rêts de la Cour eu­ro­péenne des Droits de l’Homme ?
Aujourd’hui, j’ai honte de mon pays. Aujourd’hui, j’ai honte d’être Belge.
Il y a des normes. Il y a sur­tout des hommes. Mer­ci pour eux.
Quand le gou­ver­ne­ment est et per­siste d’être hors-la-loi, que reste-t-il à faire pour les ci­toyens ? La déso­béis­sance ci­vile.
Que le gou­ver­ne­ment belge (ain­si que tous les ci­toyens) soient plus ac­cueillants et plus hu­mains avec les mi­grants.
Que la Bel­gique et son Gou­ver­ne­ment fassent hon­neur à leurs citoyen•nes.
Qu’ils mettent en place une po­li­tique mi­gra­toire qui res­pecte les droits hu­mains, la di­gni­té de chacun•e.
Que l’on cesse de faire des éco­no­mies sur le dos de l’humanité.
Que vous, po­li­tiques belges, vous met­tiez en­fin tout en œuvre pour un ACCUEIL DIGNE et SOLIDAIRE des mi­grants du monde en­tier.
Une vé­ri­table po­li­tique d’accueil res­pec­tueuse des lois, de la Conven­tion des Droits hu­mains, de la Conven­tion de Ge­nève et SURTOUT du fait que nous sommes tous et toutes ha­bi­tants de la Terre.
Je suis scan­da­li­sé. Que faites-vous, les « Po­li­ti­ciens » pour la di­gni­té hu­maine [avec] notre ar­gent en pen­sant que vous lais­sez plus de 2500 per­sonnes à la rue ? « HEUREUSEMENT » qu’il y a les ASSOCIATIONS.
Que le gou­ver­ne­ment belge res­pecte les « Dé­crets » eu­ro­péens par rap­port à l’asile des mi­grants. Lorsqu’un gou­ver­ne­ment pose des actes illé­gaux, les ci­toyens se posent des ques­tions.
Que les mi­grants ne soient plus cri­mi­na­li­sés : mi­grer, c’est exer­cer son droit de se dé­pla­cer.
Que les po­li­ti­ciens belges et eu­ro­péens règlent les pro­blèmes de flux mi­gra­toires pour évi­ter le sys­tème ca­tas­tro­phique ac­tuel.
Que notre so­cié­té et les po­li­tiques qui la re­pré­sentent se sou­cient de ne lais­ser au­cun être hu­main sur le cô­té, qui qu’il soit, d’où qu’il vienne, quelle que soit sa si­tua­tion so­ciale.
Que les po­li­ti­ciens prennent leurs res­pon­sa­bi­li­tés avec cou­rage !
URGENT !!! Que ma com­mune mette en place une struc­ture d’accueil pour les migrant•es et fa­ci­lite leurs dé­marches d’intégration dans notre beau pays !
Que l’Occident ar­rête de sou­te­nir les dic­ta­tures en Afrique noire !
Que les po­li­tiques prennent des me­sures concrètes pour ré­soudre les conflits et sup­pri­mer les in­éga­li­tés.
Une meilleure écoute et échange entre les po­li­tiques et les ci­toyens.
Que la mi­gra­tion soit un réel droit et qu’on mette fin aux pro­po­si­tions de vi­sites do­mi­ci­liaires. Nous sommes tous des ha­bi­tants de la même pla­nète !
L’abo­li­tion pré­ven­tive de l’idée de vi­site do­mi­ci­liaire. Ce n’est pas en fouillant les mai­sons que l’on trouve les ter­ro­ristes. C’est en don­nant les moyens à la jus­tice pour ne pas man­quer les in­di­vi­dus ra­di­ca­li­sés.
Voir plus d’actions sou­te­nues par la com­mune pour pro­mou­voir le sens de l’hospitalité dont les mi­grants ont be­soin.
Que la po­li­tique mi­gra­toire fa­ci­lite l’ins­tal­la­tion des mi­grants et des de­man­deurs qui ont des fa­milles sur le ter­ri­toire Belge.
Que l’État cesse de gas­piller notre ar­gent dans des pro­jets « tape à l’œil ». Nous n’avons pas be­soin de luxe. Nous avons be­soin de cô­toyer des hu­mains heu­reux, épa­nouis, ac­cueillis, ac­tifs, li­bre­ment.
Un peu plus d’énergie de la part des Pou­voirs pu­blics.
Que chaque per­sonne sur terre ait les mêmes chances en termes de sé­cu­ri­té, d’alimentation et de san­té. Que toutes les per­sonnes soient trai­tées de ma­nière éga­li­taire en tant qu’humain et non par rap­port à sa na­tio­na­li­té.
Que des règles claires soient éta­blies et res­pec­tées par l’État fé­dé­ral dans sa po­li­tique mi­gra­toire.
Que le gou­ver­ne­ment res­pecte la loi pour l’accueil des mi­grants.
Je pro­pose le main­tien dans la du­rée des en­ga­ge­ments des Com­munes Hos­pi­ta­lières, dont Liège fait par­tie.
J’aimerais voir la jus­tice mieux fi­nan­cée. En­tendre que des si­tua­tions hu­maines dé­gra­dées res­tent en sus­pens pour rai­son de jus­tice ad­mi­nis­tra­tive sous-fi­nan­cées est in­ac­cep­table !
La ré­gu­la­ri­sa­tion des sans-pa­piers, des voies sûres et lé­gales pour mi­grer, l’ac­cueil des per­sonnes mi­grantes dans les dif­fé­rentes com­munes, as­su­rer leurs droits ef­fec­tifs !
Que toutes et tous puis­sions vivre di­gne­ment, en sé­cu­ri­té, avoir des pa­piers, en bref vivre en­semble. Pour ce­la, il faut une po­li­tique mi­gra­toire plus juste et plus hu­maine.
Moins de mi­nistres, plus de pro­messes te­nues.
Par­tir des re­la­tions entre ci­toyens ou­verts et en faire une po­li­tique =) in­clure un co­mi­té de ci­toyens, des gens de ter­rain, dans la ré­flexion de po­li­tique d’accueil.
Ré­gu­la­ri­ser avec des cri­tères clairs et per­ma­nents, une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
Des ac­tions concrètes de pro­tec­tion des per­sonnes sans-pa­piers dans ma com­mune.
La fer­me­ture des Centres fer­més.
Chan­ger la pro­cé­dure de Du­blin.
Pays des Droits de l’Homme ? Uti­li­sons nos moyens fi­nan­ciers pour res­pec­ter ces belles pa­roles.
L’ONU a ap­prou­vé le droit des mi­grants comme un droit hu­main : dans cet es­prit, je pro­pose d’encou­ra­ger les po­li­tiques pour que la Bel­gique et l’Union eu­ro­péenne soient par­te­naire de cette Conven­tion en la si­gnant et la ra­ti­fiant.
Que les per­sonnes ve­nant de pays en guerre ob­tiennent d’of­fice des pa­piers.
Que ma com­mune, Liège, se dote d’une « Carte Ci­toyenne ».
Que les com­munes re­nou­vellent leur mo­tion de ville hos­pi­ta­lière et qu’elles s’engagent ef­fec­ti­ve­ment dans des po­li­tiques d’ouverture et d’accueil.
Des cri­tères clairs et per­ma­nents de ré­gu­la­ri­sa­tion.
Une com­mis­sion in­dé­pen­dante.
La fin du ca­pi­ta­lisme ! Car on uti­lise les étran­gers pour di­mi­nuer les sa­laires = mau­vais pour les tra­vailleurs d’ici = ce qui aug­mente les votes d’extrême droite = ter­reau de dic­ta­ture.
L’établissement de cri­tères de ré­gu­la­ri­sa­tion ra­pi­de­ment.
Nous, les mul­ti­na­tio­nales du Nord, fixant les prix des ma­tières pre­mières, or­ga­ni­sant les mar­chés, terres ex­clu­si­ve­ment culti­vées pour nous ; ba­teaux écu­mant les mers tu vois tous ces ré­sul­tats sur le cli­mat. Mais va-t-on chan­ger ?
Qu’il n’y ait plus de guerre dans le monde.
Que le ci­toyen soit au centre des dif­fé­rentes dé­ci­sions po­li­tiques. Soyons les ac­teurs de la rup­ture et les ar­ti­sans du re­nou­veau.
Je pro­pose d’a­bo­lir les ac­cords de Du­blin, d’o­bli­ger l’É­tat belge à res­pec­ter le droit in­ter­na­tio­nal.
Que tous ceux qui sont ve­nus par re­grou­pe­ment fa­mi­lial puissent avoir la na­tio­na­li­té après 3 ans.
Res­pec­ter la di­gni­té hu­maine et les droits élé­men­taires.
Les ac­cueillir, ne pas les ju­ger ni les re­je­ter.
Il faut ab­so­lu­ment que les po­li­tique se bougent, que nos gou­ver­ne­ments res­pectent les en­ga­ge­ments eu­ro­péens qu’ils ont ap­prou­vés.
Que chaque po­li­ti­cien donne un jour de son sa­laire aux sans-abris.
De ré­gu­la­ri­ser mas­si­ve­ment les per­sonnes sans titre de sé­jour et de res­pec­ter toutes nos obli­ga­tions in­ter­na­tio­nales en ma­tière de mi­gra­tion !

Si la terre a des fron­tières, les rêves des mi­grants n’en au­ront ja­mais !
L’amour est une va­leur re­fuge.
Voir un monde où toute per­sonne peut être égale et re­con­nue.
Com­men­çons à pen­ser glo­bal, pour le bien de cha­cune et de cha­cun. Il est plus que temps de le­ver le pied sur notre gour­man­dise qui épuise la Terre et en­voie sur les routes des mil­lions de per­sonnes.
Créons des liens entre nous, pas sur leurs poi­gnets.
Nous sommes tou­jours l’étranger de quelqu’un, alors ar­rê­tons d’avoir peur d’eux et de les haïr.
La pla­nète est à tout le monde ! Soyons so­li­daires.
Que tous ces hu­mains qui naissent libres et égaux en droit soient trai­tés avec la di­gni­té à la­quelle ils ont droit !
J’aimerais que chaque ci­toyen du monde puisse gar­der sa di­gni­té. En les ac­cueillant en tant qu’HUMAIN.
Les per­sonnes sans pa­pier ne sont pas des cri­mi­nels.
Tout homme a droit à la li­ber­té et à vivre comme il l’en­tend.
Chaque hu­main a le droit de vivre dans le pays qu’il veut en toute li­ber­té.
Nous sommes tous des ci­toyens du monde.
« Les images sont par­fois trom­peuses ».
À toutes ces per­sonnes res­pec­tables… qu’elles soient res­pec­tées.
Sans lien de la mul­ti-cultu­ra­li­té, il n’y au­ra pas d’a­ve­nir pour le monde.
L’abolition des fron­tières pour la libre cir­cu­la­tion des per­sonnes.
Abo­lir les in­éga­li­tés qui sont un frein à la so­li­da­ri­té.
Ou­ver­ture des fron­tières.
On est tous les mêmes.
Que tout le monde se mette en­semble pour un ave­nir meilleur.
Plus de paix, plus de to­lé­rance.
La bien­veillance uni­ver­selle.
Per­sonne n’est étran­ger sur cette terre.
De trai­ter chaque per­sonne hu­mai­ne­ment, peu im­porte l’origine ou la pro­ve­nance d’une per­sonne. Ce n’est pas ac­cep­table de trai­ter les étran­gers avec des mau­vaises condi­tions !
Res­pec­tons les Droits des HOMMES !! L’autre n’est pas dif­fé­rent, l’autre ne fait pas peur, l’i­gno­rance fait peur. Ap­prendre à connaître l’autre est le seul che­min.
L’ac­cueil, c’est la ri­chesse d’une so­cié­té qui reste ou­verte sur le monde.
Tout homme a droit à la li­ber­té et à vivre comme il l’en­tend.
Ac­cueil et in­té­gra­tion = bé­né­fice à court et à long terme.
Sans lien de la mul­ti-cultu­ra­li­té, il n’y au­ra pas d’a­ve­nir pour le monde.
Créons du lien pas des liens, créons de la so­li­da­ri­té pas de l’ex­clu­sion, créons du sou­tien pas de la sou­mis­sion.
Nous sommes tous is­sus du même moule et monde, quel que soit notre cou­leur.

Je sou­haite que cette œuvre sym­bo­lise les cultures gé­niales qui peuplent la Bel­gique : vive l’interculturalité !

Throu­ghout Bel­gium, ci­ti­zens and mu­ni­ci­pal re­pre­sen­ta­tives, aged 4 to 94, have for­mu­la­ted po­si­tive pro­po­sals to build to­ge­ther a fair and sus­tai­nable re­cep­tion for people exi­led in our coun­try.

Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted mi­grants : al­low cer­tain or­ga­ni­za­tions to give their ad­dresses to un­do­cu­men­ted mi­grants to en­cou­rage of­fi­cial work ins­tead of un­de­cla­red work and to pro­vide them with shel­ter.
Ma­king work ac­ces­sible to people wi­thout pa­pers for eve­ry job of­fer that does not find a can­di­date. Re­gu­la­ri­za­tion of people wi­thout pa­pers, decent hou­sing for eve­ryone.
Al­low mi­grants to work in the sec­tors in which they are qua­li­fied.
Fa­ci­li­tate di­plo­ma equi­va­lence through a skills test/apprenticeship that en­ables cer­ti­fi­ca­tion, ra­ther than ha­ving to re­peat the stu­dies from scratch.
Work for mi­grants for a decent wage.
Hel­ping people to ob­tain a re­war­ding so­cial sta­tus (ins­tead of just being an asy­lum see­ker).
- Equi­va­lence of sco­lar de­grees =) ad­mi­nis­tra­tive sim­pli­fi­ca­tion of equi­va­lence.
- Ac­cess to long-term and pro­fes­sio­nal trai­ning courses.
- Work per­mit for eve­ryone.
Avai­la­bi­li­ty of a trans­la­tor to ob­tain a dri­ver’s li­cense so that qua­li­fied people who do not yet speak the lan­guage per­fect­ly can ac­cess a job that re­quires a dri­ver’s li­cense.
En­abling lo­cal dri­ver trai­ning for illi­te­rate people.
Ad­di­tio­nal day­care cen­ters and af­ter-school care. Ope­ning and clo­sing of day­care cen­ters adap­ted to wor­king hours (clea­ning, etc.) Mi­grants do not have a fa­mi­ly en­vi­ron­ment that can pro­vide child­care.
Amend the Com­bi­ned Per­mit Act.
I pro­pose a lit­tle more hu­ma­ni­ty, so that all people in need have ac­cess to trai­ning or stu­dies to de­ve­lop them­selves.
We should get to work fas­ter and re­co­gnize the ca­pa­bi­li­ties of mi­grants, be­cause wi­thout work, land­lords will not want to rent them any ac­com­mo­da­tion.
That the di­plo­mas ob­tai­ned in these coun­tries are re­co­gni­zed and pro­vide ac­cess to a short trai­ning course in­clu­ding a lan­guage mo­dule, so that they main­tain their self-es­teem.
Create op­por­tu­ni­ties to conti­nue ta­king lan­guage courses on the job, to en­able a work cir­cum­stances. (on-site courses, sub­si­di­zed, not at the em­ployer’s ex­pense).
Help com­pa­nies that want to work with asy­lum see­kers by of­fe­ring cultu­ral me­dia­tors to bet­ter un­ders­tand each other.
That these people get a chance in life, work in so­cie­ty, be­cause that is what they are loo­king for when they ar­rive here.
Set up a gui­dance sys­tem so that people can en­ter a real wor­king en­vi­ron­ment more qui­ck­ly and re­gain their self-es­teem and self-confi­dence.
We must al­so re­gu­la­rize all un­do­cu­men­ted wor­kers and al­low re­fu­gees to work when their skills meet em­ploy­ment de­mand ; for the same sa­la­ry as a Bel­gian.
Give mi­grant wor­kers a stable re­si­dence per­mit.

Let there be a concrete wave of so­li­da­ri­ty, a mee­ting place for eve­ryone + ac­cess to food…
A kind of “Res­tos du coeur” for ho­me­less mi­grants. At least shel­ter. The go­vern­ment must wel­come mi­grants.
That my mu­ni­ci­pa­li­ty may par­ti­ci­pate in the CIRE plan pro­po­sed in Sep­tem­ber 2022 ! for a (fair) spread per mu­ni­ci­pa­li­ty.
Im­prove ac­cess to le­gal aid and in­ter­pre­ters for re­fu­gees.
Less vio­lence against them, bet­ter ac­cess to cen­ters for unac­com­pa­nied mi­nors.
Let’s wel­come chil­dren and ado­les­cents who want a bet­ter life.
Im­pro­ving hy­giene in re­fu­gee camps.
Place the in­ter­ests of chil­dren at the cen­ter of a wel­come po­li­cy and prac­tice, so that chil­dren in re­fu­gee cen­ters can be chil­dren first.
Make the en­vi­ron­ment ac­ces­sible, so that chil­dren do not live alone in the shel­ter.
Or­ga­nize a strong net­work around shel­ters ; clo­ser ties with edu­ca­tion, lei­sure and bet­ter ac­cess to (men­tal) health care.
In­fra­struc­ture sui­table for chil­dren and fa­mi­lies in the re­cep­tion centres : suf­fi­cient­ly large rooms, pos­si­bi­li­ty to co­ok your­self, safe sa­ni­ta­ry fa­ci­li­ties in the room, in­door and out­door areas sui­table for chil­dren by age, com­pu­ters and Wi­Fi for ho­me­work.
A single tran­sit cen­ter in each ci­ty with tar­ge­ted and co­or­di­na­ted ope­ra­tions ba­sed on the in­ten­ded aid ob­jec­tive. With in­ter­pre­ters of course ! Contact with ci­ti­zens for well-de­fi­ned and not too in­tense ac­ti­vi­ties not to dis­cou­rage them.
More le­gal ad­vice and cla­ri­fi­ca­tion for fo­rei­gners.
More cen­ters for mi­grants. More sub­si­dies for the as­so­cia­tions that col­la­bo­rate with them. Let eve­ryone do their part, let them be wel­come, in the coun­try they choose. Know that the po­lice al­so sup­port you.
More ac­tions with as­so­cia­tions.
That sui­table re­cep­tion cen­ters are ea­si­ly ac­ces­sible.
More hu­ma­ni­ty in the world ! It is sha­me­ful to hide be­hind po­li­ti­cal or fi­nan­cial consi­de­ra­tions… Hu­man ac­tion must be ta­ken. We have a du­ty to help those in need.
Pro­vide emer­gen­cy shel­ter in all mu­ni­ci­pa­li­ties to prevent mi­grants from en­ding up on the streets (al­so in the sum­mer).

Help/support with trans­la­tion, fin­ding a job, even with com­plete lan­guage in­abi­li­ty.
Pro­vi­ding ac­cess to hi­gher edu­ca­tion to un­do­cu­men­ted people.
Bet­ter re­cep­tion and sup­port for re­fu­gee stu­dents ar­ri­ving in the Bel­gian edu­ca­tion sys­tem !
There are not en­ough schools to learn the lan­guage in vil­lages and out­side =) in­crease the num­ber of trai­ning cen­ters.
Lan­guage les­sons should be free.
There should be more op­por­tu­ni­ties for lan­guage les­sons, be­cause we have to wait a long time to start.
Job of­fices’ of­fers must be avai­lable in mul­tiple lan­guages to qui­ck­ly find a job.
All people in need of care from ano­ther coun­try must have ac­cess to cer­ti­fied trai­ning so that they can then work and be­come self-re­liant.
Let re­fu­gees re­ceive trai­ning, let them work in Bel­gium and then let them re­turn to their coun­try as soon as there is peace.
Of­fe­ring cer­ti­fied En­glish tea­chers to un­ders­tand each other bet­ter.
I pro­pose that all chil­dren should be able to par­ti­ci­pate in all school ac­ti­vi­ties, in­clu­ding school trips.
I pro­pose that we can go to school more qui­ck­ly af­ter ar­ri­ving in Bel­gium.
I pro­pose that we give courses on Bel­gian culture to un­ders­tand it bet­ter.
De­ve­lo­ping so­cial and pro­fes­sio­nal in­te­gra­tion pro­grams for mi­grants.

Fa­ci­li­tate the or­ga­ni­za­tion of mee­tings on the mi­gra­tion is­sue and make in­for­ma­tion ea­si­ly ac­ces­sible.
The sto­ries and dif­fi­cul­ties of young people left on the streets by Bel­gium, in vio­la­tion of their rights, must be made known !
Bet­ter in­form mu­ni­ci­pa­li­ties so that they can re­ceive people who have been for­ced to flee their coun­try at war or were sub­ject to a dic­ta­tor­ship, in a di­gni­fied man­ner.
As a ci­ti­zen, I pro­pose to de­dra­ma­tize the in­flux of mi­grants. In 2022 there were 36,500. Far from the 46,000 in 2015 ! We must in­form people cor­rect­ly.
As a ci­ti­zen, I pro­pose to in­ter­vene with re­si­dents and au­tho­ri­ties in coun­tries of ori­gin to prevent ris­ky mi­gra­tion.
In­form the coun­tries of ori­gin about li­ving condi­tions in Bel­gium.
For example, let the main TV chan­nels of­fer ten mi­nutes of tes­ti­mo­nials from a mi­grant once a week in the style of “Le pe­tit Ber­ger” by Adam or the jour­ney of a ra­cia­li­zed wo­man.
Let the me­dia and po­li­ti­cians stop ste­reo­ty­ping mi­grants. They of­fer op­por­tu­ni­ties and not dan­ger to the host coun­try.
Re­mem­ber that asy­lum see­kers are not pro­fi­teers, but people who are in life dan­ger or who are vic­tims of abuse. It is unac­cep­table not to wel­come them pro­per­ly in ac­cor­dance with the law.
Don’t ac­cuse mi­grants out of igno­rance.
Real re­search work on the treat­ment of mi­grants in cen­ters in Bel­gium and in­ter­na­tio­nal­ly.
Let’s avoid confu­sion : an asy­lum see­ker or a mi­grant is es­sen­tial­ly not a ter­ro­rist. Al­most all mi­grants want to live in peace and par­ti­ci­pate in so­cie­ty.
Re­mem­ber that eve­ryone is the son or grand­son of an im­mi­grant…
En­able scien­ti­fic and so­cio­lo­gi­cal stu­dies to de­mons­trate the po­si­tive contri­bu­tions of mi­gra­tion and to wi­de­ly dis­se­mi­nate them in the press.
The dis­se­mi­na­tion of sta­tis­tics re­vea­led by va­rious stu­dies can make us aware of the ge­nuine rea­li­ty of mi­gra­tion.

Spend a day in their place. Let them be free, they are people like us. Ex­pe­rience their lives.
I pro­pose that we vi­go­rous­ly com­bat ra­cism and dis­cri­mi­na­tion from an ear­ly age by crea­ting mo­ments of awa­re­ness, re­flec­tion and ac­tion in all schools.
And what if it were you ? They have the right to live a nor­mal life. A net­work for a mi­gra­tion po­li­cy, please.
Let eve­ryone do with and for others what he/she would like to be done for him/her.
The other is YOUR mir­ror image.
En­gage in mi­gra­tion jus­tice eve­ryw­here !
Would like to see more res­pect­ful re­cep­tion (know­ledge of the culture of others) at ins­ti­tu­tions.
Ins­tead of tur­ning away, let us try to un­ders­tand the rea­sons that drive would-be re­fu­gees to leave eve­ry­thing, their home, their fa­mi­ly, their ho­me­land, be­cause life there be­comes im­pos­sible for them.
Let’s race ! Who shows so­li­da­ri­ty best !
We should, ins­tead of fea­ring stran­gers, en­dea­vor to dis­co­ver their great­ness. We are all hu­man… Being hu­man means fa­cing the same rea­li­ty : life, death, birth, li­ving with others.
This is­sue is a po­si­tive chal­lenge from which we can learn.
As ma­ny mul­ti­cul­tu­ral en­coun­ters as pos­sible, be­cause lear­ning to know means lear­ning to ac­cept.
Help, un­ders­tand, and ac­cept people who come from el­sew­here and who are dif­ferent wi­thout pre­ju­dice and ac­cept dif­fe­rences.
Conti­nue to en­cou­rage mul­ti­cul­tu­ral en­coun­ters again and again. We should all learn from each other.
Create mo­ments of dis­cus­sion, through board games to create so­cial bonds. Why not spon­so­red ?
Let’s come to­ge­ther to find our si­mi­la­ri­ties and talk to each other, and res­pect dif­fe­rences.
Live and laugh to­ge­ther.
Let’s take the time to meet and un­ders­tand each other so we can move for­ward to­ge­ther.
Let’s look to­ge­ther for what brings us to­ge­ther.
Let’s share our culture, our tra­di­tions.
Ce­le­brate ho­li­days to­ge­ther and ex­change ex­pe­riences.
Dis­co­ver the coun­try by going on a trip to meet more Bel­gians.
Make sure you have friends who speak the lan­guage so you can com­mu­ni­cate out­side of school.
A bet­ter re­cep­tion, but al­so lear­ning Wes­tern culture and rules. More of both.
Let’s forge bonds, let’s create so­li­da­ri­ty ins­tead of ex­clu­sion, let’s create sup­port ins­tead of sub­mis­sion.
Bet­ter in­te­gra­tion and edu­ca­tion for “new” mi­grants, so that there is less so­cial in­equa­li­ty.
I pro­pose a more open and rea­so­ned re­cep­tion in Bel­gium and as­sis­tance to the coun­tries from which they leave.
I pro­pose of­fe­ring mee­ting places with new­co­mers. Of­ten it is fear that pre­vents mee­tings.
Res­pect and know your neigh­bors bet­ter.
Set up sup­port, spon­sor­ship and mee­ting net­works (one, two, us, In­ter­ra, Live in Co­lor) to en­able people to forge new bonds, as they miss the sup­port of their fa­mi­lies, and thus they can join the so­cie­ty of learn to un­ders­tand their host/hostess.
Go out and meet people.
Or­ga­nize co­oking groups. A per­son pre­sents a ty­pi­cal meal from his coun­try. Eve­ryone co­oks to­ge­ther and shares the meal. It is an op­por­tu­ni­ty for dis­cus­sion and ex­changes bet­ween people from dif­ferent back­grounds.
Create a plat­form where eve­ry fo­rei­gner can ask all ques­tions about life in Bel­gium. Be­cause it is ve­ry dif­fi­cult to deal with the va­rious or­ga­ni­za­tions each and eve­ry time.
Vo­lun­teer work.
En­cou­rage “do­na­tions” so that eve­ryone can dress and fur­nish them­selves.
That we are no lon­ger afraid of the other, but that we meet them.
Or­ga­nize cultu­ral events in the ci­ty, on squares, etc.
Get­ting to know ea­cho­ther.
The first is that we must hear them be­fore we judge them, and above all that we must give them the right to speak and ex­plain what they have to say.
I think the unk­nown is sca­ry, but once you get over your dis­com­fort, you can make it work.
May eve­ry com­mu­ni­ty join hands and may the Ni­velles Fes­ti­val at least give place to the vi­brant cultures of Ni­velles” com­mu­ni­ties. Long live in­ter­cul­tu­ra­li­ty!!
De­ve­lop com­mon culture, po­li­ti­cal know­ledge, so­li­da­ri­ty, in­ter­eth­nic and mu­tual aid across ge­ne­ra­tions. Mul­ti­cul­tu­ra­lism is the fu­ture ! En­cou­rage lis­te­ning to and sha­ring cultures and know­ledge.
May the bonds bet­ween com­mu­ni­ties be streng­the­ned.
Let’s build fe­wer walls and more bridges… For­get our com­fort, we need em­pa­thy… Put your­self in their shoes…
Let us all mo­bi­lize to­ge­ther to wel­come dis­pla­ced people, re­gard­less of the rea­sons why they had to or wan­ted to leave their homes. The Earth is ul­ti­ma­te­ly one big place and all people are its ci­ti­zens. Boun­da­ries on­ly exist in nar­row min­ded thin­king.
One can­not look away when mi­se­ry knocks at the door. The world is too small for it.
Let us de­ve­lop com­mon culture, po­li­ti­cal know­ledge, so­li­da­ri­ty and in­ter-eth­nic and mu­tual aid. Mul­ti­cul­tu­ra­lism is the fu­ture !

Equal rights for eve­ryone, for example for me­di­cal treat­ments.
I pro­pose that all chil­dren, even those who are un­do­cu­men­ted, can have so­cial in­su­rance and ac­cess to heal­th­care.
Sim­pli­fy emer­gen­cy me­di­cal care pro­ce­dures.
Ac­cess to decent hou­sing, edu­ca­tion for chil­dren and heal­th­care for all.
Re­fu­gees de­serve a decent wel­come.

Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants, ex­pan­sion of shel­ters in ILAs and re­cep­tion centres. Al­low NGOs and non-pro­fits, or­ga­ni­za­tions, churches, etc. to pro­vide their ad­dresses to un­do­cu­men­ted mi­grants so they can find shel­ter.
A roof for eve­ryone, ba­sic com­fort (food, hea­ting) for eve­ryone, edu­ca­tion for eve­ryone. Let’s stand in so­li­da­ri­ty… we all live to­ge­ther on the same pla­net !
Fi­nan­cial­ly af­for­dable hou­sing for eve­ryone !
Pro­mote so­li­da­ri­ty, the de­ve­lop­ment of (exis­ting) live in com­mu­ni­ties, in­ter­ge­ne­ra­tio­nal, mul­ti­cul­tu­ral. Long live di­ver­si­ty and hu­man in­ter­ac­tion with each other.
More help fin­ding ac­com­mo­da­tion.
Shel­ter for eve­ryone and al­so food.
Gi­ving people ac­cess to a stable and safe li­ving en­vi­ron­ment.
Re­pur­po­sing va­cant buil­dings to house the ho­me­less.
In­crease the num­ber of beds in FEDASIL cen­ters and ILAS, if ne­ces­sa­ry use out­door areas (for example : FEDASIL in Oi­gnies with a huge area to place tents).
Avai­la­bi­li­ty of an in­ter­pre­ter to bet­ter un­ders­tand pro­ce­dures (ren­ting).
Qua­li­ty care for chil­dren wi­thout fear, stress and un­cer­tain­ty about shel­ter af­ter their school day.
Af­ter the floods, ma­ny houses in Liège were left emp­ty and di­la­pi­da­ted. Let us use them, put them in or­der and of­fer them to those who need them.
No one should sleep on the street, ac­com­mo­da­tion must be crea­ted.
Eve­ryone must have a roof over their head when they ar­rive on Bel­gian soil.
Avoi­ding ghet­tos by al­lo­wing di­verse ori­gins in­to com­mu­ni­ty hou­sing.
A mu­ni­ci­pal dis­per­sal plan for mi­grants.
I pro­pose to oc­cu­py va­cant buil­dings to house them.
In­su­late so­cial hou­sing and im­prove its acous­tics. Make homes heal­thy.
Make sure land­lords are to be re­min­ded of their obli­ga­tions : de­po­sits in­to an ac­count, ren­tal contract, homes with sa­ni­ta­ry fa­ci­li­ties.
Hou­sing 3,000 people in a coun­try with 11,000,000 in­ha­bi­tants is NOT a big pro­blem.
I pro­pose that so­cial hou­sing as­so­cia­tions call on trans­la­tors (ex Uni­ver­bal) to ex­plain the rules and to be able to en­ter in­to ener­gy contracts.
I pro­pose or­ga­ni­zing in­tro­duc­to­ry mee­tings for land­lords and te­nants to get to know each other bet­ter and bet­ter un­ders­tand their concerns and needs.
There must be more so­cial hou­sing for eve­ryone.
A much more hu­mane asy­lum po­li­cy, hou­sing for all these mi­grants who end up on the street.
May all mi­grants be bet­ter re­cei­ved in our coun­try. Kee­ping them hou­sed and fed is a prio­ri­ty. I don’t want to see any more tents along the ca­nal, nor mi­grants lying in train sta­tions.
I pro­pose that we take unac­com­pa­nied mi­nors in­to fa­mi­lies.
That the Bel­gian State and the Re­gions make more shel­ters and hou­sing avai­lable to mi­grants.
Crea­ting shel­ter ac­com­mo­da­tions for the short or me­dium term.

A fair mi­gra­tion po­li­cy.
Eu­rope must take mea­sures to re­ceive mi­grants with di­gni­ty to prevent tra­ge­dies in the Me­di­ter­ra­nean.
Streng­then the fight against gen­der in­equa­li­ty to pro­tect mi­grant wo­men from abuse du­ring their flight to asy­lum.
The go­vern­ment should sup­port ci­ti­zens” in­vol­ve­ment in wel­co­ming mi­grants.
Set­ting up pa­th­ways to le­gal re­si­dence, with at­ten­tion to vul­ne­rable groups.
I would like to see clo­sed re­fu­gee cen­ters per­ma­nent­ly abo­li­shed.
End de­ten­tion and for­ced ex­pul­sion of fo­rei­gners for simple ad­mi­nis­tra­tive rea­sons.
Shel­ter for ap­pli­cants for in­ter­na­tio­nal pro­tec­tion : no ho­me­less­ness !
Abo­li­tion of the Du­blin Re­gu­la­tion and abo­li­tion of the ex­ter­na­li­za­tion of bor­ders.
Pro­vide more hu­mane and smoo­ther shel­ter for mi­grants.
Eve­ry mu­ni­ci­pa­li­ty must take its res­pon­si­bi­li­ty in the re­cep­tion of re­fu­gees and asy­lum see­kers. Done with “not in my ba­ckyard”.
Trans­fer fun­ding for clo­sed cen­ters to bet­ter fun­ding for open shel­ters.
The mo­ney we are willing to spend to send people back across the bor­der should ins­tead be used to give them a di­gni­fied home (hou­sing, edu­ca­tion, me­di­cal care, etc.).
That the Bel­gian go­vern­ment le­ga­lizes ALL “ille­gal” mi­grants.
May eve­ry per­son be trea­ted with di­gni­ty and hu­ma­ni­ty.
I wish eve­ry per­son who ar­rives in our coun­try the hope and the condi­tions ne­ces­sa­ry to start again with peace of mind.
Li­ving on the streets, de­ten­tion centres, de­por­ta­tion agree­ments with non-de­mo­cra­tic coun­tries can no lon­ger be ac­cep­ted.
Eu­rope must take mea­sures to wel­come mi­grants to prevent tra­ge­dies in the Me­di­ter­ra­nean.
More hu­ma­ni­ty in the pro­ces­sing of asy­lum ap­pli­ca­tions.
The go­vern­ment should sup­port the in­vol­ve­ment of ci­ti­zens in the re­cep­tion of mi­grants.
That mi­grants are wel­co­med in a more hu­mane way.
That they are vie­wed and wel­co­med as people.
How ma­ny va­cant buil­dings are there that could be as­si­gned to them ? That’s just about po­li­ti­cal will !
To have hu­man de­cen­cy res­pec­ted by my own coun­try, Bel­gium.
Which coun­try can claim to be a state of law and ignore the ru­lings of the Eu­ro­pean Court of Hu­man Rights ? To­day I am asha­med of my coun­try, I am asha­med of being Bel­gian.
There are laws, but lu­cki­ly there are al­so people.
If the go­vern­ment conti­nues to act ille­gal­ly, then on­ly ci­vil di­so­be­dience re­mains.
May the Bel­gian go­vern­ment (and all ci­ti­zens) be more hos­pi­table and hu­mane to­wards mi­grants.
Bel­gium and its go­vern­ment should do more jus­tice to their ci­ti­zens.
A mi­gra­tion po­li­cy must res­pect eve­ryo­ne’s hu­man rights and self-es­teem.
Let’s stop sa­ving mo­ney at the ex­pense of hu­ma­ni­ty.
Bel­gian po­li­ti­cians should fi­nal­ly do eve­ry­thing in their po­wer to pro­vide a res­pect­ful and sup­por­tive wel­come to mi­grants from all over the world.
A real ar­ri­val po­li­cy with res­pect for all laws, the Conven­tion on Hu­man Rights, the Ge­ne­va Conven­tion and ESPECIALLY for the fact that we are all people of one world.
I am sho­cked. How can you, “Po­li­ti­cians”, with our mo­ney, think you can leave more than 2,500 people on the streets ? For­tu­na­te­ly, there are SOCIETIES.
The Bel­gian go­vern­ment must res­pect the Eu­ro­pean laws on re­fu­gee asy­lum. When a go­vern­ment takes ille­gal ac­tions, ci­ti­zens right­ly start won­de­ring.
Mi­grants should no lon­ger be cri­mi­na­li­zed : mi­gra­ting is exer­ci­sing your right to per­so­nal mo­bi­li­ty.
That Bel­gian and Eu­ro­pean po­li­ti­cians or­ga­nize mi­gra­tion flows to solve the cur­rent ca­tas­tro­phic sys­tem.
That our so­cie­ty and the po­li­ti­cians who re­present it en­sure that no per­son is left be­hind, whoe­ver they are, whe­re­ver they come from, wha­te­ver their so­cial si­tua­tion.
We wish the po­li­ti­cians the cou­rage to take up their res­pon­si­bi­li­ties !
URGENTLY !!! I would like to set up a re­cep­tion in­fra­struc­ture for mi­grants in my mu­ni­ci­pa­li­ty and guide their ef­forts to­wards in­te­gra­tion in our beau­ti­ful coun­try !
Can the West stop sup­por­ting dic­ta­tor­ships in black Afri­ca ?
Po­li­ti­cians should take concrete mea­sures to re­solve conflicts and eli­mi­nate in­equa­li­ty.
Bet­ter lis­te­ning and more consul­ta­tion bet­ween po­li­ti­cians and ci­ti­zens.
Let mi­gra­tion be a real right and put an end to home vi­sits. We are all the same people from one pla­net !
The pre­ven­tive abo­li­tion of the sys­tem of home en­try. It is not by sear­ching houses that we find ter­ro­rists. It is by pro­vi­ding the ne­ces­sa­ry funds to Jus­tice that ra­di­ca­li­zed in­di­vi­duals will not be over­loo­ked.
I would like to see more mu­ni­ci­pal ac­tions that give mi­grants the wel­come they need.
Mi­gra­tion po­li­cy must pro­mote the re­set­tle­ment of mi­grants and asy­lum see­kers who al­rea­dy have fa­mi­ly on Bel­gian ter­ri­to­ry.
Can the state stop was­ting our mo­ney on fla­shy pro­jects ? We don’t need luxu­ry. Ra­ther, we de­sire the proxi­mi­ty of hap­py, ful­filled, wel­come, ac­tive and free people.
I would like a lit­tle more ef­fort from the go­vern­ment.
Eve­ry per­son on earth de­serves the same op­por­tu­ni­ties in terms of sa­fe­ty, food and health. That all people are trea­ted equal­ly as hu­man beings re­gard­less of their na­tio­na­li­ty.
Clear rules must be laid down and res­pec­ted by the Fe­de­ral State in its mi­gra­tion po­li­cy.
The go­vern­ment must res­pect the law when re­cei­ving mi­grants.
I pro­pose to main­tain the obli­ga­tions of the re­cep­tion mu­ni­ci­pa­li­ties, in­clu­ding my ci­ty, in the long term.
I would like to see the Jus­tice De­part­ment bet­ter fun­ded. It is unac­cep­table to hear that in­hu­mane si­tua­tions re­main un­re­sol­ved be­cause of the un­der­fun­ded ju­di­cial ad­mi­nis­tra­tion !
The re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants, safe and le­gal ways to mi­grate, the wel­co­ming of mi­grants in the dif­ferent mu­ni­ci­pa­li­ties, gua­ran­teeing their ac­tual rights !
May eve­ryone be able to live with di­gni­ty and sa­fe­ty, have pa­pers, in short, live to­ge­ther. For this we need a fai­rer and more hu­mane mi­gra­tion po­li­cy.
Fe­wer mi­nis­ters mean more pro­mises are kept.
Start from re­la­tion­ships bet­ween willing ci­ti­zens and make this in­to po­li­cy =) in­volve ci­ti­zen com­mit­tees and people on the ground in the re­flec­tion on re­cep­tion po­li­cy.
Re­gu­la­ri­za­tion with clear and per­ma­nent cri­te­ria, an in­de­pendent com­mit­tee.
Concrete ac­tions to pro­tect un­do­cu­men­ted people in my mu­ni­ci­pa­li­ty.
Abo­lish­ment of clo­sed centres.
Change the Du­blin pro­ce­dure.
Hu­man Rights coun­try ? Let us use our fi­nan­cial re­sources to put these beau­ti­ful words in­to ac­tion.
The UN has en­dor­sed the rights of mi­grants as a hu­man right : in this spi­rit, I pro­pose to en­cou­rage Bel­gium and the Eu­ro­pean Union to be­come part­ners in this Trea­ty and to si­gn and ra­ti­fy it.
That people from coun­tries at war au­to­ma­ti­cal­ly re­ceive pa­pers.
Can’t my mu­ni­ci­pa­li­ty have “Ci­ti­zen Cards” is­sued ?
Mu­ni­ci­pa­li­ties must re­new their plea for their hos­pi­ta­li­ty and ef­fec­ti­ve­ly com­mit to a po­li­cy of open­ness and wel­come.
Clear and per­ma­nent cri­te­ria for re­gu­la­ri­za­tion.
An in­de­pendent com­mit­tee.
The end of ca­pi­ta­lism ! Be­cause we use fo­rei­gners to lo­wer wages = bad for lo­cal wor­kers = in­crea­sing far-right voices = bree­ding ground for dic­ta­tor­ship.
Qui­ck­ly es­ta­blish re­gu­la­ri­za­tion cri­te­ria.
We, the mul­ti­na­tio­nals of the North, who de­ter­mine the prices of raw ma­te­rials, or­ga­nize the mar­kets, areas culti­va­ted ex­clu­si­ve­ly for us, ships that sail the seas, you see the re­sults on the cli­mate. But are we going to change ?
Let there be no more war in the world.
We want to put the ci­ti­zen at the cen­ter of va­rious po­li­ti­cal de­ci­sions. We must create a break our­selves and be the ar­chi­tects of the re­ne­wal.
Land of hu­man rights ? Shouldn’t we ra­ther use our fi­nan­cial re­sources in a hu­mane way to res­pect these won­der­ful va­lues ?
I pro­pose to abo­lish the Du­blin agree­ments, to oblige the Bel­gian state to res­pect In­ter­na­tio­nal Law.
Anyone who has ar­ri­ved via fa­mi­ly reu­ni­fi­ca­tion should be able to ob­tain na­tio­na­li­ty af­ter 3 years.
Res­pect hu­man di­gni­ty and fun­da­men­tal rights.
Re­ceive them, do not judge or re­ject them.
It is im­pe­ra­tive that po­li­ti­cians act and that our go­vern­ments ful­fill the Eu­ro­pean obli­ga­tions they have agreed to.
Let eve­ry po­li­ti­cian do­nate a day’s sa­la­ry to the ho­me­less.
I pro­pose to re­gu­la­rize people wi­thout re­si­dence per­mits en masse and to res­pect all our in­ter­na­tio­nal obli­ga­tions in the field of mi­gra­tion !

There must be ma­ny more places for eve­ryone who comes to Bel­gium to ap­ply for in­ter­na­tio­nal pro­tec­tion.
Crea­ting cli­mate re­fu­gee sta­tus.
Put eve­ryone on an equal foo­ting du­ring pro­ce­dures.
Hire more staff to speed up ad­mi­nis­tra­tive pro­ce­dures for ob­tai­ning pa­pers.
A re­sident per­mit that would serve as an iden­ti­ty do­cu­ment du­ring the pro­ce­dures (for example Carte Ar­dente / Liège).
We should re­ceive a fas­ter res­ponse when ap­plying for re­fu­gee sta­tus. Ha­ving to wait a few months for a res­ponse is not ac­cep­table.
I pro­pose to give na­tio­na­li­ty un­con­di­tio­nal­ly to people over 60 years of age.
Can’t the pro­ce­dure for ap­plying for re­si­dence pa­pers be shor­ter ?
Shor­ten the du­ra­tion of pro­ce­dures to re­duce fu­ture un­cer­tain­ty and the risk of pres­crip­tion.
I pro­pose to give ci­ti­zen­ship to anyone who has li­ved in the coun­try for five years and is 60 years old, with no work re­qui­re­ment.
Let’s shor­ten the ap­pli­ca­tion per­iod for these people, out of mi­ni­mal hu­man res­pect.
Bel­gium must stop all in­hu­mane and de­gra­ding treat­ment of mi­grants in our coun­try and re­co­gnize them for what they are : an en­rich­ment.

The Earth may have li­mits, but the dreams of mi­grants do not !
Love is a safe ha­ven.
I would like a world in which eve­ryone is equal and re­co­gni­zed.
Let’s start thin­king glo­bal­ly, in eve­ryo­ne’s in­ter­est. It is high time to put an end to our greed, which ex­hausts the earth and sends mil­lions of people on­to the road.
Let’s connect with each other, ins­tead of strap­ping wrists.
Eve­ryone is al­ways so­meo­ne’s stran­ger, so let us stop being afraid of them and ha­ting them.
The pla­net be­longs to eve­ryone ! Let’s be uni­ted.
May all those people who were born free and with equal rights be trea­ted with the di­gni­ty they are en­tit­led to !
I would like eve­ry ci­ti­zen of wha­te­ver ori­gin to be able to main­tain their self-es­teem by wel­co­ming them hu­ma­ne­ly.
Un­do­cu­men­ted people are not cri­mi­nals.
Eve­ryone has the right to free­dom and to live the way he or she wants.
Eve­ry per­son has the right to live in com­plete free­dom in the coun­try he or she wants.
We are all ci­ti­zens of the world.
Ap­pea­rances are de­cei­ving ! Don’t just judge by the ex­ter­nal dif­fe­rence…
All people have the right to res­pect !
Wi­thout connec­ting mul­ti­cul­tu­ra­lism the world has no fu­ture.
Abo­li­tion of bor­ders for the free mo­ve­ment of people.
Abo­lish the in­equa­li­ties that prevent so­li­da­ri­ty.
Ope­ning of the bor­ders.
We are all the same.
Let eve­ryone unite for a bet­ter fu­ture.
More peace, more to­le­rance.
Uni­ver­sal ge­ne­ro­si­ty.
No one is a stran­ger on this earth.
Eve­ry per­son de­serves hu­man treat­ment, re­gard­less of one’s back­ground or ori­gin. It is not ac­cep­table to treat fo­rei­gners bad­ly !
Let’s res­pect Hu­man Rights ! Not the other is dif­ferent, not the other is sca­ry, igno­rance is sca­ry. Get­ting to know the other per­son is the so­lu­tion.
Hos­pi­ta­li­ty is an ex­pres­sion of the great­ness of a so­cie­ty, open to the world.
Eve­ryone has the right to free­dom and to live the way he or she wants.
Shel­ter and in­te­gra­tion = short and long term be­ne­fits.
Wi­thout connec­ting mul­ti­cul­tu­ra­lism the world has no fu­ture.
Let’s create connec­tion ins­tead of iso­la­tion, let’s create so­li­da­ri­ty ins­tead of ex­clu­sion, let’s create sup­port ins­tead of sub­mis­sion.
We all come from the same tem­plate and world, re­gard­less of the co­lor of our skin.

Free­dom of mo­ve­ment for eve­ryone.
Equal op­por­tu­ni­ties for eve­ryone.
Mas­sive re­gu­la­ri­za­tion like du­ring Mi­nis­ter Wa­the­let !
Es­ta­blish cri­te­ria for the re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants.
Re­gu­la­ri­za­tion of all un­do­cu­men­ted im­mi­grants.
Give eve­ryone a re­si­dence per­mit.
Re­gu­la­ri­za­tion of un­do­cu­men­ted im­mi­grants : they live with us and work with and for us.
That the Bel­gian go­vern­ment sets up the re­cep­tion in­fra­struc­ture ne­ces­sa­ry to re­ceive im­mi­grants du­ring the re­gu­la­ri­za­tion pro­ce­dure.

Have ea­sier ac­cess to mo­bi­li­ty.
Abo­li­tion of clo­sed cen­ters.
A re­sident per­mit (Carte Ar­dente / Liège) that can serve as an iden­ti­ty do­cu­ment du­ring the pro­ce­dures.
Let’s avoid fear, pre­ju­dice and cli­chés.
Un­do­cu­men­ted people (mi­nors, men, wo­men) are not sy­no­ny­mous with DANGER. They must be re­co­gni­zed in their rights.
Give them a chance to work.
They’re no convicts, stop lo­cking them up!!!
We put on the hand­cuffs our­selves and stand in front of the plane to prevent it from ta­king off with mi­grants to take them back to their coun­try.
Be in pos­ses­sion of a re­sident per­mit (Carte Ar­dente / Liège) to have ac­cess to all mu­ni­ci­pal ser­vices.
Give un­do­cu­men­ted mi­grants ac­cess to cer­ti­fied trai­ning.
Streng­the­ning “So­li­da­ri­ty Se­cu­ri­ty” « Sé­cu so­li­daire ».
Ease up pro­ce­du­ral re­qui­re­ments for emer­gen­cy me­di­cal care (fas­ter, fe­wer in­ter­me­dia­ries) i.
In or­der for people wi­thout pa­pers to make ends meet, we must al­low them to work.

In heel Bel­gië heb­ben bur­gers van 4 tot 94 jaar po­si­tieve voors­tel­len ge­for­mu­leerd om sa­men te bou­wen aan een eer­lijk en duur­zaam on­thaal voor men­sen in bal­ling­schap in ons land.

<p>Regularisatie van men­sen zon­der pa­pie­ren : sta be­paalde or­ga­ni­sa­ties toe hun adres te ge­ven aan men­sen zon­der pa­pie­ren om of­fi­cieel werk aan te moe­di­gen in plaats van zwart­werk en om hen een on­der­ko­men te geven.<br />
Het toe­gan­ke­lijk ma­ken van werk voor men­sen zon­der pa­pie­ren voor elke jo­baan­bie­ding die geen ge­ga­digde vindt. Re­gu­la­ri­sa­tie van men­sen zon­der pa­pie­ren, fat­soen­lijke huis­ves­ting voor iedereen.<br />
Laat mi­gran­ten wer­ken in de sec­to­ren waa­rin ze gek­wa­li­fi­ceerd zijn.<br />
Ver­ge­mak­ke­lijk de ge­lijks­tel­ling van di­plo­ma’s door mid­del van een vaardigheidstest/een stage die cer­ti­fi­ce­ring mo­ge­lijk maakt, in plaats van de stu­dies he­le­maal op­nieuw te moe­ten doen.<br />
Werk voor mi­gran­ten te­gen een fat­soen­lijk loon.<br />
Men­sen hel­pen een lo­nende so­ciale sta­tus te ver­kri­j­gen (in de plaats van en­kel asielzoeker).<br />
- Ge­lijks­tel­ling van di­plo­ma’s =) ad­mi­nis­tra­tieve ve­reen­vou­di­ging van de gelijkstelling.<br />
- Toe­gang tot lan­glo­pende en pro­fes­sio­nele opleidingen.<br />
- Werk­ver­gun­ning voor ieder.<br />
Bes­chik­baa­rheid van een ver­ta­ler om een ri­j­be­wi­js te ha­len zo­dat gek­wa­li­fi­ceerde men­sen die de taal nog niet per­fect spre­ken toe­gang kun­nen kri­j­gen tot een baan die een ri­j­be­wi­js vereist.<br />
Lo­kaal ri­jo­plei­din­gen voor anal­fa­be­ten mo­ge­lijk maken.<br />
Ex­tra kin­der­dag­ver­bli­j­ven en na­schoolse op­vang. Ope­nen en slui­ten van kin­der­dag­ver­bli­j­ven die zi­jn aan­ge­past aan de wer­ku­ren (schoon­ma­ken, enz.) Mi­gran­ten heb­ben geen ge­zin­som­ge­ving die de kin­de­rop­vang kan overnemen.<br />
Wi­j­zig de Wet op de Ge­com­bi­neerde Vergunning.<br />
Ik stel een beetje meer men­se­lij­kheid voor, zo­dat alle be­hoef­tige men­sen toe­gang heb­ben tot oplei­din­gen of stu­dies om zich te kun­nen ontplooien.<br />
We zou­den snel­ler aan het werk moe­ten ge­ra­ken en de ca­pa­ci­tei­ten van mi­gran­ten la­ten er­ken­nen, want zon­der werk willen ve­rhuur­ders hen geen ver­bli­jf verhuren.<br />
Dat de di­plo­ma’s be­haald in deze lan­den er­kend wor­den en toe­gang ge­ven tot een korte oplei­ding in­clu­sief een taal­mo­dule, zo­dat ze hun ei­gen­waarde behouden.<br />
Mo­ge­lij­khe­den creë­ren om ti­j­dens het werk oplei­din­gen Frans/Nederlands te bli­j­ven vol­gen om vlot­ter te kun­nen wer­ken (cur­sus­sen ter plaatse, ge­sub­si­dieerd, niet op kos­ten van de werkgever).<br />
Be­dri­j­ven die met asiel­zoe­kers willen wer­ken hel­pen door cultu­rele be­mid­de­laars aan te bie­den om el­kaar be­ter te begrijpen.<br />
Dat deze men­sen een kans kri­j­gen in het le­ven, werk in de sa­men­le­ving, want dat is wat ze zoe­ken als ze hier aankomen.<br />
Zet een be­ge­lei­dend sys­teem op zo­dat men­sen snel­ler in een reële wer­kom­ge­ving te­recht kun­nen en hun ei­gen­waarde en zelf­ver­trou­wen kun­nen herwinnen.<br />
We moe­ten ook alle werk­ne­mers zon­der pa­pie­ren re­gu­la­ri­se­ren en vluch­te­lin­gen toes­taan te wer­ken wan­neer hun vaar­di­ghe­den vol­doen aan de vraag naar werk­ge­le­gen­heid ; te­gen het­zelfde loon als een Belg.<br />
Geef ar­beid­smi­gran­ten een sta­biele verblijfsvergunning.</p>

Meer bus­li­j­nen op het plat­te­land voor meer mo­bi­li­teit naar werk­ge­le­gen­heid. B Ge­mak­ke­lij­ker toe­gang tot een ri­j­be­wi­js (met ver­ta­ler) om toe­gang te kri­j­gen tot be­paalde jobs.
Een bu­sa­bon­ne­ment bes­chik­baar stel­len voor men­sen zon­der pa­pie­ren.

Laat er een concrete golf van so­li­da­ri­teit ko­men, een ont­moe­ting­splaats voor ie­de­reen + toe­gang tot voe­ding…
Een soort ‘Res­tos du coeur’ voor dak­loze mi­gran­ten. Mins­tens on­der­dak. De ove­rheid moet mi­gran­ten ver­wel­ko­men.
Dat mi­jn ge­meente mag mee­doen met het in sep­tem­ber 2022 voor­ges­telde plan van het CIRE ! voor een (eer­lijke) sprei­ding per ge­meente.
Ver­be­ter de toe­gang tot rechts­bi­js­tand en tol­ken voor bal­lin­gen.
Min­der ge­weld te­gen hen, be­tere toe­gang tot cen­tra voor niet be­ge­leide min­der­ja­ri­gen.
La­ten we kin­de­ren en ado­les­cen­ten ver­wel­ko­men die een be­ter le­ven willen.
Ver­be­te­ring van de hy­giëne in vluch­te­lin­gen­kam­pen.
Zet de be­lan­gen van kin­de­ren cen­traal in het op­vang­be­leid en de op­vang­prak­tijk, zo­dat kin­de­ren in op­vang­cen­tra op de eerste plaats kind kun­nen zi­jn.
Maak de bui­ten­we­reld toe­gan­ke­lijk, zo­dat kin­de­ren niet al­leen in het op­vang­cen­trum wo­nen. B Or­ga­ni­seer een ste­vig net­werk rond op­vang­cen­tra ; nau­were ban­den met on­der­wi­js, vrije ti­jd en be­tere toe­gang tot (gees­te­lijke) ge­zond­heid­szorg.
In­fra­struc­tuur ges­chikt voor kin­de­ren en ge­zin­nen in de op­vang­cen­tra : vol­doende grote ka­mers, mo­ge­lij­kheid om zelf te ko­ken, vei­lige sa­ni­taire voor­zie­nin­gen op de ka­mer, bin­nen- en bui­ten­ruimtes ges­chikt voor kin­de­ren per leef­ti­jd, com­pu­ters en wi­fi voor huis­werk.
In elke stad één en­kel tran­sit­cen­trum met ge­richte en ge­coör­di­neerde wer­king in func­tie van de beoogde hulp­doel­stel­ling. Met tol­ken na­tuur­lijk ! Contact met bur­gers voor goed af­ge­li­jnde en niet te in­tense ac­ti­vi­tei­ten om niet te ont­moe­di­gen.
Meer ju­ri­disch ad­vies en ver­dui­de­lij­king voor bui­ten­lan­ders.
Meer cen­tra voor mi­gran­ten. Meer sub­si­dies voor de ve­re­ni­gin­gen die er­mee sa­men­wer­ken. Laat ie­de­reen zi­jn steentje bi­j­dra­gen, laat ze wel­kom zi­jn, in het land dat ze ver­kie­zen. Weet dat de po­li­tie je ook steunt.
Tal­rij­kere ac­ties met ve­re­ni­gin­gen.
Dat ges­chikte op­vang­cen­tra goed be­reik­baar zi­jn.
Meer men­se­lij­kheid in de we­reld ! Het is schan­de­lijk je te ver­schui­len ach­ter po­li­tieke of fi­nan­ciële over­we­gin­gen… Er moet men­se­lijk op­ge­tre­den wor­den. We heb­ben de plicht om men­sen in nood te hel­pen.
In alle ge­meen­ten voor­zien in noo­dop­vang om te voor­ko­men dat mi­gran­ten (ook in de zo­mer) op straat te­recht­ko­men.

Hulp/ondersteuning bij ver­ta­ling, het vin­den van een baan, zelfs bij vol­le­dige taa­lon­kunde.
Het bie­den van toe­gang tot ho­ger on­der­wi­js aan men­sen zon­der pa­pie­ren.
Be­tere op­vang en on­ders­teu­ning voor vluch­te­ling-leer­lin­gen die aan­ko­men in het Bel­gische on­der­wi­js­sys­teem !
Er zi­jn niet ge­noeg scho­len om de taal te le­ren in dor­pen en bui­ten =) ve­rhoog het aan­tal oplei­ding­scen­tra.
Taal­les­sen moe­ten gra­tis zi­jn.
Er moe­ten meer ge­le­gen­he­den zi­jn voor taal­les­sen, om­dat we lang moe­ten wach­ten om te kun­nen star­ten.
Het aan­bod van VDAB moet in meer­dere ta­len bes­chik­baar zi­jn om snel een baan te vin­den.
Alle hulp­be­hoe­ven­den uit een an­der land moe­ten toe­gang heb­ben tot een ge­cer­ti­fieerde oplei­ding om ver­vol­gens te kun­nen wer­ken en zel­fred­zaam te wor­den.
Laat vluch­te­lin­gen een oplei­ding vol­gen, laat ze in Bel­gië wer­ken en laat ze ver­vol­gens te­rug­ke­ren naar hun land zo­dra er vrede is.
Aan­bie­den van er­kende leer­krach­ten En­gels om el­kaar be­ter kun­nen be­gri­j­pen.
Ik stel voor dat alle kin­de­ren aan alle ac­ti­vi­tei­ten op school kun­nen deel­ne­men, in­clu­sief school­reisjes.
Ik stel voor dat we na aan­kom­st in Bel­gië snel­ler naar school kun­nen gaan.
Ik stel voor dat we cur­sus­sen ge­ven over de Bel­gische cultuur om deze be­ter te be­gri­j­pen.
Het ont­wik­ke­len van so­ciale en pro­fes­sio­nele in­te­gra­tie­pro­gram­ma’s voor mi­gran­ten.

De or­ga­ni­sa­tie van bi­jeen­kom­sten over het mi­gra­tie­vraag­stuk fa­ci­li­te­ren, in­for­ma­tie vlot toe­gan­ke­lijk ma­ken.
De ve­rha­len en moei­lij­khe­den van jon­ge­ren die door Bel­gië op straat zi­jn ge­la­ten, in stri­jd met hun rech­ten, moet be­kend ge­maakt wor­den !
Ge­meen­ten be­ter in­for­me­ren zo­dat ze men­sen die ged­won­gen zi­jn hun land in oor­log, of on­der­wor­pen aan een dic­ta­tuur, te ontv­luch­ten waar­dig kun­nen op­van­gen.
Als bur­ger stel ik voor om de ins­troom van mi­gran­ten te de­dra­ma­ti­se­ren. In 2022 wa­ren dat er 36.500. Verre van de 46.000 in 2015 ! We moe­ten men­sen cor­rect in­for­me­ren.
Als bur­ger stel ik voor tus­sen te ko­men bij in­wo­ners en au­to­ri­tei­ten in lan­den van her­kom­st om ri­si­co­volle mi­gra­tie te voor­ko­men.
In­for­meer de lan­den van her­kom­st over de le­ven­som­stan­di­ghe­den in Bel­gië.
Laat de (RTBF) VRT bi­j­voor­beeld één keer per week tien mi­nu­ten ge­tui­ge­nis­sen aan­bie­den van een mi­grant in de sti­jl van ‘Le pe­tit Ber­ger’ van Adam of de reis van een ge­ra­cia­li­seerde vrouw.
Laat de me­dia en po­li­ti­ci stop­pen met het ste­reo­ty­pe­ren van mi­gran­ten. Ze bie­den op­por­tu­ni­tei­ten en geen ge­vaar voor het gast­land.
Ver­geet niet dat asiel­zoe­kers geen pro­fi­teurs zi­jn, maar men­sen die in le­vens­ge­vaar ver­ke­ren of die het slach­tof­fer zi­jn van mi­shan­de­ling. Het is onaan­vaard­baar om hen niet op de juiste ma­nier te ver­wel­ko­men in ove­reens­tem­ming met de wet.
Bes­chul­dig mi­gran­ten niet va­nuit on­we­tend­heid.
Echt on­der­zoeks­werk over de be­han­de­ling van mi­gran­ten in cen­tra in Bel­gië en in­ter­na­tio­naal.
La­ten we ver­war­ring ver­mi­j­den : een asiel­zoe­ker of een mi­grant is in we­zen geen ter­ro­rist. Bi­j­na alle mi­gran­ten willen in vrede le­ven en deel­ne­men aan de sa­men­le­ving.
Ver­geet niet dat ie­de­reen de zoon of klein­zoon van im­mi­gran­ten is…
Dat we­ten­schap­pe­lijke en so­cio­lo­gische stu­dies die de po­si­tieve bi­j­dra­gen van mi­gra­tie aan­to­nen, op grote schaal in de pers wor­den vers­preid.
De vers­prei­ding van ci­j­fers die blij­ken uit ver­schil­lende on­der­zoe­ken kun­nen ons be­wust ma­ken van de echte wer­ke­lij­kheid van mi­gra­tie.

Breng eens een dag in hun plaats door. Laat ze vrij zi­jn, het zi­jn men­sen zoals wij. Be­leef eens hun le­ven.
Ik stel voor dat we ra­cisme en dis­cri­mi­na­tie va­naf jonge leef­ti­jd krach­tig bes­tri­j­den door op alle scho­len mo­men­ten van be­wust­zi­jn, re­flec­tie en ac­tie te creë­ren.
En wat als jij het was ? Zij heb­ben recht op een nor­maal le­ven. Een net­werk voor een mi­gra­tie­be­leid graag.
Laat ie­de­reen met en voor an­de­ren doen wat hij/zij graag zou willen dat er voor hem/haar ge­daan zou wor­den.
De an­dere is JOUW spie­gel­beeld.
Zet je ove­ral in voor mi­gra­tie­recht­vaar­di­gheid !
Graag be­wus­ter zi­jn van res­pect­volle ont­vang­st (ken­nis van de cultuur van an­de­ren) bij ins­tel­lin­gen.
In plaats van ons in ons­zelf te ke­ren, laat ons po­gen te de re­de­nen te be­gri­j­pen die kan­di­daat-vluch­te­lin­gen er­toe bren­gen alles, hun huis, hun fa­mi­lie, hun va­der­land te ver­la­ten, om­dat het le­ven er voor hen on­mo­ge­lijk wordt.
Een wed­stri­jdje ! Om het meeste so­li­da­ri­teit.
We ho­ren, in plaats van vreem­de­lin­gen te vre­zen, te po­gen hun rijk­dom te ont­dek­ken. We zi­jn al­le­maal men­sen… Mens zi­jn be­tekent ge­con­fron­teerd wor­den met de­zelfde rea­li­teit : le­ven, dood, ge­boorte, le­ven met an­de­ren.
Dit vraag­stuk is een po­si­tieve uit­da­ging waar­van we kun­nen le­ren.
Zo­veel mo­ge­lijk mul­ti­cul­tu­rele ont­moe­tin­gen, want le­ren ken­nen is le­ren ac­cep­te­ren.
Help, be­gri­jp, en aan­vaard on­be­voo­roor­deeld men­sen die van el­ders ko­men, die an­ders zi­jn en ac­cep­teer ver­schil­len.
Mul­ti­cul­tu­rele ont­moe­tin­gen keer op keer bli­j­ven sti­mu­le­ren. We ho­ren al­le­maal van el­kaar te le­ren.
Laat mo­men­ten van dia­loog onts­taan, door bord­spel­len om so­ciale ban­den te creë­ren. Waa­rom niet ges­pon­sord ?
La­ten we sa­men­ko­men om onze ge­lij­ke­nis­sen te vin­den en met el­kaar te pra­ten, en ver­schil­len te res­pec­te­ren.
Leef en lach sa­men.
La­ten we de ti­jd ne­men om el­kaar te ont­moe­ten en te be­gri­j­pen, zo­dat we sa­men ver­der kun­nen gaan.
La­ten we sa­men op zoek gaan naar wat ons sa­men­brengt.
La­ten we onze cultuur, onze tra­di­ties de­len.
Sa­men va­kan­tie vie­ren en er­va­rin­gen uit­wis­se­len.
Ont­dek het land door op uits­tap te gaan om meer Bel­gen te ont­moe­ten.
Zorg dat je vrien­den hebt die de taal spre­ken, zo­dat je ook bui­ten school kunt com­mu­ni­ce­ren.
Een be­tere ont­vang­st, maar ook het le­ren van de wes­terse cultuur en re­gels. Meer van beide.
La­ten we ban­den sme­den, la­ten we so­li­da­ri­teit creë­ren in plaats van uits­lui­ting, la­ten we steun creë­ren in plaats van on­der­wer­ping.
Be­tere in­te­gra­tie en on­der­wi­js voor ‘nieuwe’ mi­gran­ten, zo­dat er min­der so­ciale on­ge­lij­kheid is.
Ik stel een meer open en meer be­re­de­neerde ont­vang­st in Bel­gië voor en hulp aan de lan­den waa­ruit zij ver­trek­ken.
Ik stel voor ont­moe­ting­splek­ken aan te bie­den met nieuw­ko­mers. Vaak is het ang­st die ont­moe­tin­gen ve­rhin­derd.
Res­pec­teer en ken uw bu­ren be­ter.
Zet ondersteunings‑, spon­sor- en ont­moe­ting­snet­wer­ken op om men­sen in staat te stel­len nieuwe ban­den te sme­den, aan­ge­zien ze de steun van hun fa­mi­lie moe­ten mis­sen, en zo kun­nen ze de maat­schap­pij van hun gastheer/vrouw le­ren be­gri­j­pen.
Ga erop uit en ont­moet men­sen.
Kook­groe­pen or­ga­ni­se­ren. Een per­soon pre­sen­teert een ty­pische maal­ti­jd uit zi­jn land. Ie­de­reen kookt sa­men en deelt de maal­ti­jd. Het is een ge­le­gen­heid voor dis­cus­sie en uit­wis­se­lin­gen tus­sen men­sen met ver­schil­lende ach­ter­gron­den.
Creëer een plat­form waar elke vreem­de­ling alle vra­gen over het le­ven in Bel­gië kan stel­len. Om­dat het erg las­tig is om bij de di­verse or­ga­ni­sa­ties tel­kens af­spra­ken te ma­ken.
Vri­j­willi­gers­werk.
Moe­dig ‘do­na­ties’ aan, zo­dat ie­de­reen zich kan kle­den en be­meu­be­len.
Dat we niet lan­ger bang zi­jn voor de an­der, maar dat we ze ont­moe­ten.
Cultu­rele eve­ne­men­ten or­ga­ni­se­ren in de stad, op plei­nen, enz.
El­kaar le­ren ken­nen.
Het eerste is dat we ze moe­ten ho­ren voor­dat we ze beoor­de­len, en voo­ral dat we ze het recht moe­ten ge­ven om te spre­ken en uit te leg­gen wat ze te zeg­gen heb­ben.
Ik denk dat het on­be­kende eng is, maar als je een­maal over je on­be­ha­gen heen bent, lukt het wel.
Moge elke ge­meen­schap de han­den in­eens­laan en moge het fes­ti­val van Ni­j­vel op zi­jn minst plaats ge­ven aan de le­ven­dige cultu­ren van de ge­meen­schap­pen die Ni­j­vel rijk is. Lang leve in­ter­cul­tu­reel !!
Ont­wik­kel al­ge­mene cultuur, po­li­tieke ken­nis, so­li­da­ri­teit, in­ter­et­nische en we­der­zi­jdse hulp over ge­ne­ra­ties heen. Mul­ti­cul­tu­ra­li­teit is de toe­kom­st ! Ont­wik­kel het luis­te­ren naar en de­len van cultu­ren en ken­nis. Mo­gen de ban­den tus­sen ge­meen­schap­pen wor­den vers­terkt.
La­ten we min­der mu­ren en meer brug­gen bou­wen… Ver­geet ons ge­mak, we heb­ben em­pa­thie no­dig… Plas je­zelf eens in hun schoe­nen… en wie het schoentje past, trekke het aan…
Laat ons al­le­maal sa­men mo­bi­li­se­ren om on­theem­den te ver­wel­ko­men, on­geacht de re­de­nen waa­rom ze hun thuis moes­ten of wil­den ver­la­ten. De aarde is ui­tein­de­lijk één groot land en alle men­sen zi­jn haar bur­gers. Gren­zen bes­taan al­leen in enge gees­ten.
Een mens kan niet weg­kij­ken als mi­se­rie aan de deur klopt. De we­reld is er te klein voor.
La­ten we de al­ge­mene cultuur, po­li­tieke ken­nis, so­li­da­ri­teit en in­ter­et­nische en we­der­zi­jdse hulp ont­wik­ke­len. Mul­ti­cul­tu­ra­li­teit is de toe­kom­st !

Ge­lijke rech­ten voor ie­de­reen, bi­j­voor­beeld voor me­dische be­han­de­lin­gen.
Ik stel voor dat alle kin­de­ren, ook die geen pa­pie­ren heb­ben, een so­ciale ver­ze­ke­ring kun­nen heb­ben en toe­gang kun­nen kri­j­gen tot ge­zond­heid­szorg.
Ve­reen­vou­dig de pro­ce­dures voor drin­gende me­dische hulp.
Toe­gang tot fat­soen­lijke huis­ves­ting, on­der­wi­js voor kin­de­ren en ge­zond­heid­szorg voor ie­de­reen.
Vluch­te­lin­gen ver­die­nen een fat­soen­lijke ont­vang­st.

Re­gu­la­ri­se­ring van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, uit­brei­ding van op­vang­plaat­sen in ILA’s en op­vang­cen­tra. Sta NGO’s en non-pro­fi­tor­ga­ni­sa­ties, or­ga­ni­sa­ties, ker­ken, enz. toe om hun adres door te ge­ven aan mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, zo­dat zij on­dr­dak kun­nen vin­den.
Een dak voor ie­de­reen, ba­sis­com­fort (voed­sel, ver­war­ming) voor ie­de­reen, on­der­wi­js voor ie­de­reen. La­ten we so­li­dair zi­jn… we le­ven al­le­maal sa­men op de­zelfde pla­neet !
Fi­nan­cieel haal­baar wo­nen voor ie­de­reen !
Be­vor­der so­li­da­ri­teit, de ont­wik­ke­ling van (bes­taande) ge­meen­schaps­wo­nen, in­ter­ge­ne­ra­tio­neel, mul­ti­cul­tu­reel. Lang leve di­ver­si­teit en men­se­lijke om­gang met el­kaar.
Meer hulp bij het vin­den van ac­com­mo­da­tie.
On­der­dak voor ie­de­reen en ook voe­ding.
Men­sen toe­gang ge­ven tot een sta­biele en vei­lige lee­fom­ge­ving.
Leeg­staande ge­bou­wen her­ge­brui­ken om dak­lo­zen te huis­ves­ten.
Ve­rhoog het aan­tal bed­den in FE­DA­SIL-cen­tra en ILAS, in­dien no­dig ge­bruik in bui­ten­ruimtes (bi­j­voor­beeld : FEDASIL in Oi­gnies met een en­orm ter­rein om ten­ten te plaat­sen).
Bes­chik­baa­rheid van een tolk om pro­ce­dures be­ter te be­gri­j­pen (huur).
Kwa­li­ta­tieve op­vang voor kin­de­ren zon­der ang­st, stress en on­ze­ke­rheid over on­der­dak na hun school­dag.
Na de overs­tro­min­gen zi­jn veel hui­zen in Luik ach­ter­la­ten : leeg en ver­val­len. La­ten we ze ge­brui­ken, in orde bren­gen en aan­bie­den aan wie ze no­dig heeft.
Nie­mand mag op straat sla­pen, er moet ac­com­mo­da­tie ge­creëerd wor­den.
Ie­de­reen moet een dak bo­ven zi­jn hoofd heb­ben als hij op Bel­gisch grond­ge­bied aan­komt.
Getto’s ver­mi­j­den door di­verse her­kom­sten in ge­meen­schap­shuis­ves­ting toe te la­ten.
Een ge­meen­te­lijk sprei­ding­splan voor mi­gran­ten.
Ik stel voor om leeg­staande ge­bou­wen te be­zet­ten om ze te huis­ves­ten.
So­ciale wo­nin­gen iso­le­ren en akoes­tisch ver­be­te­ren. Wo­nin­gen ge­zond ma­ken.
Mo­ge­lijk ma­ken om ve­rhuur­ders op hun plich­ten te wi­j­zen : stor­tin­gen op een re­ke­ning, huur­con­tract, wo­ni­gen met sa­ni­taire voor­zie­nin­gen.
Het huis­ves­ten van 3000 men­sen in een land met 11.000.000 in­wo­ners is GEEN groot pro­bleem.
Ik stel voor dat so­ciale wo­ning­ve­re­ni­gin­gen een be­roep doen op ver­ta­lers (ex Uni­ver­bal) om de re­gels uit te leg­gen en om ener­gie­con­trac­ten te kun­nen aan­gaan.
Ik stel voor ken­nis­ma­king­smo­men­ten te or­ga­ni­se­ren voor ve­rhuur­ders en huur­ders om el­kaar be­ter te le­ren ken­nen en hun be­zorgd­he­den en no­den be­ter te be­gri­j­pen.
Er moe­ten meer so­ciale wo­nin­gen ko­men voor ie­de­reen.
Een veel men­se­lij­ker asiel­be­leid, huis­ves­ting voor al deze mi­gran­ten die op straat ko­men te staan.
Moge alle mi­gran­ten be­ter wor­den ont­van­gen in ons land. Dat ze ge­huis­vest en ge­voed wor­den, is een prio­ri­teit. Ik wil geen ten­ten meer zien langs het ka­naal, noch mi­gran­ten die in treins­ta­tions lig­gen.
Ik stel voor dat we niet-be­ge­leide min­der­ja­ri­gen in ge­zin­nen op­ne­men.
Dat de Bel­gische Staat en de Ge­wes­ten meer op­vang­cen­tra en wo­nin­gen ter bes­chik­king stel­len van mi­gran­ten.
Het creë­ren van op­van­gac­com­mo­da­ties voor korte of mid­del­lange ter­mi­jn.

Een eer­lijk mi­gra­tie­be­leid.
Eu­ro­pa di­ent maa­tre­ge­len te ne­men voor een waar­dige op­vang van mi­gran­ten om tra­ge­dies in het Mid­del­landse Zee­ge­bied te voor­ko­men.
De stri­jd te­gen gen­de­ron­ge­lij­kheid vers­ter­ken, om mi­grantes te­gen mis­bruik te bes­cher­men ti­j­dens hun vlucht naar asiel.
De ove­rheid di­ent de be­trok­ken­heid van bur­gers bij het ver­wel­ko­men van mi­gran­ten te on­ders­teu­nen.
Pistes op­zet­ten naar le­gaal ver­bli­jf, met aan­dacht voor kwets­bare groe­pen.
Ik wil graag dat de woonst­be­tre­din­gen de­fi­ni­tief wor­den af­ges­chaft.
De­ten­tie en ged­won­gen uit­zet­ting van bui­ten­lan­ders om een­vou­dige ad­mi­nis­tra­tieve re­de­nen beëin­di­gen.
Op­vang voor aan­vra­gers om in­ter­na­tio­nale bes­cher­ming : geen dak­loo­sheid !
Af­schaf­fing van de Du­blin­ve­ror­de­ning en af­schaf­fing van de ex­ter­na­li­se­ring van de gren­zen.
Men­se­lij­kere en vlot­tere op­vang voor­zien voor mi­gran­ten.
Elke ge­meente di­ent haar ve­rant­woor­de­lij­kheid te ne­men in de op­vang van vluch­te­lin­gen en asiel­zoe­kers. Ge­daan met het ‘niet bij mij’.
De fi­nan­cie­ring voor ges­lo­ten cen­tra ove­rhe­ve­len naar be­tere fi­nan­cie­ring voor open op­vang.
Het geld dat we be­reid zi­jn uit te ge­ven om men­sen te­rug over de grens te zet­ten, in plaats daar­van ge­brui­ken om hen een waar­dige thuis te ge­ven (huis­ves­ting, oplei­ding, me­dische hulp, enz.).
Dat de Bel­gische ove­rheid ALLE ‘ille­gale’ mi­gran­ten le­ga­li­seert.
Moge ie­der mens met waar­di­gheid en men­se­lij­kheid wor­den be­han­deld.
Ik wens elke per­soon die in ons land aan­komt de hoop en de om­stan­di­ghe­den toe die no­dig zi­jn om in alle ge­moed­srust op­nieuw te star­ten.
Op straat le­ven, ges­lo­ten cen­tra, uit­wi­j­zing­so­ve­reen­kom­sten met niet-de­mo­cra­tische lan­den kun­nen niet lan­ger wor­den aan­vaard.
Eu­ro­pa moet maa­tre­ge­len ne­men om mi­gran­ten te ver­wel­ko­men om tra­ge­dies in de Mid­del­landse Zee te voor­ko­men.
Meer men­se­lij­kheid in de be­han­de­ling van asie­laan­vra­gen.
De ove­rheid di­ent de be­trok­ken­heid van bur­gers bij de op­vang van mi­gran­ten te on­ders­teu­nen.
Dat mi­gran­ten met meer men­se­lij­kheid wor­den ver­wel­komd.
Dat zij als men­sen wor­den be­ke­ken en ver­wel­komd.
Hoe­veel leeg­staande ge­bou­wen zi­jn er niet die aan hen kun­nen wor­den toe­ge­kend ? Dat gaat en­kel om po­li­tieke wil !
Men­se­lijk res­pect la­ten na­le­ven door mi­jn ei­gen land, Bel­gië.
Welk land kan be­we­ren een rechtss­taat te zi­jn en de uits­pra­ken van het Eu­ro­pees Hof voor de Rech­ten van de Mens met de voe­ten ve­gen ? Van­daag schaam ik mij voor mi­jn land, ik schaam mij er­voor Belg te zi­jn.
Er bes­taan wel wet­ten maar ge­luk­kig ook voo­ral men­sen.
Als de ove­rheid bui­ten­wet­te­lijk bli­jft han­de­len, dan rest en­kel nog bur­ger­lijke on­ge­hoor­zaam­heid.
Moge de Bel­gische re­ge­ring (en alle bur­gers) gast­vri­jer en men­se­lij­ker zi­jn te­ge­no­ver mi­gran­ten.
Bel­gië en zi­jn re­ge­ring ho­ren hun bur­gers meer eer aan te doen.
Een mi­gra­tie­be­leid moet ie­ders men­sen­rech­ten en ei­gen­waarde res­pec­te­ren.
La­ten we stop­pen met het bes­pa­ren van geld ten koste van de men­sheid.
Dat jul­lie, Bel­gische po­li­ti­ci, nu ein­de­lijk alles den wat in jul­lie macht ligt om een res­pect­volle en so­li­daire op­vang te bie­den aan mi­gran­ten van over de hele we­reld.
Een echt op­vang­be­leid met res­pect voor alle wet­ten, het Ver­drag voor de Rech­ten van de Mens, het Ver­drag van Ge­nève en VOORAL voor het feit dat we al­le­maal men­sen zi­jn van één we­reld.
Ik ben ges­chokt. Waar ha­len jul­lie het, “Po­li­ti­ci”, met ons geld, te mo­gen ve­ron­ders­tel­len meer dan 2.500 men­sen op straat te kun­nen ach­ter­la­ten. Ge­luk­kig zi­jn er VERENIGINGEN.
De Bel­gische re­ge­ring moet de Eu­ro­pese “de­cre­ten” in­zake mi­gran­te­na­siel res­pec­te­ren. Wan­neer een ove­rheid ille­gale ac­ties on­der­neemt, gaan bur­gers zich te­recht vra­gen stel­len.
Mi­gran­ten mo­gen niet lan­ger ge­cri­mi­na­li­seerd wor­den : mi­gre­ren is het ui­toe­fe­nen van je recht op per­soon­lijke mo­bi­li­teit.
Dat Bel­gische en Eu­ro­pese po­li­ti­ci de mi­gra­ties­tro­men or­ga­ni­se­ren om het hui­dige ca­tas­tro­fale sys­teem op te los­sen.
Dat onze sa­men­le­ving en de po­li­ti­ci die haar ver­te­gen­woor­di­gen er zorg voor dra­gen dat geen mens ach­ter­bli­jft, wie het ook is, waar ze ook van­daan ko­men, wat hun so­ciale si­tua­tie ook is.
Aan de po­li­ti­ci de moed toe­ge­wenst hun ve­rant­woor­de­lij­khe­den op te ne­men !
DRINGEND !!! Graag in mi­jn ge­meente een op­van­gin­fra­struc­tuur voor mi­gran­ten op­zet­ten en hun ins­pan­nin­gen naar in­ter­gra­tie in ons prach­tige land be­ge­lei­den !
Kan het Wes­ten eens stop­pen met het steu­nen van dic­ta­tu­ren in zwart Afri­ka ?
Po­li­ti­ci ho­ren concrete maa­tre­ge­len te ne­men om conflic­ten op te los­sen en on­ge­lij­kheid weg te ne­men.
Be­ter luis­te­ren en meer over­leg tus­sen po­li­ti­ci en bur­gers.
Laat mi­gra­tie een wer­ke­lijk recht zi­jn en maak een einde aan de huis­be­zoe­ken. We zi­jn al­le­maal de­zelfde men­sen van één pla­neet !
Het pre­ven­tief af­schaf­fen van het sys­teem van woonst­be­tre­din­gen. Het is niet door hui­zen te door­zoe­ken dat we ter­ro­ris­ten vin­den. Het is door Jus­ti­tie de no­dige fond­sen te ver­schaf­fen, dat ge­ra­di­ca­li­seerde in­di­vi­duen niet over het hoofd zul­len wor­den ge­zien.
Ik zou graag meer ge­meen­te­lijke ac­ties zien die mi­gran­ten het wel­kom he­ten dat ze no­dig heb­ben.
Het mi­gra­tie­be­leid moet de her­ves­ti­ging van mi­gran­ten en asiel­zoe­kers be­vor­de­ren die reeds fa­mi­lie op het Bel­gisch grond­ge­bied heb­ben.
Kan de staat eens ophou­den met het vers­pillen van ons geld aan flit­sende pro­jec­ten ? Wij heb­ben geen nood aan luxe. We wen­sen eer­der de na­bi­j­heid van blije, vol­dane, wel­kome, ac­tieve en vrije men­sen.
Graag iets meer ins­pan­ning van de ove­rheid.
Elke mens op aarde ver­dient de­zelfde kan­sen qua vei­li­gheid, voed­sel en ge­zond­heid. Dat alle men­sen ge­lijk wor­den be­han­deld als men­sen los van hun na­tio­na­li­teit.
Er moe­ten dui­de­lijke re­gels wor­den vast­ge­legd en ge­res­pec­teerd door de Fe­de­rale Staat in haar mi­gra­tie­be­leid.
De ove­rheid moet de wet res­pec­te­ren bij de op­vang van mi­gran­ten.
Ik stel voor de ver­plich­tin­gen van de op­vang­ge­meen­ten, ook van mi­jn stad, op de lange ter­mi­jn te hand­ha­ven.
Ik zou graag zien dat Jus­ti­tie be­ter wordt ge­fi­nan­cierd. Het is onaan­vaard­baar te moe­ten ho­ren dat on­men­se­lijke si­tua­ties onop­ge­lost bli­j­ven van­wege de on­der­ge­fi­nan­cierde rech­ter­lijke ad­mi­nis­tra­tie !
De re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren, vei­lige en le­gale ma­nie­ren om te mi­gre­ren, de op­vang van mi­gran­ten in de ver­schil­lende ge­meen­ten, het waar­bor­gen van hun fei­te­lijke rech­ten !
Moge ie­de­reen waar­dig en vei­lig kun­nen le­ven, pa­pie­ren heb­ben, kor­tom sa­men­le­ven. Hier­voor heb­ben we een eer­lij­ker en men­se­lij­ker mi­gra­tie­be­leid no­dig.
Min­der mi­nis­ters, dan wor­den meer be­lof­ten na­ge­ko­men.
Ver­trek va­nuit re­la­ties tus­sen wel­willende bur­gers en maak daar het be­leid van =) be­trek bur­ger­co­mi­tés, en men­sen op het ter­rein in de re­flec­tie over het op­vang­be­leid.
Re­gu­la­ri­se­ren met dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria, een onaf­han­ke­lijke com­mis­sie.
Concrete ac­ties om men­sen zon­der pa­pie­ren in mi­jn ge­meente te bes­cher­men.
Slui­ting van ges­lo­ten cen­tra.
Wi­j­zig de Du­blin­pro­ce­dure.
Land van de men­sen­rech­ten ? La­ten we onze fi­nan­ciële mid­de­len ge­brui­ken om deze mooie woor­den in da­den om te zet­ten.
De VN heeft de rech­ten van mi­gran­ten goed­ge­keurd als een men­sen­recht : in deze geest stel ik voor om Bel­gië en de Eu­ro­pese Unie aan te moe­di­gen part­ners te wor­den in dit Ver­drag en het te on­der­te­ke­nen en te ra­ti­fi­ce­ren.
Dat men­sen uit lan­den in oor­log au­to­ma­tisch pa­pie­ren kri­j­gen.
Kan mi­jn ge­meente geen “Bur­ger­kaar­ten” la­ten uit­ge­ven ?
Ge­meen­ten moe­ten hun plei­dooi voor hun gast­vri­j­heid her­nieu­wen en zich ef­fec­tief in­zet­ten voor een be­leid van open­heid en ver­wel­ko­ming.
Dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria voor re­gu­la­ri­sa­tie.
Een onaf­han­ke­lijke com­mis­sie.
Het einde van het ka­pi­ta­lisme ! Om­dat we bui­ten­lan­ders ge­brui­ken om de lo­nen te ver­la­gen = slecht voor de lo­kale werk­ne­mers = waar­door ex­treem­rechtse stem­men toe­ne­men = voe­ding­sbo­dem voor dic­ta­tuur.
Snel re­gu­la­ri­sa­tie­cri­te­ria vasts­tel­len.
Wij, de mul­ti­na­tio­nals van het Noor­den, die de grond­stof­pri­j­zen be­pa­len, de mark­ten or­ga­ni­se­ren, area­len die ex­clu­sief voor ons wor­den ver­bouwd, sche­pen die over de zeeën va­ren, je ziet de re­sul­ta­ten er­van op het kli­maat. Maar gaan we wel ve­ran­de­ren ?
Laat er geen oor­log meer zi­jn in de we­reld.
Graag de bur­ger cen­traal in di­verse po­li­tieke bes­lis­sin­gen. Wij moe­ten zelf voor een breuk zor­gen en de ar­chi­tec­ten van de ver­nieu­wing zi­jn.
Land van de men­sen­rech­ten ? Moe­ten we dan niet eer­der onze fi­nan­ciële mid­de­len op een men­se­lijke ma­nier in­zet­ten om deze prach­tige waar­den te res­pec­te­ren.
Ik stel voor om de Du­blin-ak­koor­den af te schaf­fen, om de Bel­gische staat te ver­plich­ten het In­ter­na­tio­naal Recht te res­pec­te­ren.
Ie­de­reen die via ge­zin­she­re­ni­ging is aan­ge­ko­men, moet, na 3 jaar de na­tio­na­li­teit kun­nen kri­j­gen.
Res­pec­teer de men­se­lijke waar­di­gheid en fun­da­men­tele rech­ten.
Ont­vang hen, oor­deel niet en wi­js ze niet af.
Het is ab­so­luut nood­za­ke­lijk dat po­li­ti­ci in be­we­ging ko­men en dat onze re­ge­rin­gen de Eu­ro­pese ver­plich­tin­gen na­ko­men die zij heb­ben goed­ge­keurd.
Laat elke po­li­ti­cus een dag­sa­la­ris do­ne­ren aan dak­lo­zen.
Ik stel voor om men­sen zon­der ver­bli­jf­sver­gun­ning mas­saal te re­gu­la­ri­se­ren en al onze in­ter­na­tio­nale ver­plich­tin­gen op het ge­bied van mi­gra­tie te res­pec­te­ren !

Er moe­ten veel meer plaat­sen ko­men voor ie­de­reen die in Bel­gië om in­ter­na­tio­nale bes­cher­ming komt vra­gen.
Het creë­ren van een kli­maatv­luch­te­lin­gens­ta­tus.
Zet ie­de­reen op ge­lijke voet ti­j­dens pro­ce­dures.
Huur meer per­so­neel in om de ad­mi­nis­tra­tieve pro­ce­dures voor het ver­kri­j­gen van pa­pie­ren te vers­nel­len.

Een ver­bli­jf­skaart die ti­j­dens de pro­ce­dures als iden­ti­teits­do­cu­ment zou di­enen (bi­j­voor­beeld een Carte Ar­dente / Luik) .
We zou­den snel­ler reac­tie moe­ten kri­j­gen bij het aan­vra­gen van de vluch­te­lin­gens­ta­tus. Een paar maan­den moe­ten wach­ten op een reac­tie is niet aan­vaard­baar.
Ik stel voor om de na­tio­na­li­teit on­voor­waar­de­lijk te ge­ven aan men­sen ou­der dan 60 jaar.
Kan de pro­ce­dure voor het aan­vra­gen van ver­bli­jf­spa­pie­ren niet kor­ter wor­den ?
Ver­kort de door­loop­ti­jd van pro­ce­dures om toe­kom­ston­ze­ke­rheid en het ri­si­co op ver­ja­ring te ver­min­de­ren.
Ik stel voor om het staats­bur­ger­schap te ge­ven aan éé­nie­der die al vi­jf jaar in het land woont en 60 jaar oud is, zon­der werk­ve­reiste.
La­ten we de aan­vraag­pe­riode voor deze men­sen in­kor­ten, va­nuit mi­ni­maal men­se­lijk res­pect.
Bel­gië moet elke on­men­se­lijke en ver­ne­de­rende be­han­de­ling van mi­gran­ten in ons land stop­pen en ze er­ken­nen voor wat ze zi­jn : een ver­rij­king.

De aarde heeft mis­schien gren­zen, maar de dro­men van mi­gran­ten heb­ben die niet !
Liefde is een vei­lige ha­ven.
Graag een we­reld waa­rin ie­de­reen ge­lijk is en er­kend wordt.
La­ten we mon­diaal gaan den­ken, in ie­ders be­lang. Het is de hoog­ste ti­jd om een einde te ma­ken aan onze vers­pilling­szucht, die de aarde uit­put en mil­joe­nen men­sen de weg op stuurt.
La­ten we ons met el­kaar ver­bin­den, en niet om­heen de pol­sen.
Ie­de­reen is al­ti­jd ie­mands vreem­de­ling, dus laat ons er­mee ophou­den bang voor hen te zi­jn en hen te ha­ten.
De pla­neet is van ie­de­reen ! La­ten we ve­re­nigd zi­jn.
Mo­gen al die men­sen die vrij en met ge­lijke rech­ten ge­bo­ren zi­jn, be­han­deld wor­den met de waar­di­gheid waar ze recht op heb­ben !
Ik zou graag willen dat ie­dere bur­ger van om het even welke her­kom­st zi­jn ei­gen­waarde kan be­hou­den door hen men­se­lijk te ver­wel­ko­men.
Men­sen zon­der pa­pie­ren zi­jn geen cri­mi­ne­len.
Ie­de­reen heeft recht op vri­j­heid en om te le­ven zoals hij of zij wil.
Ie­der mens heeft het recht om in vol­le­dige vri­j­heid te le­ven in het land dat hij of zij wil.
Wij zi­jn al­le­maal we­reld­bur­gers.
Schi­jn be­driegt ! Ga niet en­kel af op het ui­ter­lijke ver­schil…
Alle men­sen heb­ben recht op res­pect !
Zon­der ver­bin­dende mul­ti­cul­tu­ra­li­teit heeft de we­reld geen toe­kom­st.
Af­schaf­fing van de gren­zen voor het vrije ver­keer van men­sen.
Schaf de on­ge­lij­khe­den af die so­li­da­ri­teit ve­rhin­de­ren.
Opens­tel­ling van de gren­zen.
We zi­jn al­le­maal het­zelfde.
Laat ie­de­reen zich ve­re­ni­gen voor een be­tere toe­kom­st.
Meer vrede, meer to­le­ran­tie.
Uni­ver­sele ge­ne­ro­si­teit.
Nie­mand is een vreem­de­ling op deze aarde.
Elke per­soon ver­dient een men­se­lijke be­han­de­ling, on­geacht ie­mands af­kom­st of her­kom­st. Het is niet aan­vaard­baar om bui­ten­lan­ders slecht te be­han­de­len !
La­ten we de Men­sen­rech­ten res­pec­te­ren ! Niet de an­der is an­ders, niet de an­der is eng, on­we­tend­heid is eng. De an­der le­ren ken­nen is de oplos­sing.
Gast­vri­j­heid is een uit­druk­king van rijk­dom van een sa­men­le­ving, open voor de we­reld.
Ie­de­reen heeft recht op vri­j­heid en om te le­ven zoals hij of zij wil.
Op­vang en in­te­gra­tie = voor­deel op korte en lange ter­mi­jn.
Zon­der ver­bin­dende mul­ti­cul­tu­ra­li­teit heeft de we­reld geen toe­kom­st.
La­ten we ver­bin­ding creë­ren in plaats van boeien, la­ten we so­li­da­ri­teit creë­ren in plaats van uits­lui­ting, la­ten we on­ders­teu­ning creë­ren in plaats van on­der­wer­ping.
We ko­men al­le­maal uit het­zelfde sja­bloon en de­zelfde we­reld, on­geacht onze huid­sk­leur.

Be­we­ging­svri­j­heid voor ie­de­reen.
Ge­lijke kan­sen voor ie­de­reen.
Mas­sale re­gu­la­ri­sa­tie zoals ti­j­dens Mi­nis­ter Wa­the­let !
Cri­te­ria ops­tel­len voor de re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren.
Re­gu­la­ri­sa­tie van alle im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren.
Geef ie­de­reen een ver­bli­jf­sver­gun­ning.
Re­gu­la­ri­sa­tie van im­mi­gran­ten zon­der pa­pie­ren : ze wo­nen bij ons en wer­ken met en voor ons.
Dat de Bel­gische re­ge­ring de op­van­gin­fra­struc­tuur op­zet die no­dig is om im­mi­gran­ten op te van­gen ti­j­dens de re­gu­la­ri­sa­tie­pro­ce­dure.

Ge­mak­ke­lij­ker toe­gang heb­ben tot mo­bi­li­teit.
Af­schaf­fing van ges­lo­ten cen­tra.
Een ver­bli­jf­skaart (Carte Ar­dente / Luik) die ti­j­dens de pro­ce­dures als iden­ti­teits­do­cu­ment kan di­enen.
La­ten we ang­st, voo­roor­de­len en cli­chés ver­mi­j­den.
Zon­der pa­pie­ren (min­der­ja­ri­gen, man­nen, vrou­wen) is niet sy­no­niem met GEVAAR. Hij moet in zi­jn rech­ten wor­den hers­teld.
Geef ze de kans om te wer­ken.
Het gaat niet om ge­de­ti­neer­den, stop er­mee ze op te slui­ten !!!
We doen zelf de hand­boeien om en gaan voor het vlieg­tuig gaan om te voor­ko­men dat die met mi­gran­ten ops­ti­j­gen om ze te­rug te bren­gen naar hun land.
In het be­zit zi­jn van een ver­bli­jf­skaarts­kaart (Carte Ardente/ Luik) om toe­gang te kri­j­gen tot alle ge­meen­te­lijke di­ens­ten.
Geef men­sen zon­der pa­pie­ren toe­gang tot een er­kende oplei­ding.
Ver­ge­mak­ke­lijk pro­ce­du­re­ve­reis­ten voor drin­gende me­dische hulp (snel­ler, min­der tus­sen­per­so­nen).
Om men­sen zon­der pa­pie­ren te kun­nen la­ten rond­ko­men, moe­ten we hen toe­la­ten te wer­ken.

Als ge­meen­te­lijk ver­te­gen­woor­di­ger stel ik so­ciale pro­jec­ten voor om de ban­den men­sen te vers­ter­ken : ik neem me voor het ini­tia­tief te ne­men voor ve­rant­woorde so­ciale pro­jec­ten.
1) Een rond­lei­ding door mi­jn Ge­meente met zi­jn be­lan­grijkste toe­ris­tische, cultu­rele en spor­tieve at­trac­ties.
2) work­shops en trai­nin­gen over conflic­to­plos­sing voor be­wo­ners van het cen­trum van alle leef­ti­j­den. Doel­stel­lin­gen : le­ren om­gaan met me­ning­sver­schil­len op een construc­tieve ma­nier.
3) Het op­zet­ten van een be­ge­lei­ding­spro­gram­ma om jon­ge­ren uit de cen­tra en ou­de­ren met el­kaar in contact te bren­gen.
4) Or­ga­ni­se­ren van bi­jeen­kom­sten in een ge­zel­lige om­ge­ving ge­richt op het ken­nis­ma­ken met ver­schil­lende cultu­ren die in onze stad aan­we­zig zi­jn. Met mu­ziek, dans, ko­ken, knut­se­lac­ti­vi­tei­ten… Sa­men de ti­jd ne­men om el­kaar te le­ren ken­nen.
5) Een be­zoek aan het ge­meen­te­huis, het OCMW, de kin­de­rop­vang, ser­vi­ce­wo­nin­gen voor alle nieuwe in­wo­ners van de stad, in­clu­sief de nieuwe be­wo­ners van de cen­tra.
6) Spor­tieve, cultu­rele en an­dere ac­ti­vi­tei­ten, waar­bij be­wo­ners en mi­gran­ten el­kaar kun­nen le­ren ken­nen.
7) Een of twee keer per jaar wel­kom­st- en in­for­ma­tie­bi­jeen­kom­sten voor nieuw­ko­mers, waar­bij hen in­te­gra­tie­mo­ge­lij­khe­den wor­den aan­ge­bo­den bin­nen de di­verse ve­re­ni­gin­gen van de ge­meente.
8) Als ge­meen­te­lijk af­ge­vaar­digde hoop ik dat mi­jn ge­meente vri­je­lijk op­vang kan voor­zien en de mid­de­len kan kri­j­gen van de fe­de­rale ove­rheid om dit te ver­we­zen­lij­ken.
9) Ver­bin­dende bui­ten­schoolse ac­ti­vi­tei­ten voor kin­de­ren en bi­jeen­kom­sten voor be­wo­ners om deel te ne­men aan ac­ti­vi­tei­ten van cultu­rele ve­re­ni­gin­gen uit de ge­meente.
Ik stel fi­nan­cie­ring voor door het fe­de­rale ni­veau, en de or­ga­ni­sa­tie van de op­vang van mi­gran­ten op lo­kaal ni­veau, lang­du­rig, dui­de­lijk af­ges­pro­ken en ver­ze­kerd, en voo­ral dat ons land, toch een rijk land, voor­beel­dige ve­rant­woor­de­lij­kheid toont op vol­gens haar po­si­tie, ges­chie­de­nis, en zin voor hu­ma­ni­taire plicht. Dat asiel­zoe­kers men­se­lijk wor­den be­han­deld, met res­pect voor hun rech­ten.
Ste­den en ge­meen­ten ver­de­len op­vang­plaat­sen voor mi­gran­ten en ‘dak­lo­zen’ om men­se­lijke en broe­der­lijke maa­tre­ge­len te onts­lui­ten (zon­der get­to­vor­ming ten gunste van in­te­gra­tie en in­clu­si­vi­teit. Uto­pie ?
Ik neem me bes­list voor om leeg­staande open­bare ge­bou­wen te re­no­ve­ren om huis­ves­ting toe­gan­ke­lij­ker te ma­ken, zo­dra ik daar­voor een po­li­tieke meer­de­rheid heb.
Ik wens dat ook mi­jn ge­meente zich gast­vrij laat ken­nen ! Men­sen echt willen ver­wel­ko­men en daar­voor zelf het aan­bod es­ca­le­ren naar de fe­de­rale ove­rheid.
Bel­gië di­ent haar en­ga­ge­men­ten na te ko­men ! Dat is niet meer dan ge­woon ons werk doen en onze ver­plich­ting na­ko­men op ge­bied van Men­sen­rech­ten !
Een nieuwe re­gu­la­ri­sa­tie­cam­pagne van men­sen zon­der pa­pie­ren.
Huis­ves­ting moet wor­den on­ders­teund door ge­meen­ten en pro­vin­cies die daar­voor de fi­nan­ciële mid­de­len moe­ten kri­j­gen toe­ge­we­zen.
Huis­jes­mel­kers bes­tri­j­den !
Stel meer wo­nin­gen bes­chik­baar.
Be­vor­der cultu­rele di­ver­si­teit via in­ter­cul­tu­rele fes­ti­vals.
Voer ein­de­lijk een ver­bli­jf­skaart (Carte Ar­dente / Luik) in.
Het is aan­be­vo­len klach­ten van men­sen zon­der pa­pie­ren te re­gis­tre­ren en te ver­wer­ken : in­voe­ring van een la­bel van “Gast­vrije Ge­meente”.
Re­gu­la­ri­sa­tie nu voor ie­de­reen, en dui­de­lijke cri­te­ria.
Er is ab­so­luut be­hoefte aan een per­ma­nente re­gu­la­ri­sa­tie­com­mis­sie, onaf­han­ke­lijk en met dui­de­lijke en per­ma­nente cri­te­ria.
Stel een in­ven­ta­ris op van de ge­bou­wen die ges­chikt zi­jn om mi­gran­ten te huis­ves­ten en zet struc­tu­ren op (ar­chi­tect, si­te­ma­na­ger) om mi­gran­ten te hel­pen die plek­ken te re­no­ve­ren (iso­la­tie, enz.), in ruil voor een in­te­gra­tie-in­ko­men voor deze men­sen.
Hier­door zou­den ui­tein­de­lijk ook teams kun­nen onts­taan die zi­jn op­ge­leid om an­dere wo­nin­gen te re­no­ve­ren als on­der­deel van kli­maa­tac­tie.
Zorg voor waar­dige le­ven­som­stan­di­ghe­den in het land van her­kom­st (van mi­gran­ten). Be­taal een eer­lijke pri­js voor hun ar­beid en grond­stof­fen.

Ik hoop dat deze ini­tia­tie­ven voor­beeld staan voor de rijk­dom aan cultu­ren die Bel­gië be­vol­ken : lang leve de in­ter­cul­tu­ra­li­teit !